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La DGSN sur le pied de guerre
186.000 policiers mobilisés pour l'élection présidentielle
Publié dans Le Midi Libre le 17 - 04 - 2014

En marge du forum de la Sûreté nationale, le directeur de la Sécurité publique - Aïssa Naïli - a animé, à l'école supérieure de police Ali-Tounsi, un point de presse, pour annoncer le plan de sécurisation de la présidentielle. Il a ainsi annoncé que la DGSN est prête à faire face aux différents scénarii durant ce scrutin dans l'objectif d'assurer une totale sécurité aux citoyens algériens.
En marge du forum de la Sûreté nationale, le directeur de la Sécurité publique - Aïssa Naïli - a animé, à l'école supérieure de police Ali-Tounsi, un point de presse, pour annoncer le plan de sécurisation de la présidentielle. Il a ainsi annoncé que la DGSN est prête à faire face aux différents scénarii durant ce scrutin dans l'objectif d'assurer une totale sécurité aux citoyens algériens.
Aïssa Naïli a détaillé ce plan, expliquant qu'il se décline « en trois étapes : la première consiste en la sécurisation des meetings et les déplacements des candidats, la deuxième étént la sécurisation des centres de vote ainsi que les bureaux de vote et enfin la troisième l'après- élection, celle de la fête des Algériens ».
Le directeur a également précisé que les agents de la Sûreté nationale, tous grades confondus, seront présents à travers les 4.600 centres de vote, ainsi que le regroupement des 27.582 bureaux de vote.
Il a ainsi confirmé le nombre de policier déjà annoncé. « 186.000 policiers sont mobilisés sur le terrain pour la couverture sécuritaire de l'opération de vote », a-t-il précisé. Depuis plusieurs jours la DGSN, l'ANP et la GN ne cessent de confirmer leurs présences pour sécuriser ce scrutin, et c'est suite à notre question que M. Naïli a assuré que la police n'est nullement en « état d'alerte » ajoutant : « Nous avons une organisation interne qui nous permet d'utiliser tous les moyens ».
Durant ce point de presse M. Naïli a affirmé que la wilaya de Ghardaïa « ne constitue pas une exception, sauf qu'il y a des préoccupations qui ont été prises en charge dans le cadre du renforcement de la sécurité ».
Ce n'est pas la première sortie médiatique pour la DGSN concernant le prochain scrutin, puisque le chef de la cellule de communication et de presse de la DGSN, le commissaire divisionnaire Djilali Boudalia, s'était déja exprimé mardi en affirmant que « la DGSN a finalisé les ultimes préparatifs pour le bon déroulement de l'élection ».
« Toutes les instructions du directeur général de la DGSN, le général-major Abdelghani Hamel, ont été mis en œuvre à travers la mobilisation des ressources humaines et matérielles nécessaires pour assurer le déroulement de l'élection dans de bonnes conditions », a-t-il expliqué. Le plan sécuritaire de la police garantit, selon le même responsable, le renforcement de la coopération et de la coordination avec toutes les parties concernées, en vue de réunir « les conditions sécuritaires nécessaires au bon déroulement duscrutin ».
Les services de la Sûreté nationale continueront à « s'acquitter de leurs missions ordinaires de prévention, de même que le déploiement de patrouilles pour garantir la fluidité de la circulation dans les rues adjacentes aux centres de vote, ainsi qu'au niveau des gares routières, du métro et autres moyens de transport », a-t-il précisé. Les mêmes mesures de sécurité seront maintenues au niveau des instances officielles et des structures vitales, à travers l'ensemble du territoire national dans le cadre d'un plan préventif élaboré à l'occasion, ajoute le même responsable.
A une question sur les modalités d'intervention des forces de police au sein des centres de vote en cas d'incident, le même responsable a soutenu qu'il « convient de préciser que l'intervention des forces de sécurité au sein des centres et bureaux de vote obéit à la loi et règlements en vigueur. L'intervention exige une autorisation écrite du directeur du centre en personne », a précisé M. Boudalia. Outre ses missions ordinaires, la « DGSN veille lors de l'élection à assurer les mesures sécuritaires susceptibles de garantir le bon déroulement du scrutin », a-t-il rappelé.
Aïssa Naïli a détaillé ce plan, expliquant qu'il se décline « en trois étapes : la première consiste en la sécurisation des meetings et les déplacements des candidats, la deuxième étént la sécurisation des centres de vote ainsi que les bureaux de vote et enfin la troisième l'après- élection, celle de la fête des Algériens ».
Le directeur a également précisé que les agents de la Sûreté nationale, tous grades confondus, seront présents à travers les 4.600 centres de vote, ainsi que le regroupement des 27.582 bureaux de vote.
Il a ainsi confirmé le nombre de policier déjà annoncé. « 186.000 policiers sont mobilisés sur le terrain pour la couverture sécuritaire de l'opération de vote », a-t-il précisé. Depuis plusieurs jours la DGSN, l'ANP et la GN ne cessent de confirmer leurs présences pour sécuriser ce scrutin, et c'est suite à notre question que M. Naïli a assuré que la police n'est nullement en « état d'alerte » ajoutant : « Nous avons une organisation interne qui nous permet d'utiliser tous les moyens ».
Durant ce point de presse M. Naïli a affirmé que la wilaya de Ghardaïa « ne constitue pas une exception, sauf qu'il y a des préoccupations qui ont été prises en charge dans le cadre du renforcement de la sécurité ».
Ce n'est pas la première sortie médiatique pour la DGSN concernant le prochain scrutin, puisque le chef de la cellule de communication et de presse de la DGSN, le commissaire divisionnaire Djilali Boudalia, s'était déja exprimé mardi en affirmant que « la DGSN a finalisé les ultimes préparatifs pour le bon déroulement de l'élection ».
« Toutes les instructions du directeur général de la DGSN, le général-major Abdelghani Hamel, ont été mis en œuvre à travers la mobilisation des ressources humaines et matérielles nécessaires pour assurer le déroulement de l'élection dans de bonnes conditions », a-t-il expliqué. Le plan sécuritaire de la police garantit, selon le même responsable, le renforcement de la coopération et de la coordination avec toutes les parties concernées, en vue de réunir « les conditions sécuritaires nécessaires au bon déroulement duscrutin ».
Les services de la Sûreté nationale continueront à « s'acquitter de leurs missions ordinaires de prévention, de même que le déploiement de patrouilles pour garantir la fluidité de la circulation dans les rues adjacentes aux centres de vote, ainsi qu'au niveau des gares routières, du métro et autres moyens de transport », a-t-il précisé. Les mêmes mesures de sécurité seront maintenues au niveau des instances officielles et des structures vitales, à travers l'ensemble du territoire national dans le cadre d'un plan préventif élaboré à l'occasion, ajoute le même responsable.
A une question sur les modalités d'intervention des forces de police au sein des centres de vote en cas d'incident, le même responsable a soutenu qu'il « convient de préciser que l'intervention des forces de sécurité au sein des centres et bureaux de vote obéit à la loi et règlements en vigueur. L'intervention exige une autorisation écrite du directeur du centre en personne », a précisé M. Boudalia. Outre ses missions ordinaires, la « DGSN veille lors de l'élection à assurer les mesures sécuritaires susceptibles de garantir le bon déroulement du scrutin », a-t-il rappelé.


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