Le plus jeune des postulants à la magistrature suprême, Belaïd Abdelaziz participe pour la première fois à la course pour le poste du président de la République dont l'élection est prévue aujourd'hui. Le plus jeune des postulants à la magistrature suprême, Belaïd Abdelaziz participe pour la première fois à la course pour le poste du président de la République dont l'élection est prévue aujourd'hui. Né à Batna en 1963, marié et père de cinq enfants, M. Belaïd entame sa carrière militante en rejoignant, dès son jeune âge, les rangs des Scouts musulmans où il gravit rapidement les échelons pour en devenir un cadre national. Militant de base dans l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), il en prendra les rênes de 1986 à 2007. Militant également de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA), M. Belaïd assurera aussi la présidence de cette organisation. Titulaire d'un doctorat en médecine et d'une licence en droit, M. Belaïd s'est engagé en politique dans le parti du Front de libération nationale (FLN) à l'âge de 23 ans, au sein duquel il sera élu membre du comité central. M. Belaïd sera élu député à l'Assemblée nationale populaire (APN) pour deux mandatures (1997-2002) et (2002-2007) sous les couleurs du FLN, parti qu'il finira par quitter en 2011 pour créer, avec le concours d'autres militants, sa propre formation politique en 2012, le Front Moustakbal (FM). Sa nouvelle formation avait réussi à obtenir lors des législatives de mai 2012 deux sièges à l'APN. Le FM a également décroché 890 sièges dans les assemblées communales et de wilayas à l'issue des élections locales de septembre 2012. Il compte un siège au Conseil de la nation. Dans son programme électoral, le candidat avait axé sur une réforme "radicale" des systèmes politique, économique et social du pays. Il s'agit d'engager un débat général sur le projet de la Constitution avec la participation de toutes les catégories sociales et puis le soumettre au référendum populaire. Revoir la composante et les missions du Conseil constitutionnel notamment en ce qui concerne sa composante et sa relation avec les autres institutions constitutionnelles notamment la présidence de la République figure également parmi les réformes promises par M. Belaïd. S'agissant du secteur de la Justice, le candidat du FM, dont le slogan de campagne est : "L'avenir c'est maintenant", considère que la véritable justice est un "préalable à toute bonne gouvernance et doit être accessible à tous les justiciables sans contraintes bureaucratiques ni complications procédurales". Sur le volet défense nationale, le Front El Moustakbal affirme que cette instance "bénéficiera de toute l'attention qu'imposent le renforcement, la professionnalisation et la modernisation de potentialités de l'Armée nationale populaire". Le Front propose ainsi de fixer la durée du service national à un an en attendant que ce service "s'étende aux filles ayant des diplômes universitaires comme première étape". Né à Batna en 1963, marié et père de cinq enfants, M. Belaïd entame sa carrière militante en rejoignant, dès son jeune âge, les rangs des Scouts musulmans où il gravit rapidement les échelons pour en devenir un cadre national. Militant de base dans l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), il en prendra les rênes de 1986 à 2007. Militant également de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA), M. Belaïd assurera aussi la présidence de cette organisation. Titulaire d'un doctorat en médecine et d'une licence en droit, M. Belaïd s'est engagé en politique dans le parti du Front de libération nationale (FLN) à l'âge de 23 ans, au sein duquel il sera élu membre du comité central. M. Belaïd sera élu député à l'Assemblée nationale populaire (APN) pour deux mandatures (1997-2002) et (2002-2007) sous les couleurs du FLN, parti qu'il finira par quitter en 2011 pour créer, avec le concours d'autres militants, sa propre formation politique en 2012, le Front Moustakbal (FM). Sa nouvelle formation avait réussi à obtenir lors des législatives de mai 2012 deux sièges à l'APN. Le FM a également décroché 890 sièges dans les assemblées communales et de wilayas à l'issue des élections locales de septembre 2012. Il compte un siège au Conseil de la nation. Dans son programme électoral, le candidat avait axé sur une réforme "radicale" des systèmes politique, économique et social du pays. Il s'agit d'engager un débat général sur le projet de la Constitution avec la participation de toutes les catégories sociales et puis le soumettre au référendum populaire. Revoir la composante et les missions du Conseil constitutionnel notamment en ce qui concerne sa composante et sa relation avec les autres institutions constitutionnelles notamment la présidence de la République figure également parmi les réformes promises par M. Belaïd. S'agissant du secteur de la Justice, le candidat du FM, dont le slogan de campagne est : "L'avenir c'est maintenant", considère que la véritable justice est un "préalable à toute bonne gouvernance et doit être accessible à tous les justiciables sans contraintes bureaucratiques ni complications procédurales". Sur le volet défense nationale, le Front El Moustakbal affirme que cette instance "bénéficiera de toute l'attention qu'imposent le renforcement, la professionnalisation et la modernisation de potentialités de l'Armée nationale populaire". Le Front propose ainsi de fixer la durée du service national à un an en attendant que ce service "s'étende aux filles ayant des diplômes universitaires comme première étape".