Les médias étrangers, notamment français, et en particulier les chaînes de télévision en information continue, tels que BFM TV, France 24 et i Télé, ont explicitement présenté le crash de l'avion assurant la liaison Ouagadougou-Alger affrété par Air Algérie, jeudi dernier, comme étant un appareil appartenant, expressément, à la compagnie Air Algérie pour lui endosser la responsabilité de la catastrophe aérienne, alors qu'il était sous l'autorité de la société espagnole Swiftair. Les médias étrangers, notamment français, et en particulier les chaînes de télévision en information continue, tels que BFM TV, France 24 et i Télé, ont explicitement présenté le crash de l'avion assurant la liaison Ouagadougou-Alger affrété par Air Algérie, jeudi dernier, comme étant un appareil appartenant, expressément, à la compagnie Air Algérie pour lui endosser la responsabilité de la catastrophe aérienne, alors qu'il était sous l'autorité de la société espagnole Swiftair. Même les membres de l'équipage étaient de nationalité espagnole, ce qui démontre que la compagnie aérienne nationale n'a pas une grande part de responsabilité dans ce crash, probablement, provoqué par des conditions météorologiques difficiles (orages et tempête de la mousson). Le journal Le Figaro de vendredi titre «Crash d'Air Algérie : des familles brisées», tandis que le quotidien Le Monde souligne que le «Vol AH 5017 : parmi les victimes, 7 membres d'une même famille» ou encore «L'avion d'Air Algérie retrouvé dans le nord du Mali», «Alger critiqué pour sa communication minimaliste autour du crash». Ce quotidien à grands tirages indique que «Lotfi Debaili, pilote de ligne d'Air Algérie de 39 ans et père de deux enfants, passager sur le vol AH 5017 de la compagnie algérienne, a vu son image diffusée rapidement sur les réseaux sociaux par des amis, devenant le symbole de ce qu'un journal local a nommé une « journée noire » en désignant ce jeudi 24 juillet ». Le Monde ajoute : «La communication officielle algérienne, en général peu réactive, a été encore plus entravée par une situation où elle n'avait pas de prise : un avion affrété par Air Algérie auprès de la compagnie espagnole Swiftair avec un équipage espagnol qui disparaît dans un pays voisin. Entre l'annonce faite jeudi matin par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de la disparition de l'avion "au-dessus de Gao" et les dernières déclarations du ministre des Transports, Amar Ghoul, qui persistait en début de soirée à ne pas parler de «crash», les Algériens se sont informés surtout par le biais des réseaux sociaux et auprès des médias français». Même les membres de l'équipage étaient de nationalité espagnole, ce qui démontre que la compagnie aérienne nationale n'a pas une grande part de responsabilité dans ce crash, probablement, provoqué par des conditions météorologiques difficiles (orages et tempête de la mousson). Le journal Le Figaro de vendredi titre «Crash d'Air Algérie : des familles brisées», tandis que le quotidien Le Monde souligne que le «Vol AH 5017 : parmi les victimes, 7 membres d'une même famille» ou encore «L'avion d'Air Algérie retrouvé dans le nord du Mali», «Alger critiqué pour sa communication minimaliste autour du crash». Ce quotidien à grands tirages indique que «Lotfi Debaili, pilote de ligne d'Air Algérie de 39 ans et père de deux enfants, passager sur le vol AH 5017 de la compagnie algérienne, a vu son image diffusée rapidement sur les réseaux sociaux par des amis, devenant le symbole de ce qu'un journal local a nommé une « journée noire » en désignant ce jeudi 24 juillet ». Le Monde ajoute : «La communication officielle algérienne, en général peu réactive, a été encore plus entravée par une situation où elle n'avait pas de prise : un avion affrété par Air Algérie auprès de la compagnie espagnole Swiftair avec un équipage espagnol qui disparaît dans un pays voisin. Entre l'annonce faite jeudi matin par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de la disparition de l'avion "au-dessus de Gao" et les dernières déclarations du ministre des Transports, Amar Ghoul, qui persistait en début de soirée à ne pas parler de «crash», les Algériens se sont informés surtout par le biais des réseaux sociaux et auprès des médias français».