Un rapport de l'Organisation de contrôle des ressources naturelles du Sahara occidental a dévoilé une liste des sociétés impliquées dans le pillage des ressources naturelles du territoire occupé du Sahara occidental (phosphate), précisant que leurs revenus ont atteint 330 millions de dollars en 2013, rapporte l'agence de presse sahraouie. Un rapport de l'Organisation de contrôle des ressources naturelles du Sahara occidental a dévoilé une liste des sociétés impliquées dans le pillage des ressources naturelles du territoire occupé du Sahara occidental (phosphate), précisant que leurs revenus ont atteint 330 millions de dollars en 2013, rapporte l'agence de presse sahraouie. Le rapport, publié jeudi, relève une hausse des exportations des roches de phosphate estimées à 400.000 tonnes par rapport à l'année dernière, soit un total de 2,2 millions de tonnes en 2013, contre 1,8 million de tonnes en 2012, précise la même source. Le document, qui a contenu des sociétés de dix nationalités différentes, note que ces dernières contribuaient au pillage des ressources naturelles, les appelant à arrêter l'achat des roches de phosphates, vu que la région fait toujours l'objet de conflit et son peuple ne jouit pas encore de son autodétermination, ajoute SPS. Il précise que les revenus du pillage financent l'occupation marocaine et contribuent à la répression des citoyens sahraouis. La liste des sociétés impliquées dans le pillage des ressources naturelles sahraouies comporte notamment le Canada, la Nouvelle-Zélande, les Etats- Unis d'Amérique, la Lituanie, le Mexique, l'Inde, le Venezuela, l'Autriche, la Corée du Sud et la Russie. Le Front Polisario a sans cesse appelé les sociétés étrangères à ne pas s'associer au pillage des ressources naturelles du Sahara occidental, car cette entreprise est contraire au droit international et à l'avis émis par la CPI en 1975, et celui du secrétaire général adjoint aux affaires juridiques de l'Onu, Hans Corel en 2002. Dans le même chapitre, le ministre sahraoui des Affaires étrangères, Mhamed Salek, a appelé le gouvernement de Nouvelle-Zélande à interdire à ses sociétés d'importer le phosphate du Sahara occidental, selon toujours SPS. Dans une lettre adressée à son homologue néo-zélandais, M. Salek a souligné que "le gouvernement sahraoui considère l'importation du phosphate du Sahara occidental occupé contraire à la légalité internationale" a-t-il dit. Il a indiqué que cette lettre avait pour objectif de "transmettre les préoccupations du peuple sahraoui et de son gouvernement au gouvernement néo-zélandais quant à l'importation du phosphate du Sahara occidental occupé". M. Salek a rappelé dans sa lettre que les sociétés néo-zélandaises avaient importé en 2012 et 2013 quelque 660.000 tonnes de phosphate du Sahara occidental, soit l'équivalent de 111 millions de dollars au profit du Trésor marocain. Le ministre sahraoui des Affaires étrangère a fait part à son homologue néo-zélandais de la gravité de cette activité "illégale" alors que le peuple sahraoui, a-t-il dit, "reste privé des revenus issus de l'exportation du phosphate" ajoutant qu'il s'agit "d'un pillage des ressources naturelles qui profite à l'occupant marocain". Le rapport, publié jeudi, relève une hausse des exportations des roches de phosphate estimées à 400.000 tonnes par rapport à l'année dernière, soit un total de 2,2 millions de tonnes en 2013, contre 1,8 million de tonnes en 2012, précise la même source. Le document, qui a contenu des sociétés de dix nationalités différentes, note que ces dernières contribuaient au pillage des ressources naturelles, les appelant à arrêter l'achat des roches de phosphates, vu que la région fait toujours l'objet de conflit et son peuple ne jouit pas encore de son autodétermination, ajoute SPS. Il précise que les revenus du pillage financent l'occupation marocaine et contribuent à la répression des citoyens sahraouis. La liste des sociétés impliquées dans le pillage des ressources naturelles sahraouies comporte notamment le Canada, la Nouvelle-Zélande, les Etats- Unis d'Amérique, la Lituanie, le Mexique, l'Inde, le Venezuela, l'Autriche, la Corée du Sud et la Russie. Le Front Polisario a sans cesse appelé les sociétés étrangères à ne pas s'associer au pillage des ressources naturelles du Sahara occidental, car cette entreprise est contraire au droit international et à l'avis émis par la CPI en 1975, et celui du secrétaire général adjoint aux affaires juridiques de l'Onu, Hans Corel en 2002. Dans le même chapitre, le ministre sahraoui des Affaires étrangères, Mhamed Salek, a appelé le gouvernement de Nouvelle-Zélande à interdire à ses sociétés d'importer le phosphate du Sahara occidental, selon toujours SPS. Dans une lettre adressée à son homologue néo-zélandais, M. Salek a souligné que "le gouvernement sahraoui considère l'importation du phosphate du Sahara occidental occupé contraire à la légalité internationale" a-t-il dit. Il a indiqué que cette lettre avait pour objectif de "transmettre les préoccupations du peuple sahraoui et de son gouvernement au gouvernement néo-zélandais quant à l'importation du phosphate du Sahara occidental occupé". M. Salek a rappelé dans sa lettre que les sociétés néo-zélandaises avaient importé en 2012 et 2013 quelque 660.000 tonnes de phosphate du Sahara occidental, soit l'équivalent de 111 millions de dollars au profit du Trésor marocain. Le ministre sahraoui des Affaires étrangère a fait part à son homologue néo-zélandais de la gravité de cette activité "illégale" alors que le peuple sahraoui, a-t-il dit, "reste privé des revenus issus de l'exportation du phosphate" ajoutant qu'il s'agit "d'un pillage des ressources naturelles qui profite à l'occupant marocain".