Le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd s'est engagé à ouvrir un débat général sur le projet de révision de la Constitution avec la participation de toutes les franges de la société pour édifier un "Etat moderne et fort". Le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd s'est engagé à ouvrir un débat général sur le projet de révision de la Constitution avec la participation de toutes les franges de la société pour édifier un "Etat moderne et fort". Dans un discours prononcé, hier, à Ain-Defla au troisième jour de la campagne électoral pour les élections présidentielles du 17 avril prochain, le leader du Front El-Moustakbal s'est engagé également à initier un large débat autour de l'édification d'un Etat "démocratique et d'alternance avec la participation de toutes les catégories de la société". Le premier responsable du Front El Moustakbal a affirmé devant un public nombreux venu le soutenir, qu'il œuvrera à « remplacer le système de pérennité et de maintien au pouvoir par un système démocratique et d'alternance », soulignant le rôle important d'investir sur l'élément humain, seul, selon lui, « capable de créer la richesse ». Il a promis de confier la responsabilité dans les institutions de l'Etat aux personnes compétentes, intègres, qualifiées et ayant des qualités de leadership, affirmant faire de l'Algérie le « Japon de l'Afrique » à travers un « ambitieux » programme économique et social basé sur l'élément humain. « Je vous promets, qu'une fois élu, je veillerais à faire de l'Algérie le Japon de l'Afrique et cela à travers l'exploitation réelle de toutes les richesses humaines et naturelles du pays », a-t-il déclaré, appelant à ouvrir un débat général sur l'éducation national, notamment en donnant plus d'importance à l'enseignant, exprimant son soutien aux différentes grèves menées dans le secteur et qui ont pour but, selon lui, d'améliorer le niveau d'enseignement. Evoquant le secteur agricole, il a indiqué qu'il œuvrera à développer et encourager l'investissement dans ce domaine. Le Front El Moustakbal, a-t-il dit « accorde un intérêt particulier à l'agriculture à travers l'expansion des terres et des exploitations agricoles ainsi que le développement de l'industrie agro-alimentaire ». Sur le volet de l'habitat, Belaïd a souligné que son programme électoral accorde une importance capitale au dossier « épineux » du logement, affirmant l'impératif de réhabiliter et redynamiser les différents modes et formules d'accès au logement existants. Enfin, il a appelé les citoyens à voter massivement le 17 avril prochain et soutenir son programme, qui « vise le changement ». Sellal : l'argent public et les richesses du pays doivent profiter à notre peuple Abdelmalek Sellal, le directeur de campagne du candidat indépendant à l'élection présidentielle du 17 avril 2014, Abdelaziz Bouteflika a animé, hier, un meeting populaire à Bord Bou-Arreridj où il a répondu à certaines critiques sur la gouvernance du gouvernement, émises par l'opposition. D'emblée, il a tenu à mettre les points sur les I. "Certains nous reprochent d'avoir dépensé trop d'argent dans la réalisation des projets de logements sociaux, mais nous leur disons que l'argent public et les richesses du pays doivent profiter à notre peuple", a-t-il affirmé lors d'un meeting organisé à la salle omnisports de la ville. Dans ce contexte, Abdelmalek Sellal réitère l'engagement de Bouteflika à poursuivre la politique de solidarité nationale envers les couches sociales démunies, de soutien au logement et d'aide aux jeunes. Il rappelle les différents programmes de logements réalisés durant la dernière décennie (2000-2010), et qui s'élèvent à 1,9 million d'unités, toutes formules confondues, et une promesse de réaliser d'autres programmes au cours du prochain quinquennat, avec un quota important réservé aux jeunes. Il a réitéré l'engagement également de faire du prochain quinquennat celui du « renouveau national » devant consacrer l'Etat de droit qui garantirait tous les droits des citoyens et par la même occasion, réaffirmé l'engagement d'une révision de la Constitution au courant de l'année 2014 en vue d'élargir les prérogatives des élus du peuple et renforcer les mécanismes de contrôle. S'adressant aux habitants de Bordj Bou-Arreridj, Sellal a mis l'accent sur l'importance de cette wilaya, devenue, a-t-il dit, un pôle industriel et technologique, illustrant parfaitement l'image d'une Algérie moderne. AHD 54, jette l'éponge Premier couac ou ruse pour justifier l'absence d'un public à son meeting populaire ? Toujours est-il que le candidat à la présidentielle du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, a jeté l'éponge, hier à Souk-Ahras. Il a abandonné le terrain avant de livrer bataille. Les raisons : l'administration, a-t-il expliqué à exercé de "la pression" sur la population pour "ne pas assister" aux rencontres de l'opposition. Il