La vallée du M'zab est devenue un véritable drame national. Les violences ne cessent de secouer la région depuis déjà un an. Elle connait de plus en plus de féroces violences jusqu'au décès de plusieurs personnes. Pas plus tard qu'hier, une autre personne, un homme âgé de 32 ans, père de trois enfants a succombé à ses blessures. Une situation qui devient alarmante. La vallée du M'zab est devenue un véritable drame national. Les violences ne cessent de secouer la région depuis déjà un an. Elle connait de plus en plus de féroces violences jusqu'au décès de plusieurs personnes. Pas plus tard qu'hier, une autre personne, un homme âgé de 32 ans, père de trois enfants a succombé à ses blessures. Une situation qui devient alarmante. Ces violences qui ne cessent d'alimenter l'insécurité dans la wilaya de Ghardaïa ont causé de grandes pertes sur le plan humain et matériel. La malheureuse victime a été blessée dans des échauffourées sporadiques entre groupes de jeunes. Le père de famille a été lardé de coups à l'aide d'objets contondants, dans le quartier « Mermed », avant de succomber à ses blessures, précise l'APS. Dans la matinée d'hier, plus d'une trentaine de blessés, dont quatre dans un état critique, ont été admis aux urgences de l'hôpital Tirichine. Durant les journées de vendredi et samedi, des quartiers de la vallée du M'zab (Ghardaïa) ont connu de nouveaux affrontements entre groupes de jeunes, une situation qui ne semblerait pas aller vers l'apaisement puisque les actes de violence sporadiques et récurrents se sont étendus à la localité de Berriane. D'ailleurs, avant-hier un jeune homme de 22 ans a connu la mort lors des affrontements avec un fusil de chasse. Plusieurs quartiers des communes de Ghardaïa, Bounoura et Daya Ben Dahoua, situées dans la vallée du M'zab et celle de Berriane, ont été le théâtre d'actes de violence, de destruction, de vandalisme, de pillage suivis d'incendie, à l'issue de ces échauffourées sporadiques entre groupes de jeunes. Une cinquantaine de locaux à caractère commercial et d'habitation, quatre parcs de matériels roulants, le siège de la station de l'Institut national de protection des végétaux (INPV), une vingtaine de véhicules et une trentaine de palmeraies ont été pillés, saccagés avant d'être incendiés par des jeunes en furie à travers les quartiers de Ghardaïa, Bounoura et Daya Ben Dahoua. Les scènes de commerces pillés, de véhicules caillassés et incendiés et d'habitations noircies par les flammes, effrayent et scandalisent les visiteurs et la population de Ghardaïa dans toute sa composante. Les actes de destruction des biens publics et privés semblent devenir un "défouloir" pour les jeunes, soutient un universitaire écœuré, avant d'ajouter que « ces actes irresponsables ne doivent en aucun cas être tolérés». Devant un important dispositif sécuritaire déployé, des centaines de jeunes cagoulés s'affrontent à l'aide de pierres, d'objets hétéroclites ou de cocktails Molotov dans plusieurs quartiers, fracassent des vitrines de magasins, commettent de nombreux actes de vandalisme et incendient des voitures, poussant les brigades anti-émeute à faire usage de bombes lacrymogènes et de canons à eau pour disperser les émeutiers. La région de Ghardaïa a été depuis la fin de l'année écoulée le théâtre d'affrontements répétés entre groupes de jeunes avec des jets de cocktails Molotov et divers projectiles. Ces violences, marquées par des périodes de répit, connaissent actuellement une forte intensité. Plus de 700 locaux à caractère d'habitation et commercial ont été vandalisés, pillés avant d'être incendiés, lors des échauffourées qu'a connues Ghardaïa depuis janvier dernier, selon la wilaya. Ces évènements ont fait depuis huit morts et plus d'une centaine de blessés et l'incendie de plus d'une cinquantaine de véhicules particuliers. Plusieurs actions visant à rétablir définitivement le calme dans la région par le dialogue et le rapprochement entre les belligérants ont été entreprises par de nombreuses personnalités politiques, religieuses (association des oulémas) et sportives. Ce conflit devient de jour en jour de plus en plus profond et semble devenir une tradition puisqu'on notera que plusieurs affrontements ont opposé par le passé et depuis déjà quelques années les membres de la communauté malékite à ceux de la communauté ibadite. Une énième fois durant ce mois, cette ville réputée pour être un havre de paix et de sagesse a connu des jours effroyables de terreur et de