L'année 2013 fut l'une des années les plus chaudes jamais enregistrées, les gaz à effet de serre ayant atteint des niveaux records et les glaces de l'Arctique continuant à fondre, selon le rapport annuel sur le climat publié jeudi. L'année 2013 fut l'une des années les plus chaudes jamais enregistrées, les gaz à effet de serre ayant atteint des niveaux records et les glaces de l'Arctique continuant à fondre, selon le rapport annuel sur le climat publié jeudi. Ce rapport publié dans le Bulletin de la Société météorologique américaine, compile des données scientifiques et les événements climatiques de l'année passée, résultat d'un travail de 425 scientifiques dans 57 pays. "Ces observations confirment ce que les scientifiques constatent depuis plusieurs dizaines d'années: notre planète se réchauffe", affirme l'administratrice de l'Agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA) qui présente ces résultats. "L'Australie a connu son année la plus chaude, l'Argentine sa seconde et la Nouvelle-Zélande, sa troisième", affirme le rapport de la NOAA. Les températures à la surface des océans ont également augmenté, faisant rentrer 2013 dans le classement des dix années les plus chaudes. L'Arctique a connu sa septième année la plus chaude depuis la création de ce classement au tout début du XXe siècle. Le volume des glaces arctiques est le sixième plus bas dans le classement débuté en 1979 à partir d'observations satellitaires. Le niveau général des eaux est également monté de trois millimètres l'année dernière, un rythme constant depuis vingt ans. Le méthane, le dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre provenant de la combustion des énergies fossiles "ont poursuivi leur augmentation en 2013, dépassant, une fois encore, un nouveau record". Pour la première fois, la concentration quotidienne de CO2 dans l'atmosphère a dépassé le seuil symbolique de 400 particules par million (ppm), selon des relevés effectués par l'observatoire Mauna Loa de Hawaï. Au printemps 2012, des sites d'observation dans l'Arctique avaient déjà constaté des concentrations de 400 ppm. Ce rapport publié dans le Bulletin de la Société météorologique américaine, compile des données scientifiques et les événements climatiques de l'année passée, résultat d'un travail de 425 scientifiques dans 57 pays. "Ces observations confirment ce que les scientifiques constatent depuis plusieurs dizaines d'années: notre planète se réchauffe", affirme l'administratrice de l'Agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA) qui présente ces résultats. "L'Australie a connu son année la plus chaude, l'Argentine sa seconde et la Nouvelle-Zélande, sa troisième", affirme le rapport de la NOAA. Les températures à la surface des océans ont également augmenté, faisant rentrer 2013 dans le classement des dix années les plus chaudes. L'Arctique a connu sa septième année la plus chaude depuis la création de ce classement au tout début du XXe siècle. Le volume des glaces arctiques est le sixième plus bas dans le classement débuté en 1979 à partir d'observations satellitaires. Le niveau général des eaux est également monté de trois millimètres l'année dernière, un rythme constant depuis vingt ans. Le méthane, le dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre provenant de la combustion des énergies fossiles "ont poursuivi leur augmentation en 2013, dépassant, une fois encore, un nouveau record". Pour la première fois, la concentration quotidienne de CO2 dans l'atmosphère a dépassé le seuil symbolique de 400 particules par million (ppm), selon des relevés effectués par l'observatoire Mauna Loa de Hawaï. Au printemps 2012, des sites d'observation dans l'Arctique avaient déjà constaté des concentrations de 400 ppm.