précise dans une déclaration à la presse en présence d'un groupe de citoyens venus assister à son meeting, devant la salle de conférences Tahri-Miloud que "l'administration a exercé des pressions sur les Souk-Ahrassi pour ne pas assister à mes meetings et à ceux de l'opposition". Il a expliqué que les moyens de transports déployés par son parti pour transporter les citoyens de Souk-Ahras à son meeting n'ont pas été au rendez-vous. Sans donner plus de détails. Qui a empêché les bus d'être au rendez-vous ? Mystère et boule de gomme. Pour sa part, le wali de Souk Ahras, Saâd Agoudjil, a démenti « formellement », les accusations du candidat à l'élection présidentielle Ali Fawzi Rebaïne au sujet d'une "pression" exercée par l'administration sur la population de Souk Ahras. Benflis : Haro sur la corruption Le candidat indépendant à l'élection présidentielle du 17 avril prochain, Ali Benflis, a promis hier, à Ouargla, s'il est élu par la grâce de Dieu, de revoir le dispositif législatif pour mieux lutter contre la corruption. Il s'engage devant le peuple, "de réviser la loi sur la corruption, car elle met sur le même pied d'égalité celui qui prend un dinar et celui qui prend des milliards", a-t-il souligné à la maison de la culture d'Ouargla où il a animé un meeting électoral. Pour ce faire, il a promis un "texte plus répressif" pour protéger les deniers public, soulignant qu' il ne permettra pas, "s'il est choisi pour présider aux destinées de l'Algérie, qu'on dilapide ses biens". Autre engagement : il affirme sa ferme volonté de revoir "le code de la commune et de la wilaya pour réhabiliter l'élu et consolider ses prérogatives", et de procéder "à un nouveau et profond découpage administratif pour en finir avec les problèmes actuels de toutes les régions". Pour résoudre le problème du chômage des jeunes, Ali Benflis estime que la solution réside dans le développement de l'agriculture, l'industrie et le tourisme en encourageant "l'investissement dans tous les secteurs à travers la prise de mesures incitatives comme la réduction des frais de l'électricité, la réduction des impôts" et la facilitation des crédits bancaires. Il a promis également aux jeunes de les intégrer dans les centres de décision au niveau local et national. Evoquant les événements de Ghardaïa, il considère que "l'Etat en assume toute la responsabilité parce qu'il n'a pas assumé ses obligations dans la protection des biens et des personnes", appelant par la même occasion les électeurs à se "mobiliser" contre la tentation de la fraude lors du scrutin pour "préserver leurs voix et leur choix". "La fraude est un délit puni par la loi. C'est immoral et c'est injuste", a-t-il estimé. Dans un discours prononcé, hier, à Ain-Defla au troisième jour de la campagne électoral pour les élections présidentielles du 17 avril prochain, le leader du Front El-Moustakbal s'est engagé également à initier un large débat autour de l'édification d'un Etat "démocratique et d'alternance avec la participation de toutes les catégories de la société". Le premier responsable du Front El Moustakbal a affirmé devant un public nombreux venu le soutenir, qu'il œuvrera à « remplacer le système de pérennité et de maintien au pouvoir par un système démocratique et d'alternance », soulignant le rôle important d'investir sur l'élément humain, seul, selon lui, « capable de créer la richesse ». Il a promis de confier la responsabilité dans les institutions de l'Etat aux personnes compétentes, intègres, qualifiées et ayant des qualités de leadership, affirmant faire de l'Algérie le « Japon de l'Afrique » à travers un « ambitieux » programme économique et social basé sur l'élément humain. « Je vous promets, qu'une fois élu, je veillerais à faire de l'Algérie le Japon de l'Afrique et cela à travers l'exploitation réelle de toutes les richesses humaines et naturelles du pays », a-t-il déclaré, appelant à ouvrir un débat général sur l'éducation national, notamment en donnant plus d'importance à l'enseignant, exprimant son soutien aux différentes grèves menées dans le secteur et qui ont pour but, selon lui, d'améliorer le niveau d'enseignement. Evoquant le secteur agricole, il a indiqué qu'il œuvrera à développer et encourager l'investissement dans ce domaine. Le Front El Moustakbal, a-t-il dit « accorde un intérêt particulier à l'agriculture à travers l'expansion des terres et des exploitations agricoles ainsi que le développement de l'industrie agro-alimentaire ». Sur le volet de l'habitat, Belaïd a souligné que son programme électoral accorde une importance capitale au dossier « épineux » du logement, affirmant l'impératif de réhabiliter et redynamiser les différents modes et formules d'accès au logement existants. Enfin, il a appelé les citoyens à voter massivement le 17 avril prochain et soutenir son programme, qui « vise le changement ». Sellal : l'argent public et les richesses du pays