violences. Une situation qui ne peut plus durer, s'associent à dire plusieurs hommes et femmes politiques. Pourtant, malgré le bon vouloir des uns et des autres, cette braise d'incompréhension entre les deux communautés ne cesse de s'enflammer faisant à chaque fois plusieurs victimes. Ainsi, le feuilleton dramatique de Ghardaïa n'a pas encore donné son dernier épisode ! Ces violences qui ne cessent d'alimenter l'insécurité dans la wilaya de Ghardaïa ont causé de grandes pertes sur le plan humain et matériel. La malheureuse victime a été blessée dans des échauffourées sporadiques entre groupes de jeunes. Le père de famille a été lardé de coups à l'aide d'objets contondants, dans le quartier « Mermed », avant de succomber à ses blessures, précise l'APS. Dans la matinée d'hier, plus d'une trentaine de blessés, dont quatre dans un état critique, ont été admis aux urgences de l'hôpital Tirichine. Durant les journées de vendredi et samedi, des quartiers de la vallée du M'zab (Ghardaïa) ont connu de nouveaux affrontements entre groupes de jeunes, une situation qui ne semblerait pas aller vers l'apaisement puisque les actes de violence sporadiques et récurrents se sont étendus à la localité de Berriane. D'ailleurs, avant-hier un jeune homme de 22 ans a connu la mort lors des affrontements avec un fusil de chasse. Plusieurs quartiers des communes de Ghardaïa, Bounoura et Daya Ben Dahoua, situées dans la vallée du M'zab et celle de Berriane, ont été le théâtre d'actes de violence, de destruction, de vandalisme, de pillage suivis d'incendie, à l'issue de ces échauffourées sporadiques entre groupes de jeunes. Une cinquantaine de locaux à caractère commercial et d'habitation, quatre parcs de matériels roulants, le siège de la station de l'Institut national de protection des végétaux (INPV), une vingtaine de véhicules et une trentaine de palmeraies ont été pillés, saccagés avant d'être incendiés par des jeunes en furie à travers les quartiers de Ghardaïa, Bounoura et Daya Ben Dahoua. Les scènes de commerces pillés, de véhicules caillassés et incendiés et d'habitations noircies par les flammes, effrayent et scandalisent les visiteurs et la population de Ghardaïa dans toute sa composante. Les actes de destruction des biens publics et privés semblent devenir un "défouloir" pour les jeunes, soutient un universitaire écœuré, avant d'ajouter que « ces actes irresponsables ne doivent en aucun cas être tolérés». Devant un important dispositif sécuritaire déployé, des centaines de jeunes cagoulés s'affrontent à l'aide de pierres, d'objets hétéroclites ou de cocktails Molotov dans plusieurs quartiers, fracassent des vitrines de magasins, commettent de nombreux actes de vandalisme et incendient des voitures, poussant les brigades anti-émeute à faire usage de bombes lacrymogènes et de canons à eau pour disperser les émeutiers. La région de Ghardaïa a été depuis la fin de l'année écoulée le théâtre d'affrontements répétés entre groupes de jeunes avec des jets de cocktails Molotov et divers projectiles. Ces violences, marquées par des périodes de répit, connaissent actuellement une forte intensité. Plus de 700 locaux à caractère d'habitation et commercial ont été vandalisés, pillés avant d'être incendiés, lors des échauffourées qu'a connues Ghardaïa depuis janvier dernier, selon la wilaya. Ces évènements ont fait depuis huit morts et plus d'une centaine de blessés et l'incendie de plus d'une cinquantaine de véhicules particuliers. Plusieurs actions visant à rétablir définitivement le calme dans la région par le dialogue et le rapprochement entre les belligérants ont été entreprises par de nombreuses personnalités politiques, religieuses (association des oulémas) et sportives. Ce conflit devient de jour en jour de plus en plus profond et semble devenir une tradition puisqu'on notera que plusieurs affrontements ont opposé par le passé et depuis déjà quelques années les membres de la communauté malékite à ceux de la communauté ibadite. Une énième fois durant ce mois, cette ville réputée pour être un havre de paix et de sagesse a connu des jours effroyables de terreur et de violences. Une situation qui ne peut plus durer, s'associent à dire plusieurs hommes et femmes politiques. Pourtant, malgré le bon vouloir des uns et des autres, cette braise d'incompréhension entre les deux communautés ne cesse de s'enflammer faisant à chaque fois plusieurs victimes. Ainsi, le feuilleton dramatique de Ghardaïa n'a pas encore donné son dernier épisode !