Sept partenariats entre des entreprises algériennes et leurs homologues espagnoles pour un montant d'investissement de 3 milliards DA ont été finalisés durant l'exercice 2013-2014, a indiqué samedi à Alger un responsable au ministère du Développement industriel et de la Promotion de l'Investissement. Sept partenariats entre des entreprises algériennes et leurs homologues espagnoles pour un montant d'investissement de 3 milliards DA ont été finalisés durant l'exercice 2013-2014, a indiqué samedi à Alger un responsable au ministère du Développement industriel et de la Promotion de l'Investissement. "Rien que pour l'exercice 2013-2014, 7 opérations de partenariat algéro-espagnol ont bénéficié du soutien de l'Etat", a précisé le secrétaire général au ministère, El Hadi Makboul, lors d'un forum économique algéro-espagnol tenu en présence du ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Mohamed Amine Hadj Saïd et du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Garcia-Margallo y Marfil, en visite en Algérie. Ces partenariats "stratégiques" avec des entreprises espagnoles leaders dans leur domaine, en cours de réalisation, sont orientés principalement vers la fabrication de véhicules industriels et de travaux publics, de matériaux de construction ainsi que le développement d'activités de récupération et de recyclage de déchets, a-t-il ajouté. "L'ensemble des protocoles d'accords et des business plans à été finalisé avec l'élaboration des pactes d'actionnaires et la préparation de la mise en production", a-t-il fait savoir, lors de cette rencontre à laquelle ont participé une soixantaine d'entreprises espagnoles et des opérateurs économiques algériens représentants différents secteurs. Le volume des échanges entre les deux pays a connu une "augmentation substantielle", passant de 8,5 milliards de dollars en 2010 à 15,5 milliards de dollars en 2013, "un niveau rarement atteint" avec les autres partenaires de l'Algérie, a indiqué Makboul. Cet échange est particulièrement porté par les exportations des hydrocarbures qui font que l'Algérie assure actuellement près de 42% de ses besoins en gaz, la plaçant ainsi comme "un partenaire important dans la zone méditerranéenne", a-t-il souligné. La coopération économique avec l'Espagne demeure "exemplaire et soutenue" dans les secteurs de l'Energie, des Transports, de l'Habitat, des Travaux publics, des Ressources en Eau et de la Culture, a-t-il soutenu. Selon Makboul, outre le facteur "complémentarité", la consolidation d'un partenariat durable entre l'Algérie et l'Espagne dans sa nouvelle forme peut se concevoir autour de trois axes. Dans le domaine institutionnel, la coopération est possible notamment dans la formation de haut niveau, la gestion des parcs industriels ainsi que des actions de jumelage entre les institutions et grandes écoles des deux pays. Ce partenariat peut être également concrétisé en matière de "renforcement d'un tissu de PME dense et diversifié et ce grâce à des échanges d'expertises pour coopérer sur un vaste programme de mise à niveau rendant ainsi ces PME en mesure de s'ouvrir à l'international". Makboul a souligné, dans ce sens, que l'Algérie attend aussi que la promotion de partenariats dans ce domaine avec l'Espagne "stimule un effet d'entraînement sur l'économie domestique par la modernisation de son outil industriel, la valorisation de ses ressources humaines et naturelles et une plus grande ouverture sur les marchés extérieurs". Quant au renforcement du partenariat industriel et technologique entre l'Algérie et l'Espagne, "même s'il n'a pas encore atteint le niveau d'excellence de leurs relations politiques", il "mérité d'être cité comme exemple, au regard de sa diversification et à son engagement". Le même responsable a relevé que le constat positif du partenariat avec l'Espagne démontre que les opérateurs espagnols "répondent favorablement" à la demande du marché algérien dans les différents domaines de l'activité économique notamment dans les services et le commerce. Selon Makboul, le secteur de la production industrielle et du BTPH a aussi enregistré une "nette évolution" du nombre de sociétés espagnoles intervenants dans ce domaine et inscrits au registre de commerce en Algérie, passant de 154 entreprises en 2011 à 269 en avril 2014. Pour lui, la redynamisation du Conseil d'affaires algéro-espagnol et la création d'une Chambre mixte de commerce et