Dysphasie, dyslexie, dysgraphie, bégaiement... Certains enfants peuvent souffrir de ces troubles du langage. Or, ces derniers s'ils ne sont pas dépistés et, donc, traités à temps, risquent à la fois de freiner leur apprentissage scolaire et de nuire à leur épanouissement social. Dysphasie, dyslexie, dysgraphie, bégaiement... Certains enfants peuvent souffrir de ces troubles du langage. Or, ces derniers s'ils ne sont pas dépistés et, donc, traités à temps, risquent à la fois de freiner leur apprentissage scolaire et de nuire à leur épanouissement social. Il est, donc, essentiel de diagnostiquer ces troubles suffisamment tôt pour permettre à votre enfant de bénéficier, si nécessaire, d'une rééducation adaptée : l'enfant dyslexique confond des lettres et ne reconnaît pas les syllabes. En revanche, il n'a aucune difficulté à distinguer les chiffres. La mobylette devient «bomylette», l'oignon «wagnon» et le lavabo, un «badabo»... Ces erreurs de lecture, courantes chez les dyslexiques, paraissent d'abord charmantes chez un tout-petit... avant de susciter une vraie préoccupation. Mais rien n'est perdu. Picasso et Einstein eux-mêmes, étaient dyslexiques ! Ce trouble de la lecture, dépisté dès le cours préparatoire, n'a rien à voir avec l'intelligence. Il est reconnu comme un handicap et nécessite une prise en charge adaptée. La dyslexie touche 5% de la population scolaire. L'action conjointe des différents intervenants (famille, enseignants, soignants) est fondamentale pour éviter un risque d'engrenage face à un trouble particulièrement résistant. La dysphasie est à la parole ce que la dyslexie est à la lecture. Ce trouble combine des lacunes de vocabulaire, une expression télégraphique et des difficultés de compréhension. La dysgraphie désigne la difficulté à tracer chiffres et lettres (dimensions, orientations). Trouble de la parole, le bégaiement est à l'origine d'une véritable souffrance. Il débute, souvent, entre deux et quatre ans, rarement à l'âge adulte sauf après un traumatisme important. En fait, et plutôt qu'une cause précise, les spécialistes évoquent un ensemble de facteurs prédisposants : retard de parole, tensions familiales, anxiété... Certains événements peuvent aussi jouer un rôle déclencheur : naissance d'un autre enfant, déménagement, changement d'école ou séparation. Au même titre que certaines prédispositions génétiques, d'ailleurs, encore que ce sujet soit toujours discuté. Il est, donc, essentiel de diagnostiquer ces troubles suffisamment tôt pour permettre à votre enfant de bénéficier, si nécessaire, d'une rééducation adaptée : l'enfant dyslexique confond des lettres et ne reconnaît pas les syllabes. En revanche, il n'a aucune difficulté à distinguer les chiffres. La mobylette devient «bomylette», l'oignon «wagnon» et le lavabo, un «badabo»... Ces erreurs de lecture, courantes chez les dyslexiques, paraissent d'abord charmantes chez un tout-petit... avant de susciter une vraie préoccupation. Mais rien n'est perdu. Picasso et Einstein eux-mêmes, étaient dyslexiques ! Ce trouble de la lecture, dépisté dès le cours préparatoire, n'a rien à voir avec l'intelligence. Il est reconnu comme un handicap et nécessite une prise en charge adaptée. La dyslexie touche 5% de la population scolaire. L'action conjointe des différents intervenants (famille, enseignants, soignants) est fondamentale pour éviter un risque d'engrenage face à un trouble particulièrement résistant. La dysphasie est à la parole ce que la dyslexie est à la lecture. Ce trouble combine des lacunes de vocabulaire, une expression télégraphique et des difficultés de compréhension. La dysgraphie désigne la difficulté à tracer chiffres et lettres (dimensions, orientations). Trouble de la parole, le bégaiement est à l'origine d'une véritable souffrance. Il débute, souvent, entre deux et quatre ans, rarement à l'âge adulte sauf après un traumatisme important. En fait, et plutôt qu'une cause précise, les spécialistes évoquent un ensemble de facteurs prédisposants : retard de parole, tensions familiales, anxiété... Certains événements peuvent aussi jouer un rôle déclencheur : naissance d'un autre enfant, déménagement, changement d'école ou séparation. Au même titre que certaines prédispositions génétiques, d'ailleurs, encore que ce sujet soit toujours discuté.