Les slogans ont constitué un élément majeur dans la campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril 2014 car ils ont été conçus pour résumer les idées et projets des six candidats en course. Pour Abdelaziz Belaïd, du Front El Moustakbal, le mot d'ordre est "L'avenir, c'est maintenant". Les slogans ont constitué un élément majeur dans la campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril 2014 car ils ont été conçus pour résumer les idées et projets des six candidats en course. Pour Abdelaziz Belaïd, du Front El Moustakbal, le mot d'ordre est "L'avenir, c'est maintenant". "C'est dire que l'avenir doit se décider maintenant, sinon on manquera l'occasion d'opérer le changement réel qui répondrait à nos aspirations", soutient son directeur de campagne, Ahmed Bensebane. L'élection du 17 avril "est un rendez-vous à ne pas manquer et une sérieuse opportunité de changement pour dessiner les contours de l'avenir auquel nous aspirons", argue-t-il, appelant "les jeunes en tant que force vive de la société à être au niveau de cette échéance". Le Front El Moustakbal propose pour la première fois un candidat issu de la génération del'indépendance pour diriger le pays, a-t-il encore fait remarquer. "Oui pour une société des libertés", est le leitmotiv du candidat indépendant Ali Benflis qui tente de conquérir les électeurs en faisant la promesse d'"instaurer une justice indépendante et efficace", à travers une série de mesures, dont la facilitation des missions de la justice, l'amélioration de la qualité du service public et la révision des mécanismes d'assistance judiciaire. M. Benflis qui a consacré une importante partie de son programme au secteur de la justice, propose également la révision du découpage administratif et de la carte judiciaire, ainsi que la création de tribunaux spécialisés et de proximité. Parmi ses propositions aussi, l'amendement de la loi relative à la lutte contre la corruption de manière "à mieux protéger" les biens publics et à consolider les droits des justiciables. Le candidat Abdelaziz Bouteflika qui a renouvelé son engagement envers l'Algérie a retenu le mot d'ordre suivant : "Notre serment pour l'Algérie". "Le slogan est lié au passé révolutionnaire du candidat et à l'histoire de l'Algérie", explique à l'APS Abdelmadjid Bekkouche chargé de la communication au niveau de la direction de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika. "Issu de la génération de la révolution qui a prêté serment à l'Algérie durant la glorieuse guerre de libération, notre candidat Abdelaziz Bouteflika ainsi que tous les Algériens réitèrent, à travers ce slogan, l'attachement au serment du 1er Novembre 1954 pour une Algérie forte et glorieuse", a-t-il souligné. "Notre serment pour l'Algérie" reflète un engagement vis-à-vis des propositions "fondatrices d'un nouveau pacte de développement, la présente échéance étant liée à une nouvelle ère d'édification", a-t-il enchaîné. Pour le candidat du FNA la devise est "l'Algérie pour tous les Algériens". Elle se dégage de la plate-forme du parti inspirée de la Déclaration du 1er Novembre. Pour Abdelkader Boudjouras, directeur de campagne de Moussa Touati, le slogan du FNA repose sur le "principe d'égalité devant la loi des droits et devoirs en vue de construire un Etat de droit dans toutes ses dimensions sociale,économique, politique et géographique". Le slogan prône "un dialogue national sans exclusion pour l'établissement d'un régime parlementaire qui consacre la souveraineté du peuple". L'unique femme à se présenter à la présidentielle 2014, Louisa Hanoune, candidate du Parti des travailleurs (PT) a, elle, opté pour "l'audace pour l'édification de la deuxième République". Pour Ramdane Youcef Taazibt, membre dirigeant du parti, ce mot d'ordre traduit les engagements faits par Hanoune, principalement l'annulation du code de la famille, l'annulation de la peine capitale, l'officialisation de la langue amazighe et son enseignement obligatoire dans les 48 wilayas, la séparation des pouvoirs et l'indépendance de la justice. Les dirigeants du PT veillent à ce que "cette campagne soit la meilleure depuis la création du parti", a indiqué Taazibt, soulignant "nous participons à ces élections pour gagner et pour que triomphe l'Algérie". Le candidat du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, qui a