La campagne électorale commence à s'emballer. Quelques jours seulement après son début, les premières polémiques font leurs apparitions. Aux attaques de la candidate du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, contre les islamistes, le président du MSP, Abderazak Makri, réagit vertement. La campagne électorale commence à s'emballer. Quelques jours seulement après son début, les premières polémiques font leurs apparitions. Aux attaques de la candidate du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, contre les islamistes, le président du MSP, Abderazak Makri, réagit vertement. Un autre candidat, Fawzi Rebaine, est dans tous ses états puisqu‘il a accusé l‘administration de faire pression sur les citoyens pour saboter ses meetings. Pendant ce temps, deux membres de la direction de la campagne électorale du candidat Abdelaziz Belaïd se font agresser à Djelfa. Abderazak Makri a violemment attaqué Louisa Hanoune. Il est allé jusqu‘à l‘apostropher sur quelque chose qui se rapporte à sa vie privée, ce qui a été très mal perçu par la majorité des observateurs et des acteurs de la scène politique qui ont considéré cette sortie du chef du MSP comme une dérive. Cela dit, Makri reproche aussi à Louisa Hanoune d‘avoir conclu un deal avec le pouvoir. D‘où, selon lui, ses tirs croisés contre les islamistes qui n‘ont pourtant pas participé à l‘élection présidentielle et contre le candidat indépendant, Ali Benflis, que l‘on considère comme le plus sérieux rival du président-candidat Abdelaziz Bouteflika. A propos de ce dernier justement, Makri s‘étonne qu‘il soit épargné par les critiques de la première dame du Parti des travailleurs qui ne rate aucune occasion pour épingler d‘autres candidats. Il est évident que Louisa Hanoune va réagir à cette attaque. Un autre incident a fait parler de lui. Le candidat du parti AHD 54, Fawzi Rebaïne, est déjà parti en guerre contre l‘administration. Il s‘est ainsi attaqué au wali de Souk Ahras qu‘il a accusé d‘avoir exercé des pressions sur les citoyens pour boycotter ses meetings et ceux de l‘opposition. C‘est que la salle où il devait organiser un meeting dans la ville de Souk Ahras était presque vide. Face à cette situation Rebaine a dû annuler le meeting. "Nous rejetons ces allégations et réaffirmons que l‘administration et d‘une neutralité absolue durant tout le processus électoral, que ce soit lors de la campagne, ou pendant le déroulement du scrutin" a indiqué, en guise de réaction et de démenti, le wali de Souk Ahras, Saâd Agoudjil. Rebaïne et ses représentants ont aussi demandé le retrait des portraits du président Bouteflika de la salle, mais ils ont essuyé un niet de la part du wali. Ce qui s‘est passé à Djelfa est encore plus grave. Le directeur de la campagne électorale du candidat Abdelaziz Belaïd a été victime d‘une agression dans la wilaya de Djelfa. Une agression pour laquelle il a été transporté à l‘hôpital. Il en a été de même pour un autre cadre du Front El Moustakbal, qui a été lui aussi victime d‘une agression. Les autorités doivent réagir fermement et trouver les coupables. Un autre incident a failli émailler le meeting de Abdelmalek Sellal avant-hier à Bordj Bou-Arreridj. Selon ce qui a été rapporté par l‘APS, citant un journal régional, des sympathisants du candidat Ali Benflis ont tenté de chahuter le meeting de Sellal. Un autre candidat, Fawzi Rebaine, est dans tous ses états puisqu‘il a accusé l‘administration de faire pression sur les citoyens pour saboter ses meetings. Pendant ce temps, deux membres de la direction de la campagne électorale du candidat Abdelaziz Belaïd se font agresser à Djelfa. Abderazak Makri a violemment attaqué Louisa Hanoune. Il est allé jusqu‘à l‘apostropher sur quelque chose qui se rapporte à sa vie privée, ce qui a été très mal perçu par la majorité des observateurs et des acteurs de la scène politique qui ont considéré cette sortie du chef du MSP comme une dérive. Cela dit, Makri reproche aussi à Louisa Hanoune d‘avoir conclu un deal avec le pouvoir. D‘où, selon lui, ses tirs croisés contre les islamistes qui n‘ont pourtant pas participé à l‘élection présidentielle et contre le candidat indépendant, Ali Benflis, que l‘on considère comme le plus sérieux rival du président-candidat Abdelaziz Bouteflika. A propos de ce dernier justement, Makri s‘étonne qu‘il soit épargné par les critiques de la première dame du Parti des travailleurs qui ne rate aucune occasion pour épingler d‘autres candidats. Il est évident que Louisa Hanoune va réagir à cette attaque. Un autre incident a fait parler de lui. Le candidat du parti AHD 54, Fawzi Rebaïne, est déjà parti en guerre contre l‘administration. Il s‘est ainsi attaqué au wali de Souk Ahras qu‘il a accusé d‘avoir exercé des pressions sur les citoyens pour boycotter ses meetings et ceux de l‘opposition. C‘est que la salle où il devait organiser un meeting dans la ville de Souk Ahras était presque vide. Face à cette situation Rebaine a dû annuler le meeting. "Nous rejetons ces allégations et réaffirmons que l‘administration et d‘une neutralité absolue durant tout le processus électoral, que ce soit lors de la campagne, ou pendant le déroulement du scrutin" a indiqué, en guise de réaction et de démenti, le wali de Souk Ahras, Saâd Agoudjil. Rebaïne et ses représentants ont aussi demandé le retrait des portraits du président Bouteflika de la salle, mais ils ont essuyé un niet de la part du wali. Ce qui s‘est passé à Djelfa est encore plus grave. Le directeur de la campagne électorale du candidat Abdelaziz Belaïd a été victime d‘une agression dans la wilaya de Djelfa. Une agression pour laquelle il a été transporté à l‘hôpital. Il en a été de même pour un autre cadre du Front El Moustakbal, qui a été lui aussi victime d‘une agression. Les autorités doivent réagir fermement et trouver les coupables. Un autre incident a failli émailler le meeting de Abdelmalek Sellal avant-hier à Bordj Bou-Arreridj. Selon ce qui a été rapporté par l‘APS, citant un journal régional, des sympathisants du candidat Ali Benflis ont tenté de chahuter le meeting de Sellal.