Sur 500.000 bulletins de vote de 26 provinces, le Dr Abdullah arrive en tête avec 41,9 % des voix. Ashraf Ghani a 37,6 % et arrive en deuxième position et Zalmai Rassoul, avec 9,8 %, arrive à la troisième place. Sur 500.000 bulletins de vote de 26 provinces, le Dr Abdullah arrive en tête avec 41,9 % des voix. Ashraf Ghani a 37,6 % et arrive en deuxième position et Zalmai Rassoul, avec 9,8 %, arrive à la troisième place. L'ancien ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah arrivait en tête devant Ashraf Ghani à l'élection présidentielle qui s'est tenue en Afghanistan la semaine dernière, selon des résultats partiels annoncés dimanche par la Commission électorale indépendante (IEC). "Aujourd'hui nous annonçons les résultats partiels de 26 provinces avec 10% des votes comptabilisés, qui incluent (des provinces) du nord, du sud, de l'est et de l'ouest de Kaboul", a déclaré Yousuf Nuristani, chef de l'IEC, qui a mis en garde contre l'annonce prématurée d'une victoire. "Sur 500.000 bulletins de vote de 26 provinces, le Dr Abdullah arrive en tête avec 41,9 % des voix. Ashraf Ghani a 37,6 % et arrive en deuxième position et Zalmai Rassoul, avec 9,8 %, arrive à la troisième place". Plus de 7 millions d'Afghans ont voté le 5 avril sans incident majeur, malgré les menaces d'attaques des talibans, pour désigner le successeur du président Hamid Karzaï à quelques mois du retrait des soldats de l'Otan. Les favoris du scrutin, qui marquera la première passation de pouvoir d'un président afghan démocratiquement élu à un autre, étaient trois anciens ministres de M. Karzai : Zalmai Rassoul, considéré comme le candidat du président sortant, Ashraf Ghani, un économiste réputé, et Abdullah Abdullah, opposant arrivé en deuxième position à la présidentielle de 2009. Cette élection est considérée comme un test majeur pour la stabilité du pays alors que le retrait des forces occidentales fait craindre qu'il ne retombe dans le chaos. La crédibilité du scrutin est en outre menacée par les fraudes, qui compromettraient la légitimité du vainqueur. Cependant, les fraudes et l'abstention semblent avoir été moins massives que celles qui ont terni la réelection de M. Karzaï en 2009. 8 candidats au total étaient en lice pour succéder à M. Karzaï, seul homme à avoir dirigé ce pays pauvre et enclavé de quelque 28 millions d'habitants depuis la chute des talibans en 2001 et à qui la Constitution interdisait de briguer un troisième mandat. Un éventuel deuxième tour sera organisé pour départager les deux candidats arrivés en tête si aucun concurrent n'obtient plus de 50 % des voix au premier tour. M. Abdullah, ophtalmologue de formation, a été un combattant de la résistance pendant l'occupation soviétique dans les années 80 et un ami proche d'Akhmad Shah Massoud, légendaire chef de guerre tadjik qui a combattu les talibans lorsqu'ils étaient au pouvoir (1996-2001) et qui fut assassiné deux jours avant les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. M. Ghani, ancien économiste à la Bnaque mondiale, est surtout le favori de la majorité pachtoune, alors que M. Abdullah est plutôt associé aux Tadjiks qui peuplent le nord du pays. Les trois principaux candidats ont promis de protéger les droits des femmes, de faire la paix avec les talibans et de signer un pacte de sécurité avec les Etats-Unis qui permettrait à quelque 10.000 hommes de rester en Afghanistan au cours des dix prochaines années. L'ancien ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah arrivait en tête devant Ashraf Ghani à l'élection présidentielle qui s'est tenue en Afghanistan la semaine dernière, selon des résultats partiels annoncés dimanche par la Commission électorale indépendante (IEC). "Aujourd'hui nous annonçons les résultats partiels de 26 provinces avec 10% des votes comptabilisés, qui incluent (des provinces) du nord, du sud, de l'est et de l'ouest de Kaboul", a déclaré Yousuf Nuristani, chef de l'IEC, qui a mis en garde contre l'annonce prématurée d'une victoire. "Sur 500.000 bulletins de vote de 26 provinces, le Dr Abdullah arrive en tête avec 41,9 % des voix. Ashraf Ghani a 37,6 % et arrive en deuxième position et Zalmai Rassoul, avec 9,8 %, arrive à la troisième place". Plus de 7 millions d'Afghans ont voté le 5 avril sans incident majeur, malgré les menaces d'attaques des talibans, pour désigner le successeur du président Hamid Karzaï à quelques mois du retrait des soldats de l'Otan. Les favoris du scrutin, qui marquera la première passation de pouvoir d'un président afghan démocratiquement élu à un autre, étaient trois anciens ministres de M. Karzai : Zalmai Rassoul, considéré comme le candidat du président sortant, Ashraf Ghani, un économiste réputé, et Abdullah Abdullah, opposant arrivé en deuxième position à la présidentielle de 2009. Cette élection est considérée comme un test majeur pour la stabilité du pays alors que le retrait des forces occidentales fait craindre qu'il ne retombe dans le chaos. La crédibilité du scrutin est en outre menacée par les fraudes, qui compromettraient la légitimité du vainqueur. Cependant, les fraudes et l'abstention semblent avoir été moins massives que celles qui ont terni la réelection de M. Karzaï en 2009. 8 candidats au total étaient en lice pour succéder à M. Karzaï, seul homme à avoir dirigé ce pays pauvre et enclavé de quelque 28 millions d'habitants depuis la chute des talibans en 2001 et à qui la Constitution interdisait de briguer un troisième mandat. Un éventuel deuxième tour sera organisé pour départager les deux candidats arrivés en tête si aucun concurrent n'obtient plus de 50 % des voix au premier tour. M. Abdullah, ophtalmologue de formation, a été un combattant de la résistance pendant l'occupation soviétique dans les années 80 et un ami proche d'Akhmad Shah Massoud, légendaire chef de guerre tadjik qui a combattu les talibans lorsqu'ils étaient au pouvoir (1996-2001) et qui fut assassiné deux jours avant les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. M. Ghani, ancien économiste à la Bnaque mondiale, est surtout le favori de la majorité pachtoune, alors que M. Abdullah est plutôt associé aux Tadjiks qui peuplent le nord du pays. Les trois principaux candidats ont promis de protéger les droits des femmes, de faire la paix avec les talibans et de signer un pacte de sécurité avec les Etats-Unis qui permettrait à quelque 10.000 hommes de rester en Afghanistan au cours des dix prochaines années.