Le temps des dernières journées de la phase de groupes et des doubles confrontations est venu. Pendant que Chili et Pays-Bas se disputent la première place à São Paulo, l'Australie et l'Espagne s'affrontaient pour sauver l'honneur à Curitiba. Prendre ses premiers points dans le Groupe B après deux défaites : l'enjeu était le même sur le papier. Dans les faits, les rois espagnols se devaient de redorer un peu leur blason avant de quitter l'échiquier mondial. Le temps des dernières journées de la phase de groupes et des doubles confrontations est venu. Pendant que Chili et Pays-Bas se disputent la première place à São Paulo, l'Australie et l'Espagne s'affrontaient pour sauver l'honneur à Curitiba. Prendre ses premiers points dans le Groupe B après deux défaites : l'enjeu était le même sur le papier. Dans les faits, les rois espagnols se devaient de redorer un peu leur blason avant de quitter l'échiquier mondial. Visiblement encore marqués de leurs déroutes contre les Pays-Bas et le Chili, les hommes de Vicente del Bosque ont mis un peu de temps à faire respecter leur rang face aux modestes Socceroos. La Madjer de David Villa après un beau mouvement à trois a enfin redonné un peu d'éclat à la Roja (0:1, 36'). L'action est partie d'une ouverture lumineuse d'Andrés Iniesta, qui fêtait sa 100ème cape. Le Barcelonais a tout aussi royalement servi Fernando Torres après la pause (0:2, 69'), puis Juan Mata s'invitait au bal sur une ouverture de Cesc Fabregas (0:3, 82'). Echec et mat pour l'Australie, qui n'a jamais vraiment inquiété Pepe Reina, aligné pour la première fois dans l'épreuve reine. Quant à l'Espagne, elle sauve les apparences en quittant définitivement son trône et découvrira l'identité de son successeur le 13 juillet prochain, à la télévision. Vicente del Bosque, sélectionneur de l'Espagne "Nous terminons de la meilleure façon qui soit. Dans les premières minutes, ils nous ont pressés, mais nous nous sommes ressaisis et nous avons dominé. Nous leur avons été supérieurs. Il y a beaucoup de joueurs qui peuvent nous aider à l'avenir. La porte est ouverte à tout le monde. Mon avenir ? Nous verrons dans les jours et les semaines à venir. Rien ne presse." Ange Postecoglou, sélectionneur de l'Australie "C'est décevant. Nous avons fait une bonne entame, mais l'Espagne a fait parler sa qualité et elle a fini par imposer son jeu. Franchement, nous étions fatigués et nous leurs avons rendu le ballon trop facilement. Sur cette Coupe du monde, il y a eu des choses positives, sur lesquelles nous devons nous appuyer. Il nous manque encore quelque chose pour atteindre le niveau mondial. Mais nous allons travailler pour revenir plus forts dans quatre ans. Del Bosque m'a salué et il m'a félicité pour nos performances au cours de la compétition, ce qui est très aimable de sa part. J'aime beaucoup la façon de jouer des Espagnols. Ils essaient toujours de pratiquer un jeu bien léché, ce qui mérite le plus grand respect." Visiblement encore marqués de leurs déroutes contre les Pays-Bas et le Chili, les hommes de Vicente del Bosque ont mis un peu de temps à faire respecter leur rang face aux modestes Socceroos. La Madjer de David Villa après un beau mouvement à trois a enfin redonné un peu d'éclat à la Roja (0:1, 36'). L'action est partie d'une ouverture lumineuse d'Andrés Iniesta, qui fêtait sa 100ème cape. Le Barcelonais a tout aussi royalement servi Fernando Torres après la pause (0:2, 69'), puis Juan Mata s'invitait au bal sur une ouverture de Cesc Fabregas (0:3, 82'). Echec et mat pour l'Australie, qui n'a jamais vraiment inquiété Pepe Reina, aligné pour la première fois dans l'épreuve reine. Quant à l'Espagne, elle sauve les apparences en quittant définitivement son trône et découvrira l'identité de son successeur le 13 juillet prochain, à la télévision. Vicente del Bosque, sélectionneur de l'Espagne "Nous terminons de la meilleure façon qui soit. Dans les premières minutes, ils nous ont pressés, mais nous nous sommes ressaisis et nous avons dominé. Nous leur avons été supérieurs. Il y a beaucoup de joueurs qui peuvent nous aider à l'avenir. La porte est ouverte à tout le monde. Mon avenir ? Nous verrons dans les jours et les semaines à venir. Rien ne presse." Ange Postecoglou, sélectionneur de l'Australie "C'est décevant. Nous avons fait une bonne entame, mais l'Espagne a fait parler sa qualité et elle a fini par imposer son jeu. Franchement, nous étions fatigués et nous leurs avons rendu le ballon trop facilement. Sur cette Coupe du monde, il y a eu des choses positives, sur lesquelles nous devons nous appuyer. Il nous manque encore quelque chose pour atteindre le niveau mondial. Mais nous allons travailler pour revenir plus forts dans quatre ans. Del Bosque m'a salué et il m'a félicité pour nos performances au cours de la compétition, ce qui est très aimable de sa part. J'aime beaucoup la façon de jouer des Espagnols. Ils essaient toujours de pratiquer un jeu bien léché, ce qui mérite le plus grand respect."