doivent profiter à notre peuple Abdelmalek Sellal, le directeur de campagne du candidat indépendant à l'élection présidentielle du 17 avril 2014, Abdelaziz Bouteflika a animé, hier, un meeting populaire à Bord Bou-Arreridj où il a répondu à certaines critiques sur la gouvernance du gouvernement, émises par l'opposition. D'emblée, il a tenu à mettre les points sur les I. "Certains nous reprochent d'avoir dépensé trop d'argent dans la réalisation des projets de logements sociaux, mais nous leur disons que l'argent public et les richesses du pays doivent profiter à notre peuple", a-t-il affirmé lors d'un meeting organisé à la salle omnisports de la ville. Dans ce contexte, Abdelmalek Sellal réitère l'engagement de Bouteflika à poursuivre la politique de solidarité nationale envers les couches sociales démunies, de soutien au logement et d'aide aux jeunes. Il rappelle les différents programmes de logements réalisés durant la dernière décennie (2000-2010), et qui s'élèvent à 1,9 million d'unités, toutes formules confondues, et une promesse de réaliser d'autres programmes au cours du prochain quinquennat, avec un quota important réservé aux jeunes. Il a réitéré l'engagement également de faire du prochain quinquennat celui du « renouveau national » devant consacrer l'Etat de droit qui garantirait tous les droits des citoyens et par la même occasion, réaffirmé l'engagement d'une révision de la Constitution au courant de l'année 2014 en vue d'élargir les prérogatives des élus du peuple et renforcer les mécanismes de contrôle. S'adressant aux habitants de Bordj Bou-Arreridj, Sellal a mis l'accent sur l'importance de cette wilaya, devenue, a-t-il dit, un pôle industriel et technologique, illustrant parfaitement l'image d'une Algérie moderne. AHD 54, jette l'éponge Premier couac ou ruse pour justifier l'absence d'un public à son meeting populaire ? Toujours est-il que le candidat à la présidentielle du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, a jeté l'éponge, hier à Souk-Ahras. Il a abandonné le terrain avant de livrer bataille. Les raisons : l'administration, a-t-il expliqué à exercé de "la pression" sur la population pour "ne pas assister" aux rencontres de l'opposition. Il précise dans une déclaration à la presse en présence d'un groupe de citoyens venus assister à son meeting, devant la salle de conférences Tahri-Miloud que "l'administration a exercé des pressions sur les Souk-Ahrassi pour ne pas assister à mes meetings et à ceux de l'opposition". Il a expliqué que les moyens de transports déployés par son parti pour transporter les citoyens de Souk-Ahras à son meeting n'ont pas été au rendez-vous. Sans donner plus de détails. Qui a empêché les bus d'être au rendez-vous ? Mystère et boule de gomme. Pour sa part, le wali de Souk Ahras, Saâd Agoudjil, a démenti « formellement », les accusations du candidat à l'élection présidentielle Ali Fawzi Rebaïne au sujet d'une "pression" exercée par l'administration sur la population de Souk Ahras. Benflis : Haro sur la corruption Le candidat indépendant à l'élection présidentielle du 17 avril prochain, Ali Benflis, a promis hier, à Ouargla, s'il est élu par la grâce de Dieu, de revoir le dispositif législatif pour mieux lutter contre la corruption. Il s'engage devant le peuple, "de réviser la loi sur la corruption, car elle met sur le même pied d'égalité celui qui prend un dinar et celui qui prend des milliards", a-t-il souligné à la maison de la culture d'Ouargla où il a animé un meeting électoral. Pour ce faire, il a promis un "texte plus répressif" pour protéger les deniers public, soulignant qu' il ne permettra pas, "s'il est choisi pour présider aux destinées de l'Algérie, qu'on dilapide ses biens". Autre engagement : il affirme sa ferme volonté de revoir "le code de la commune et de la wilaya pour réhabiliter l'élu et consolider ses prérogatives", et de procéder "à un nouveau et profond découpage administratif pour en finir avec les problèmes actuels de toutes les régions". Pour résoudre le problème du chômage des jeunes, Ali Benflis estime que la solution réside dans le développement de l'agriculture, l'industrie et le tourisme en encourageant "l'investissement dans tous les secteurs à travers la prise de mesures incitatives comme la réduction des frais de l'électricité, la réduction des impôts" et la facilitation des crédits bancaires. Il a promis également aux jeunes de les intégrer dans les centres de décision au niveau local et national. Evoquant les événements de Ghardaïa, il considère que "l'Etat en assume toute la responsabilité parce qu'il n'a pas assumé ses obligations dans la protection des biens et des personnes", appelant par la même occasion les électeurs à se "mobiliser" contre la tentation de la fraude lors du scrutin pour "préserver leurs voix et leur choix". "La fraude est un délit puni par la loi. C'est immoral et c'est injuste", a-t-il estimé.