Une opération policière de lutte contre les stupéfiants menée, avant-hier, à Ain Azel, dans la wilaya de Sétif, a mal tourné est s'est soldée par la mort d'un dealer présumé, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Une opération policière de lutte contre les stupéfiants menée, avant-hier, à Ain Azel, dans la wilaya de Sétif, a mal tourné est s'est soldée par la mort d'un dealer présumé, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Selon notre source, les services de sécurité ont eu des informations faisant état d'une transaction douteuse et portant sur la vente de cannabis qui se préparait à bord d'un véhicule. Rapidement, les policiers de la sûreté de daïra d'Ain Azel se déplacent sur les lieux vers 13H30, au lieu dit mechta Sekrine, pour mettre en échec les visées des narcotrafiquants mais en fin de compte, les choses ont évolué dans le mauvais sens. C'est lorsque ces derniers se sont rendus compte de la présence des policiers que la situation a pris une autre tournure. Ils ont dans un premier temps immobilisé leur voiture au milieu de la chaussée et bloqué ainsi la route pour qu'aucun ne véhicule ne passe. Selon le communiqué de presse de la DGSN, les dealers ont tenté d'agresser les deux policiers au moyen d'armes blanches, ce qui a poussé l'un de ces derniers à faire usage de son arme à feu et de tirer des coups de sommation dans le but de dissuader les agresseurs et les repousser. Mais contrairement à çela, ils ont redoublé de violence et de détermination puisque l'un d'eux, un repris de justice notoire a pris la main de l'un des policiers et a essayé de lui enlever son arme. La suite a été dramatique quand l'un des policiers s'est vu obligé de tirer pour atteindre mortellement le suspect d'une balle au thorax, précise la même source. La victime, âgée de 27 ans, a succombé à ses blessures après son admission à l'hôpital. Le lendemain, soit hier, le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Hamel, a ordonné l'ouverture d'une enquête pour déterminer les circonstances exactes et envoyé une commission d'enquête à Ain Azel, composée d'inspecteurs de la DGSN. Ce n'est pas la première fois que le général-major Hamel prend de telles mesures. En avril dernier, il a instruit les autorités concernées d'ouvrir une enquête après la diffusion d'une vidéo sur les réseaux sociaux et montrant des policiers en train de violenter des manifestants lors de la marche pacifique commémorative du Printemps berbère à Tizi-Ouzou. Vêtus en tenue de la Sûreté nationale, ils étaient en train de commettre des actes contraires aux principes et aux règles de la Police nationale, a argumenté le DGSN, ce qui l'a poussé à exiger à ce que toute la lumière soit faite sur ces agissements inacceptables et portant atteinte à ce corps constitué et qui ont humilié de simples citoyens. Aussi, il a donné des instructions pour que toutes les mesures disciplinaires et judiciaires prévues par la loi soient prises à l'encontre de tous ceux qui enfreignent les règles en portant atteinte à la dignité du citoyen et à l'éthique de la profession. Quelques semaines auparavant, ce sont des policiers passifs face à un affrontement violent entre des membres des deux communautés ibadite et malékite, à Ghardaïa, qui ont subi l'ire du général-major, Hamel, lequel a ordonné également une enquête après que les images aient circulé Selon notre source, les services de sécurité ont eu des informations faisant état d'une transaction douteuse et portant sur la vente de cannabis qui se préparait à bord d'un véhicule. Rapidement, les policiers de la sûreté de daïra d'Ain Azel se déplacent sur les lieux vers 13H30, au lieu dit mechta Sekrine, pour mettre en échec les visées des narcotrafiquants mais en fin de compte, les choses ont évolué dans le mauvais sens. C'est lorsque ces derniers se sont rendus compte de la présence des policiers que la situation a pris une autre tournure. Ils ont dans un premier temps immobilisé leur voiture au milieu de la chaussée et bloqué ainsi la route pour qu'aucun ne véhicule ne passe. Selon le communiqué de presse de la DGSN, les dealers ont tenté d'agresser les deux policiers au moyen d'armes blanches, ce qui a poussé l'un de ces derniers à faire usage de son arme à feu et de tirer des coups de sommation dans le but de dissuader les agresseurs et les repousser. Mais contrairement à çela, ils ont redoublé de violence et de détermination puisque l'un d'eux, un repris de justice notoire a pris la main de l'un des policiers et a essayé de lui enlever son arme. La suite a été dramatique quand l'un des policiers s'est vu obligé de tirer pour atteindre mortellement le suspect d'une balle au thorax, précise la même source. La victime, âgée de 27 ans, a succombé à ses blessures après son admission à l'hôpital. Le lendemain, soit hier, le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Hamel, a ordonné l'ouverture d'une enquête pour déterminer les circonstances exactes et envoyé une commission d'enquête à Ain Azel, composée d'inspecteurs de la DGSN. Ce n'est pas la première fois que le général-major Hamel prend de telles mesures. En avril dernier, il a instruit les autorités concernées d'ouvrir une enquête après la diffusion d'une vidéo sur les réseaux sociaux et montrant des policiers en train de violenter des manifestants lors de la marche pacifique commémorative du Printemps berbère à Tizi-Ouzou. Vêtus en tenue de la Sûreté nationale, ils étaient en train de commettre des actes contraires aux principes et aux règles de la Police nationale, a argumenté le DGSN, ce qui l'a poussé à exiger à ce que toute la lumière soit faite sur ces agissements inacceptables et portant atteinte à ce corps constitué et qui ont humilié de simples citoyens. Aussi, il a donné des instructions pour que toutes les mesures disciplinaires et judiciaires prévues par la loi soient prises à l'encontre de tous ceux qui enfreignent les règles en portant atteinte à la dignité du citoyen et à l'éthique de la profession. Quelques semaines auparavant, ce sont des policiers passifs face à un affrontement violent entre des membres des deux communautés ibadite et malékite, à Ghardaïa, qui ont subi l'ire du général-major, Hamel, lequel a ordonné également une enquête après que les images aient circulé