Dans ce sinistre Bordj, anciennement appelé Fort Mercier et dont une grande partie a été reconvertie en hôtel par un privé, se trouvait des salles de détention et de torture des militants et moudjahidine de la zone 8 de la Wilaya historique 5. Dans ce sinistre Bordj, anciennement appelé Fort Mercier et dont une grande partie a été reconvertie en hôtel par un privé, se trouvait des salles de détention et de torture des militants et moudjahidine de la zone 8 de la Wilaya historique 5. Une dizaine d'associations locales de la commune de Taghit (97 km au sud de Béchar) et des moudjahidine ont suggéré mardi, dans une correspondance aux autorités de la wilaya de Béchar, de protéger et de classer au patrimoine historique une partie du Bordj de Taghit, un lieu de détention et de torture des moudjahidine pendant la colonisation. Dans ce sinistre Bordj, anciennement appelé Fort Mercier et dont une grande partie a été reconvertie en hôtel par un privé, se trouvait des salles de détention et de torture des militants et moudjahidine de la zone huit de la wilaya historique 5, indiquent des responsables de ces associations soutenus par le bureau communal de Taghit et de l'Union de wilaya de l'Organisation nationale des moudjahidines (ONM). "L'arrêt des travaux en cours d'extension de l'hôtel qui touchent aussi une partie des salles, est nécessaire pour la préservation et la protection des lieux et endroits ou étaient détenus ou morts pour l'indépendance du pays des martyrs de la région", a précisé le moudjahid Mebarek Taghiti, lui même détenu et torturé dans ces lieux. "L'intervention des autorités locales, notamment la direction locale des moudjahidine, "est nécessaire pour la sauvegarde de ce haut lieu de la Révolution du 1er novembre 1954, dans le but de pérenniser l'histoire des luttes politiques et militaires contre le colonialisme français des populations de la région", ont souligné des responsables des associations. Le bordj, situé à proximité du ksar de Taghit (classé au patrimoine national matériel) et construit au début du 20e siècle pour la surveillance et le contrôle des populations de Taghit, Abadla et Zousfane, a été utilisé par l'armée coloniale française durant les sept années de la révolution comme lieu de détention et de tortures des moudjahidine, dont plusieurs y sont morts sous la torture, ont expliqué des moudjahidine de la région de Taghit. A la veille de la commémoration du 54e anniversaire de la mort au champ d'honneur du colonel Lotfi et de ses compagnons, le 27 mars 1960 à "Djebel Béchar", "nous espérons une intervention des autorités de la wilaya pour reconvertir cette partie du Fort en lieu historique et son classement au patrimoine historique local et national", ont affirmé les moudjahidine. Une dizaine d'associations locales de la commune de Taghit (97 km au sud de Béchar) et des moudjahidine ont suggéré mardi, dans une correspondance aux autorités de la wilaya de Béchar, de protéger et de classer au patrimoine historique une partie du Bordj de Taghit, un lieu de détention et de torture des moudjahidine pendant la colonisation. Dans ce sinistre Bordj, anciennement appelé Fort Mercier et dont une grande partie a été reconvertie en hôtel par un privé, se trouvait des salles de détention et de torture des militants et moudjahidine de la zone huit de la wilaya historique 5, indiquent des responsables de ces associations soutenus par le bureau communal de Taghit et de l'Union de wilaya de l'Organisation nationale des moudjahidines (ONM). "L'arrêt des travaux en cours d'extension de l'hôtel qui touchent aussi une partie des salles, est nécessaire pour la préservation et la protection des lieux et endroits ou étaient détenus ou morts pour l'indépendance du pays des martyrs de la région", a précisé le moudjahid Mebarek Taghiti, lui même détenu et torturé dans ces lieux. "L'intervention des autorités locales, notamment la direction locale des moudjahidine, "est nécessaire pour la sauvegarde de ce haut lieu de la Révolution du 1er novembre 1954, dans le but de pérenniser l'histoire des luttes politiques et militaires contre le colonialisme français des populations de la région", ont souligné des responsables des associations. Le bordj, situé à proximité du ksar de Taghit (classé au patrimoine national matériel) et construit au début du 20e siècle pour la surveillance et le contrôle des populations de Taghit, Abadla et Zousfane, a été utilisé par l'armée coloniale française durant les sept années de la révolution comme lieu de détention et de tortures des moudjahidine, dont plusieurs y sont morts sous la torture, ont expliqué des moudjahidine de la région de Taghit. A la veille de la commémoration du 54e anniversaire de la mort au champ d'honneur du colonel Lotfi et de ses compagnons, le 27 mars 1960 à "Djebel Béchar", "nous espérons une intervention des autorités de la wilaya pour reconvertir cette partie du Fort en lieu historique et son classement au patrimoine historique local et national", ont affirmé les moudjahidine.