Après plus de 24h de disparition, le vol AH5017 d'Air Algérie a finalement été retrouvé hier, près de Gossi, au nord-est du Mali. Aucun survivant parmi les 119 passagers n'a été retrouvé. Le président de la République a décrété un deuil national de 3 jours à partir d'hier pour les 6 victimes algériennes de cette catastrophe. Après plus de 24h de disparition, le vol AH5017 d'Air Algérie a finalement été retrouvé hier, près de Gossi, au nord-est du Mali. Aucun survivant parmi les 119 passagers n'a été retrouvé. Le président de la République a décrété un deuil national de 3 jours à partir d'hier pour les 6 victimes algériennes de cette catastrophe. Le crash de l'avion d'Air Algérie est vécu comme un énième drame qui a fait son lot de victimes. Le lieu de l'accident dit à Gossi ( région de Gao) prés de la frontière algéro-malienne est actuellement sous la surveillance des services de sécurité du Mali. La boîte noire récupérée de l'épave va fournir plus d'indices sur les causes de ce crash qui est survenu la nuit de jeudi dernier. Pour l'heure, le seul déplacement du ministre des Transports Amar Ghoul au Mali et au Burkina Faso aura plus de précision sur le crash de l'avion. Il est à rappeler que cet accident aérien survenu dans la nuit de jeudi n'a laissé aucun survivant ou tous les passagers de 13 nationalités dont 6 Algériens ont péri. L'appareil de type MD qui assurait la liaison entre Ouagadougou et Alger avait disparu des écrans de radars à 1h.55 du matin soit 45 minutes après son décollage à 1h.17. L'avion n'était pas loin de la frontière algérienne quand on a demandé à l'équipage de se dérouter à cause d'une mauvaise visibilité et pour éviter un risque de collision avec un autre avion assurant la liaison Alger-Bamako. Le signal a été perdu après le changement de cap. L'avion en question affrété par Air Algérie de la compagnie espagnole Swift Air assurait les liaisons africaines. Selon des sources de la compagnie, cet appareil américain fabriqué en 1996 et serait selon d'autres révélations victimes de plusieurs pannes de moteur. Mais aucune déclaration officielle n'est venue confirmer cette thèse tant que les enquêtes sur les circonstances du crash ne seront élucidées. Le ministre des Transports et le P-DG d'Air Algérie ont assuré quelques heures après l'écrasement de l'avion que «c'est le cinquième voyage fait par cet avion sur le même itinéraire Ouagadougou/Alger». Et de préciser encore que «l'avion est affrété depuis un mois par Air Algérie, il a toutes les autorisations requises pour voler». Mais Ghoul a encore ajouté qu' «une commission d'urgence est mise en place sur instruction du président Bouteflika, juste à l'annonce de la disparition de l'avion des écrans radars». On invoque par ailleurs selon les premiers éléments filtrés que de conditions météorologiques difficiles ont été probablement l'une des raisons du crash surtout après une tempête de sable qui serait survenue dans la nuit de jeudi dernier entre la région de Kidal et Gao dans une vaste zone désertique qui est difficile d'accès. Cela dit seuls les éléments de la boîte noire récupérée peuvent livrer Le crash de l'avion d'Air Algérie est vécu comme un énième drame qui a fait son lot de victimes. Le lieu de l'accident dit à Gossi ( région de Gao) prés de la frontière algéro-malienne est actuellement sous la surveillance des services de sécurité du Mali. La boîte noire récupérée de l'épave va fournir plus d'indices sur les causes de ce crash qui est survenu la nuit de jeudi dernier. Pour l'heure, le seul déplacement du ministre des Transports Amar Ghoul au Mali et au Burkina Faso aura plus de précision sur le crash de l'avion. Il est à rappeler que cet accident aérien survenu dans la nuit de jeudi n'a laissé aucun survivant ou tous les passagers de 13 nationalités dont 6 Algériens ont péri. L'appareil de type MD qui assurait la liaison entre Ouagadougou et Alger avait disparu des écrans de radars à 1h.55 du matin soit 45 minutes après son décollage à 1h.17. L'avion n'était pas loin de la frontière algérienne quand on a demandé à l'équipage de se dérouter à cause d'une mauvaise visibilité et pour éviter un risque de collision avec un autre avion assurant la liaison Alger-Bamako. Le signal a été perdu après le changement de cap. L'avion en question affrété par Air Algérie de la compagnie espagnole Swift Air assurait les liaisons africaines. Selon des sources de la compagnie, cet appareil américain fabriqué en 1996 et serait selon d'autres révélations victimes de plusieurs pannes de moteur. Mais aucune déclaration officielle n'est venue confirmer cette thèse tant que les enquêtes sur les circonstances du crash ne seront élucidées. Le ministre des Transports et le P-DG d'Air Algérie ont assuré quelques heures après l'écrasement de l'avion que «c'est le cinquième voyage fait par cet avion sur le même itinéraire Ouagadougou/Alger». Et de préciser encore que «l'avion est affrété depuis un mois par Air Algérie, il a toutes les autorisations requises pour voler». Mais Ghoul a encore ajouté qu' «une commission d'urgence est mise en place sur instruction du président Bouteflika, juste à l'annonce de la disparition de l'avion des écrans radars». On invoque par ailleurs selon les premiers éléments filtrés que de conditions météorologiques difficiles ont été probablement l'une des raisons du crash surtout après une tempête de sable qui serait survenue dans la nuit de jeudi dernier entre la région de Kidal et Gao dans une vaste zone désertique qui est difficile d'accès. Cela dit seuls les éléments de la boîte noire récupérée peuvent livrer