L'Entreprise publique de télévision (EPTV) a dénoncé mardi dans un communiqué "les accusations infondées" portées à son encontre par le candidat indépendant Ali Benflis, lors d'une conférence de presse au siège de sa permanence électorale, et atteste n'"avoir pas censuré le candidat qui s'exprimait en direct dans l'émission "Baramij oua As-ila" (des programmes et des questions)". L'Entreprise publique de télévision (EPTV) a dénoncé mardi dans un communiqué "les accusations infondées" portées à son encontre par le candidat indépendant Ali Benflis, lors d'une conférence de presse au siège de sa permanence électorale, et atteste n'"avoir pas censuré le candidat qui s'exprimait en direct dans l'émission "Baramij oua As-ila" (des programmes et des questions)". Le candidat Benflis avait soutenu mardi que "la télévision publique n'a pas diffusé l'intégralité" de ses déclarations et que ses propos "ont été sortis de leur contexte et instrumentalisés d'une manière éhontée". Dans son communiqué, l'EPTV "fustige et dénonce ces accusations infondées et atteste n'avoir jamais censuré les propos du candidat qui s'exprimait en direct", à l'instar des autres candidats. "Au terme de l'émission, le candidat avait droit au mot de la fin pour s'adresser à ses partisans et son intervention, claire et adressée au peuple algérien, comportait les déclarations largement relayées par les différents organes de presse et les réseaux sociaux", ajoute le communiqué. "Un enregistrement de l'émission, remis au candidat, démontre et prouve que ses allégations sont infondées puisqu'il comporte l'intégralité de sa déclaration jusqu'au moment où il a salué et remercié les téléspectateurs", poursuit le communiqué expliquant que la durée de l'émission "Baramij oua As-ila" diffusée en direct mercredi 09 avril 2014 à 21h15 "devait durer une heure et quart (75 mn)" pour tous les candidats mais le plaignant, en l'occurrence le candidat Benflis, "a empiété de trois minutes sur le temps imparti en s'arrogeant une heure et 18 minutes (78 minutes)". Selon le communiqué, le candidat Benflis est "le seul à avoir bénéficié d'une telle plage horaire par rapport aux autres concurrents que l'émission a reçus". "La télévision algérienne qui s'étonne des assertions mensongères dudit candidat, n'excluait toutefois pas pareilles accusations injustifiées car tout au long de la campagne électorale, le candidat n'a pas manqué de s'attaquer à l'EPTV", souligne encore le communiqué. "L'EPTV avait autorisé les représentants dudit candidat à assister au montage pour choisir les séquences à diffuser lors des différents JT pour éviter de telles attaques médiatiques et politiques alors que les autres candidats se contentaient d'indiquer au journaliste les séquences à faire passer au JT sans pour autant se présenter aux séances de montage", précise le communiqué. "L'EPTV souligne son attachement à poursuivre sa mission en faveur d'un service public à la hauteur de la dynamique politique et du rendez- vous démocratique auquel se prépare l'Algérie et se refuse d'accorder le moindre intérêt à ceux qui veulent faire de cette institution médiatique leur souffre- douleur ", conclut le communiqué. Le candidat Benflis avait soutenu mardi que "la télévision publique n'a pas diffusé l'intégralité" de ses déclarations et que ses propos "ont été sortis de leur contexte et instrumentalisés d'une manière éhontée". Dans son communiqué, l'EPTV "fustige et dénonce ces accusations infondées et atteste n'avoir jamais censuré les propos du candidat qui s'exprimait en direct", à l'instar des autres candidats. "Au terme de l'émission, le candidat avait droit au mot de la fin pour s'adresser à ses partisans et son intervention, claire et adressée au peuple algérien, comportait les déclarations largement relayées par les différents organes de presse et les réseaux sociaux", ajoute le communiqué. "Un enregistrement de l'émission, remis au candidat, démontre et prouve que ses allégations sont infondées puisqu'il comporte l'intégralité de sa déclaration jusqu'au moment où il a salué et remercié les téléspectateurs", poursuit le communiqué expliquant que la durée de l'émission "Baramij oua As-ila" diffusée en direct mercredi 09 avril 2014 à 21h15 "devait durer une heure et quart (75 mn)" pour tous les candidats mais le plaignant, en l'occurrence le candidat Benflis, "a empiété de trois minutes sur le temps imparti en s'arrogeant une heure et 18 minutes (78 minutes)". Selon le communiqué, le candidat Benflis est "le seul à avoir bénéficié d'une telle plage horaire par rapport aux autres concurrents que l'émission a reçus". "La télévision algérienne qui s'étonne des assertions mensongères dudit candidat, n'excluait toutefois pas pareilles accusations injustifiées car tout au long de la campagne électorale, le candidat n'a pas manqué de s'attaquer à l'EPTV", souligne encore le communiqué. "L'EPTV avait autorisé les représentants dudit candidat à assister au montage pour choisir les séquences à diffuser lors des différents JT pour éviter de telles attaques médiatiques et politiques alors que les autres candidats se contentaient d'indiquer au journaliste les séquences à faire passer au JT sans pour autant se présenter aux séances de montage", précise le communiqué. "L'EPTV souligne son attachement à poursuivre sa mission en faveur d'un service public à la hauteur de la dynamique politique et du rendez- vous démocratique auquel se prépare l'Algérie et se refuse d'accorder le moindre intérêt à ceux qui veulent faire de cette institution médiatique leur souffre- douleur ", conclut le communiqué.