choisi pour slogan : "Développement-excellence-égalité", plaide pour "la décentralisation des autoritéséconomiques et sociales et l'élargissement des prérogatives des assemblées élues", promettant d'opérer "un changement radical à tous les niveaux", avec en premier lieu la révision de la Constitution. "C'est dire que l'avenir doit se décider maintenant, sinon on manquera l'occasion d'opérer le changement réel qui répondrait à nos aspirations", soutient son directeur de campagne, Ahmed Bensebane. L'élection du 17 avril "est un rendez-vous à ne pas manquer et une sérieuse opportunité de changement pour dessiner les contours de l'avenir auquel nous aspirons", argue-t-il, appelant "les jeunes en tant que force vive de la société à être au niveau de cette échéance". Le Front El Moustakbal propose pour la première fois un candidat issu de la génération del'indépendance pour diriger le pays, a-t-il encore fait remarquer. "Oui pour une société des libertés", est le leitmotiv du candidat indépendant Ali Benflis qui tente de conquérir les électeurs en faisant la promesse d'"instaurer une justice indépendante et efficace", à travers une série de mesures, dont la facilitation des missions de la justice, l'amélioration de la qualité du service public et la révision des mécanismes d'assistance judiciaire. M. Benflis qui a consacré une importante partie de son programme au secteur de la justice, propose également la révision du découpage administratif et de la carte judiciaire, ainsi que la création de tribunaux spécialisés et de proximité. Parmi ses propositions aussi, l'amendement de la loi relative à la lutte contre la corruption de manière "à mieux protéger" les biens publics et à consolider les droits des justiciables. Le candidat Abdelaziz Bouteflika qui a renouvelé son engagement envers l'Algérie a retenu le mot d'ordre suivant : "Notre serment pour l'Algérie". "Le slogan est lié au passé révolutionnaire du candidat et à l'histoire de l'Algérie", explique à l'APS Abdelmadjid Bekkouche chargé de la communication au niveau de la direction de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika. "Issu de la génération de la révolution qui a prêté serment à l'Algérie durant la glorieuse guerre de libération, notre candidat Abdelaziz Bouteflika ainsi que tous les Algériens réitèrent, à travers ce slogan, l'attachement au serment du 1er Novembre 1954 pour une Algérie forte et glorieuse", a-t-il souligné. "Notre serment pour l'Algérie" reflète un engagement vis-à-vis des propositions "fondatrices d'un nouveau pacte de développement, la présente échéance étant liée à une nouvelle ère d'édification", a-t-il enchaîné. Pour le candidat du FNA la devise est "l'Algérie pour tous les Algériens". Elle se dégage de la plate-forme du parti inspirée de la Déclaration du 1er Novembre. Pour Abdelkader Boudjouras, directeur de campagne de Moussa Touati, le slogan du FNA repose sur le "principe d'égalité devant la loi des droits et devoirs en vue de construire un Etat de droit dans toutes ses dimensions sociale,économique, politique et géographique". Le slogan prône "un dialogue national sans exclusion pour l'établissement d'un régime parlementaire qui consacre la souveraineté du peuple". L'unique femme à se présenter à la présidentielle 2014, Louisa Hanoune, candidate du Parti des travailleurs (PT) a, elle, opté pour "l'audace pour l'édification de la deuxième République". Pour Ramdane Youcef Taazibt, membre dirigeant du parti, ce mot d'ordre traduit les engagements faits par Hanoune, principalement l'annulation du code de la famille, l'annulation de la peine capitale, l'officialisation de la langue amazighe et son enseignement obligatoire dans les 48 wilayas, la séparation des pouvoirs et l'indépendance de la justice. Les dirigeants du PT veillent à ce que "cette campagne soit la meilleure depuis la création du parti", a indiqué Taazibt, soulignant "nous participons à ces élections pour gagner et pour que triomphe l'Algérie". Le candidat du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, qui a choisi pour slogan : "Développement-excellence-égalité", plaide pour "la décentralisation des autoritéséconomiques et sociales et l'élargissement des prérogatives des assemblées élues", promettant d'opérer "un changement radical à tous les niveaux", avec en premier lieu la révision de la Constitution.