Des femmes algériennes, chefs d'entreprise, prendront part au Congrès mondial de l'entreprenariat féminin prévu du 24 au 26 septembre prochain à Taïwan, selon la présidente d'honneur de l'Association nationale des femmes chefs d'entreprise, Yasmina Taya. "L'Algérie sera présente lors du congrès mondial de l'entreprenariat féminin à Taiwan. Des femmes algériennes, chefs d'entreprise, prendront part au Congrès mondial de l'entreprenariat féminin prévu du 24 au 26 septembre prochain à Taïwan, selon la présidente d'honneur de l'Association nationale des femmes chefs d'entreprise, Yasmina Taya. "L'Algérie sera présente lors du congrès mondial de l'entreprenariat féminin à Taiwan. Cette rencontre regroupera des associations de 160 pays affiliés à une ONG mondiale qui coordonne les programmes de développement en direction des femmes chefs d'entreprise à l'échelle planétaire", a-t-elle souligné. Mme Taya a ajouté qu'"en tant que membre, l'Algérie échangera les expériences et les expertises lors de ce congrès qui constitue un espace de contact et de coopération". Il faut dire que le nombre de femmes chefs d'entreprise a augmenté de façon considérable ces dernières années. Le tissu d'entrepreneuriat féminin en Algérie a réalisé une évolution de 14 % comme moyenne annuelle depuis 2008, selon le directeur général de l'Agence nationale de développement de l'investissement (Andi), Abdelkrim Mansouri. A l'ouverture de la 4e édition du Forum national des femmes chefs d'entreprise, le même responsable a souligné que cette moyenne reflète l'intérêt accordé par la femme algérienne, ces dernières années, à l'accès au monde de l'entrepreneuriat, de la création d'entreprises et à l'investissement, surtout à la faveur de la diversité des opportunités offertes et des dispositifs mis en place par l'Etat pour encourager l'investissement en général. Dans ce cadre, M. Mansouri a indiqué que les dix dernières années ont vu la création de 3.275 entreprises par des femmes dont plus de 2.000 entreprises depuis 2008, ajoutant que le taux de leur présence sur la scène de l'entrepreneuriat national constitue 6 % avec une évolution annuelle de 3 %. Le DG de l'Andi a estimé que l'entrepreneuriat féminin est devenue une force susceptible de contribuer à une mutation économique et à un développement global et durable dans le pays. Le programme de cette édition du forum comporte plusieurs axes devant aborder les enjeux et les perspectives de développement de l'entrepreneuriat féminin en Algérie, en séancesdébats, et traiter, entre autres, de "L'université comme source de l'entrepreneuriat féminin", "L'entreprise émergente: processus et développement" et "Les entreprises féminines et créatives: expériences réussies". M. Mansouri a relevé que les statistiques concernant l'entrepreneuriat féminin "ne reflètent pas la réalité, car les chiffres ne concernent que des femmes chefs d'entreprise dont les noms figurent au Registre de commerce, alors qu'il existe plusieurs femmes entrepreneurs associées dans des entreprises". Le président du Forum des chefs d'entreprise, Rédha Hamiani, a souligné, pour sa part, qu'"en dépit du développement de l'entrepreneuriat féminin ces dernières années, son taux reste faible au sein du tissu de l'entrepreneuriat national en général". L'intervenant a estimé que le climat d'investissement en Algérie offre des opportunités équitables pour les hommes et les femmes, imputant la faible représentativité féminine à la culture entrepreneuriale dans la société algérienne, qui voit d'un mauvais oeil l'accès de la femme au monde des affaires, ainsi qu'à l'absence du domaine entrepreneurial dans le réforme scolaire. Cette rencontre, à laquelle prennent part le chef du FCE, Rédha Hamiani, la présidente d'honneur de l'Association algérienne des femmes chefs d'entreprise, Yasmina Taya, enregistre la présence de plusieurs femmes algériennes entrepreneurs. Cette édition est marquée aussi par la présence de la représentante de l'Organisation internationale des femmes chefs d'entreprise (FCEM), Micheline Briclet et la présidente de l'Organisation arabe des femmes chefs d'entreprise, Leila Khiat. Cette rencontre regroupera des associations de 160 pays affiliés à une ONG mondiale qui coordonne les programmes de développement en direction des femmes chefs d'entreprise à l'échelle planétaire", a-t-elle souligné. Mme Taya a ajouté qu'"en tant que membre, l'Algérie échangera les expériences et les expertises lors de ce congrès qui constitue un espace de contact et de coopération". Il faut dire que le nombre de femmes chefs d'entreprise a augmenté de façon considérable ces dernières années. Le tissu d'entrepreneuriat féminin en Algérie a réalisé une évolution de 14 % comme moyenne annuelle depuis 2008, selon le directeur général de l'Agence nationale de développement de l'investissement (Andi), Abdelkrim Mansouri. A l'ouverture de la 4e édition du Forum national des femmes chefs d'entreprise, le même responsable a souligné que cette moyenne reflète l'intérêt accordé par la femme algérienne, ces dernières années, à l'accès au monde de l'entrepreneuriat, de la création d'entreprises et à l'investissement, surtout à la faveur de la diversité des opportunités offertes et des dispositifs mis en place par l'Etat pour encourager l'investissement en général. Dans ce cadre, M. Mansouri a indiqué que les dix dernières années ont vu la création de 3.275 entreprises par des femmes dont plus de 2.000 entreprises depuis 2008, ajoutant que le taux de leur présence sur la scène de l'entrepreneuriat national constitue 6 % avec une évolution annuelle de 3 %. Le DG de l'Andi a estimé que l'entrepreneuriat féminin est devenue une force susceptible de contribuer à une mutation économique et à un développement global et durable dans le pays. Le programme de cette édition du forum comporte plusieurs axes devant aborder les enjeux et les perspectives de développement de l'entrepreneuriat féminin en Algérie, en séancesdébats, et traiter, entre autres, de "L'université comme source de l'entrepreneuriat féminin", "L'entreprise émergente: processus et développement" et "Les entreprises féminines et créatives: expériences réussies". M. Mansouri a relevé que les statistiques concernant l'entrepreneuriat féminin "ne reflètent pas la réalité, car les chiffres ne concernent que des femmes chefs d'entreprise dont les noms figurent au Registre de commerce, alors qu'il existe plusieurs femmes entrepreneurs associées dans des entreprises". Le président du Forum des chefs d'entreprise, Rédha Hamiani, a souligné, pour sa part, qu'"en dépit du développement de l'entrepreneuriat féminin ces dernières années, son taux reste faible au sein du tissu de l'entrepreneuriat national en général". L'intervenant a estimé que le climat d'investissement en Algérie offre des opportunités équitables pour les hommes et les femmes, imputant la faible représentativité féminine à la culture entrepreneuriale dans la société algérienne, qui voit d'un mauvais oeil l'accès de la femme au monde des affaires, ainsi qu'à l'absence du domaine entrepreneurial dans le réforme scolaire. Cette rencontre, à laquelle prennent part le chef du FCE, Rédha Hamiani, la présidente d'honneur de l'Association algérienne des femmes chefs d'entreprise, Yasmina Taya, enregistre la présence de plusieurs femmes algériennes entrepreneurs. Cette édition est marquée aussi par la présence de la représentante de l'Organisation internationale des femmes chefs d'entreprise (FCEM), Micheline Briclet et la présidente de l'Organisation arabe des femmes chefs d'entreprise, Leila Khiat.