d'industrie sont nécessaires à la constitution d'espaces privilégiés pour les hommes d'affaires des deux pays, en quête d'opportunités d'affaires et de partenariats. Le Forum de partenariat algéro-espagnol intervient dans le prolongement de la 5e réunion de haut niveau tenue à Alger le 10 janvier 2013. "Rien que pour l'exercice 2013-2014, 7 opérations de partenariat algéro-espagnol ont bénéficié du soutien de l'Etat", a précisé le secrétaire général au ministère, El Hadi Makboul, lors d'un forum économique algéro-espagnol tenu en présence du ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Mohamed Amine Hadj Saïd et du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Garcia-Margallo y Marfil, en visite en Algérie. Ces partenariats "stratégiques" avec des entreprises espagnoles leaders dans leur domaine, en cours de réalisation, sont orientés principalement vers la fabrication de véhicules industriels et de travaux publics, de matériaux de construction ainsi que le développement d'activités de récupération et de recyclage de déchets, a-t-il ajouté. "L'ensemble des protocoles d'accords et des business plans à été finalisé avec l'élaboration des pactes d'actionnaires et la préparation de la mise en production", a-t-il fait savoir, lors de cette rencontre à laquelle ont participé une soixantaine d'entreprises espagnoles et des opérateurs économiques algériens représentants différents secteurs. Le volume des échanges entre les deux pays a connu une "augmentation substantielle", passant de 8,5 milliards de dollars en 2010 à 15,5 milliards de dollars en 2013, "un niveau rarement atteint" avec les autres partenaires de l'Algérie, a indiqué Makboul. Cet échange est particulièrement porté par les exportations des hydrocarbures qui font que l'Algérie assure actuellement près de 42% de ses besoins en gaz, la plaçant ainsi comme "un partenaire important dans la zone méditerranéenne", a-t-il souligné. La coopération économique avec l'Espagne demeure "exemplaire et soutenue" dans les secteurs de l'Energie, des Transports, de l'Habitat, des Travaux publics, des Ressources en Eau et de la Culture, a-t-il soutenu. Selon Makboul, outre le facteur "complémentarité", la consolidation d'un partenariat durable entre l'Algérie et l'Espagne dans sa nouvelle forme peut se concevoir autour de trois axes. Dans le domaine institutionnel, la coopération est possible notamment dans la formation de haut niveau, la gestion des parcs industriels ainsi que des actions de jumelage entre les institutions et grandes écoles des deux pays. Ce partenariat peut être également concrétisé en matière de "renforcement d'un tissu de PME dense et diversifié et ce grâce à des échanges d'expertises pour coopérer sur un vaste programme de mise à niveau rendant ainsi ces PME en mesure de s'ouvrir à l'international". Makboul a souligné, dans ce sens, que l'Algérie attend aussi que la promotion de partenariats dans ce domaine avec l'Espagne "stimule un effet d'entraînement sur l'économie domestique par la modernisation de son outil industriel, la valorisation de ses ressources humaines et naturelles et une plus grande ouverture sur les marchés extérieurs". Quant au renforcement du partenariat industriel et technologique entre l'Algérie et l'Espagne, "même s'il n'a pas encore atteint le niveau d'excellence de leurs relations politiques", il "mérité d'être cité comme exemple, au regard de sa diversification et à son engagement". Le même responsable a relevé que le constat positif du partenariat avec l'Espagne démontre que les opérateurs espagnols "répondent favorablement" à la demande du marché algérien dans les différents domaines de l'activité économique notamment dans les services et le commerce. Selon Makboul, le secteur de la production industrielle et du BTPH a aussi enregistré une "nette évolution" du nombre de sociétés espagnoles intervenants dans ce domaine et inscrits au registre de commerce en Algérie, passant de 154 entreprises en 2011 à 269 en avril 2014. Pour lui, la redynamisation du Conseil d'affaires algéro-espagnol et la création d'une Chambre mixte de commerce et d'industrie sont nécessaires à la constitution d'espaces privilégiés pour les hommes d'affaires des deux pays, en quête d'opportunités d'affaires et de partenariats. Le Forum de partenariat algéro-espagnol intervient dans le prolongement de la 5e réunion de haut niveau tenue à Alger le 10 janvier 2013.