Toutes les saisines parvenues à la Commission nationale de supervision de l'élection présidentielle ont été traitées et l'ensemble des parties concernées ont été informées des résultats de ces recours. Toutes les saisines parvenues à la Commission nationale de supervision de l'élection présidentielle ont été traitées et l'ensemble des parties concernées ont été informées des résultats de ces recours. C'est ce qu'a indiqué le président de la CNSEL, Hachemi Brahmi, peu après la proclamation des résultats de l'élection présidentielle par le ministre de l'intérieur, Tayeb Belaïz. Tout en rappelant les prérogatives des membres de cette commission qui ne sont pas identiques à la CNISEP, le conférencier a déclaré que le rôle de la commission nationale de supervision de l'élection présidentielle est de superviser l'application des dispositions de la loi organique portant régime électoral, du dépôt des candidatures jusqu'à la fin de l'opération électorale et l'annonce des résultats par le Conseil constitutionnel. « Nous sommes des magistrats qui n'appartiennent à aucun parti politique. Nous sommes tenus au droit de réserve et nous ne pouvons pas aller au-delà de nos prérogatives », a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse. Cette mise au point a été motivée face à l'insistance des journalistes pour qu'il divulgue les parties incriminées dans les saisines reçues par la commission. « Au total, a-t-il noté, notre commission a reçu 455 saisines entre la campagne électorale et l'opération du vote. 247 recours parvenus durant la campagne électorale et 208 saisines reçues le jour des élections ». Brahmi a affirmé que l'origine des saisines est diverse dont des membres même de la commission qui s'autosaisissent s'ils constatent ou apprennent l'existence de défaillances. Les autres recours sont parvenus des représentants des candidats et des médias, notamment l'ENTV et sont tous dirigés contre l'administration ou les candidats. Il a indiqué que « parler de dépassements est un peu exagéré parce qu'excepté quelques cas, à l'exemple de ce qui s'est passé dans certains bureaux de vote dans les wilayas de Bouira et Béjaïa où il y a eu des cas d'urnes et de bureaux incendiés, cela reste peu par rapport aux 49.971 bureaux de vote, il n'y a pas eu d'incidents majeurs ayant influencé sur le cours de l'opération de vote ». Il affirmera aussi que sa commission a été destinataire d'un nombre important de saisines liées, pour leur majorité, au constat d'urnes non scellées dans certains centres de vote. Le président de la CNSEL a reconnu que c'est la première fois dans l'histoire de l'Algérie que des médias sont pointés du doigt dans une consultation électorale. S'il n'a pas affirmé le nombre exact des saisines parvenues dans ce sens à la commission, il a assuré que les membres de la CNSEL ont visionné des vidéos et des sites électroniques pour trancher sur ces recours qui ont visé, comme tout le monde le sait, les candidats Bouteflika et Benflis. Questionné sur les cas de fraude qui auraient été enregistrés, Brahmi a relevé deux cas seulement. Le premier a porté sur une personne qui aurait voté sans procuration à la place d'une tierce personne et le deuxième sur un écart du nombre des enveloppes. Le conférencier a affirmé que ces dossiers ont été transmis à la justice pour confirmer ou infirmer ces allégations. C'est ce qu'a indiqué le président de la CNSEL, Hachemi Brahmi, peu après la proclamation des résultats de l'élection présidentielle par le ministre de l'intérieur, Tayeb Belaïz. Tout en rappelant les prérogatives des membres de cette commission qui ne sont pas identiques à la CNISEP, le conférencier a déclaré que le rôle de la commission nationale de supervision de l'élection présidentielle est de superviser l'application des dispositions de la loi organique portant régime électoral, du dépôt des candidatures jusqu'à la fin de l'opération électorale et l'annonce des résultats par le Conseil constitutionnel. « Nous sommes des magistrats qui n'appartiennent à aucun parti politique. Nous sommes tenus au droit de réserve et nous ne pouvons pas aller au-delà de nos prérogatives », a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse. Cette mise au point a été motivée face à l'insistance des journalistes pour qu'il divulgue les parties incriminées dans les saisines reçues par la commission. « Au total, a-t-il noté, notre commission a reçu 455 saisines entre la campagne électorale et l'opération du vote. 247 recours parvenus durant la campagne électorale et 208 saisines reçues le jour des élections ». Brahmi a affirmé que l'origine des saisines est diverse dont des membres même de la commission qui s'autosaisissent s'ils constatent ou apprennent l'existence de défaillances. Les autres recours sont parvenus des représentants des candidats et des médias, notamment l'ENTV et sont tous dirigés contre l'administration ou les candidats. Il a indiqué que « parler de dépassements est un peu exagéré parce qu'excepté quelques cas, à l'exemple de ce qui s'est passé dans certains bureaux de vote dans les wilayas de Bouira et Béjaïa où il y a eu des cas d'urnes et de bureaux incendiés, cela reste peu par rapport aux 49.971 bureaux de vote, il n'y a pas eu d'incidents majeurs ayant influencé sur le cours de l'opération de vote ». Il affirmera aussi que sa commission a été destinataire d'un nombre important de saisines liées, pour leur majorité, au constat d'urnes non scellées dans certains centres de vote. Le président de la CNSEL a reconnu que c'est la première fois dans l'histoire de l'Algérie que des médias sont pointés du doigt dans une consultation électorale. S'il n'a pas affirmé le nombre exact des saisines parvenues dans ce sens à la commission, il a assuré que les membres de la CNSEL ont visionné des vidéos et des sites électroniques pour trancher sur ces recours qui ont visé, comme tout le monde le sait, les candidats Bouteflika et Benflis. Questionné sur les cas de fraude qui auraient été enregistrés, Brahmi a relevé deux cas seulement. Le premier a porté sur une personne qui aurait voté sans procuration à la place d'une tierce personne et le deuxième sur un écart du nombre des enveloppes. Le conférencier a affirmé que ces dossiers ont été transmis à la justice pour confirmer ou infirmer ces allégations.