Les subéraies de la wilaya de Tizi-Ouzou s'attendent à une nette augmentation dans la récolte de liège cette année avec une production prévisionnelle de 9.822 qx, soit plus du double du volume obtenu en 2013. Les subéraies de la wilaya de Tizi-Ouzou s'attendent à une nette augmentation dans la récolte de liège cette année avec une production prévisionnelle de 9.822 qx, soit plus du double du volume obtenu en 2013. L a Conservation locale des forêts a expliqué que "cette augmentation est augurée par la consistance des subéraies arrivées à maturité pour leur exploitation, ainsi que l'importance des reliquats des campagnes précédentes, dont le démasclage a été différé dans le temps, par mesure préventive pour protéger les arbres affectés par le feu", a indiqué, à l'APS, le chargé du développement du patrimoine au niveau de la Conservation des forêts, Boussena Tahar. Prévue essentiellement à travers les forêts de chêne-liège de Mizrana, Aït Ghobri, Tamgout et Tikobaïne, cette récolte se répartit, par catégorie de produits, à concurrence de 4.817 qx pour le liège de reproduction sain, produit de qualité supérieure que lui confèrent sa densité et son épaisseur, et de 3.993 qx pour le liège de reproduction flambé (touché par le feu), a précisé l'APS. Provenant d'arbres exploités pour la première fois, le reste des quantités concerne le liège mâle sain et le liège mâle flambé avec des quantités respectives de 473 qx et 939 qx. S'étalant de juin à septembre, pour cette campagne de démasclage, la récolte du liège a été confiée à l'Entreprise régionale du génie rural forestier (ERGR), considérée, selon M. Boussenna, comme étant "rompue aux techniques d'exploitation du liège, dont la maîtrise est indispensable pour éviter des blessures préjudiciables à l'arbre". Avant leur mise en vente aux enchères par l'entreprise exploitante au profit de transformateurs qui l'utilisent dans la fabrication de divers produits utilitaire ou de décoration, ou le transforment en vue de son exportation, les quantités de liège récoltées sont stockées au niveau du dépôt de Yakourène. Selon la Conservation des forêts, une part de 20% est prélevée sur le produit global de la vente du liège pour son versement au trésor public. L a Conservation locale des forêts a expliqué que "cette augmentation est augurée par la consistance des subéraies arrivées à maturité pour leur exploitation, ainsi que l'importance des reliquats des campagnes précédentes, dont le démasclage a été différé dans le temps, par mesure préventive pour protéger les arbres affectés par le feu", a indiqué, à l'APS, le chargé du développement du patrimoine au niveau de la Conservation des forêts, Boussena Tahar. Prévue essentiellement à travers les forêts de chêne-liège de Mizrana, Aït Ghobri, Tamgout et Tikobaïne, cette récolte se répartit, par catégorie de produits, à concurrence de 4.817 qx pour le liège de reproduction sain, produit de qualité supérieure que lui confèrent sa densité et son épaisseur, et de 3.993 qx pour le liège de reproduction flambé (touché par le feu), a précisé l'APS. Provenant d'arbres exploités pour la première fois, le reste des quantités concerne le liège mâle sain et le liège mâle flambé avec des quantités respectives de 473 qx et 939 qx. S'étalant de juin à septembre, pour cette campagne de démasclage, la récolte du liège a été confiée à l'Entreprise régionale du génie rural forestier (ERGR), considérée, selon M. Boussenna, comme étant "rompue aux techniques d'exploitation du liège, dont la maîtrise est indispensable pour éviter des blessures préjudiciables à l'arbre". Avant leur mise en vente aux enchères par l'entreprise exploitante au profit de transformateurs qui l'utilisent dans la fabrication de divers produits utilitaire ou de décoration, ou le transforment en vue de son exportation, les quantités de liège récoltées sont stockées au niveau du dépôt de Yakourène. Selon la Conservation des forêts, une part de 20% est prélevée sur le produit global de la vente du liège pour son versement au trésor public.