Comme à l'accoutumée, l'éditeur Symantec vient de publier son nouveau rapport ISTR sur les grandes tendances des malwares pour l'année 2013. Entre l'augmentation des attaques ciblées et la France placée en 15e position des pays les plus actifs en matière de cyberdélinquance, on y apprend surtout que les ransomwares représentent la menace la plus en vogue en ce moment. Comme à l'accoutumée, l'éditeur Symantec vient de publier son nouveau rapport ISTR sur les grandes tendances des malwares pour l'année 2013. Entre l'augmentation des attaques ciblées et la France placée en 15e position des pays les plus actifs en matière de cyberdélinquance, on y apprend surtout que les ransomwares représentent la menace la plus en vogue en ce moment. Derrière ce terme de ransomware, que l'on traduit généralement par rançongiciel, se cache l'un des malwares les plus "lucratifs" pour les pirates. Un ransonware est un logiciel malveillant installé sur un PC, et qui va exiger une certaine somme d'argent à l'utilisateur de la machine en question. Jusqu'à présent, pour se faire payer, les ransowares se contentaient de se faire passer pour une instance (la police, une autorité juridique...) ou ne chiffraient qu'une partie des données de l'utilisateur. Désormais, ils cryptent l'intégralité d'un disque et empêchent l'utilisateur d'accéder à sa machine. Selon Symantec, le nombre de ransomware a été multiplié par 5. Le prix de la "rançon" s'étend en moyenne de 100 à 400 dollars, mais seulement 3% des victimes cèdent au chantage. Pour les 97% restant, c'est soit restauration depuis une sauvegarde, soit une réinstallation complète (avec perte des données personnelles à la clé). Notez au passage que, si le phénomène des ransomwares touche essentiellement le monde des PC, il a également été observé sur les smartphones et tablettes Android. Son nom ? FakeAV. Derrière ce terme de ransomware, que l'on traduit généralement par rançongiciel, se cache l'un des malwares les plus "lucratifs" pour les pirates. Un ransonware est un logiciel malveillant installé sur un PC, et qui va exiger une certaine somme d'argent à l'utilisateur de la machine en question. Jusqu'à présent, pour se faire payer, les ransowares se contentaient de se faire passer pour une instance (la police, une autorité juridique...) ou ne chiffraient qu'une partie des données de l'utilisateur. Désormais, ils cryptent l'intégralité d'un disque et empêchent l'utilisateur d'accéder à sa machine. Selon Symantec, le nombre de ransomware a été multiplié par 5. Le prix de la "rançon" s'étend en moyenne de 100 à 400 dollars, mais seulement 3% des victimes cèdent au chantage. Pour les 97% restant, c'est soit restauration depuis une sauvegarde, soit une réinstallation complète (avec perte des données personnelles à la clé). Notez au passage que, si le phénomène des ransomwares touche essentiellement le monde des PC, il a également été observé sur les smartphones et tablettes Android. Son nom ? FakeAV.