La dernière tranche de l'autoroute Est-Ouest n'est pas encore achevée. Le tronçon au niveau de Constantine ne sera pas entre les mains des Japonais. Cojaal a été écartée suite aux retards de la réalisation du projet depuis plus d'un an. La dernière tranche de l'autoroute Est-Ouest n'est pas encore achevée. Le tronçon au niveau de Constantine ne sera pas entre les mains des Japonais. Cojaal a été écartée suite aux retards de la réalisation du projet depuis plus d'un an. Les plus hautes autorités sont mécontentes de ce retard qui selon des indiscrétions n'est pas justifié. Les responsables de Cojaal qui ont pris il y a quelques années le tunnel de l'autoroute Est-Ouest reliant Constantine à Skikda comme étape finale de la réalisation de l'autoroute ont trouvé toutes les peines pour l'achever. Ils viennent d'ailleurs de perdre le dernier tronçon. Les autorités algériennes et la partie japonaise procèdent actuellement à la rupture du contrat. On invoque d'autres appels d'offres à des groupes étrangers qui se mettront obligatoirement en partenariat avec les entreprises algériennes. Il faut dire que la partie située à Djebel El- Ouahch s'avère être compliquée en raison d'un relief de roches dures à percer. La société Cojaal qui a pris le projet en main depuis son démarrage a buté contre « les contraintes techniques » en promettant aux responsables algériens de l'achever dans les délais impartis. Mais il s'est avéré que Cojaal a dépassé de beaucoup les délais impartis à la réalisation de cette tranche de l'autoroute Est-Ouest. D'autant qu'une source de l'Agence nationale des autoroutes (ANA) précise que la partie japonaise «n'a pas présenté une caution sur le délai de prorogation sur le projet ». En outre, le consortium Cojaal s'est plaint en 2012 de ne pas avoir l'intégralité des paiements sur son contrat et le chantier a dû, rappelle-t-on, observé un arrêt suite à ce différend. Mais aussitôt le problème financier réglé en mars dernier où l'intégralité des factures a été honorée, les Japonais devaient reprendre les travaux avec un rythme soutenu. Ils ont estimé que c'est en 2016 que le projet sera abouti. Ce qui, du reste, a contrarié les autorités algériennes. Il faut rappeler que le ministre actuel des Travaux publics a déjà menacé le consortium de « pénalités de retards» telles qu'elles sont énoncées dans le contrat de réalisation et avait évoqué la rupture de contrat si les Japonais persistaient dans le retard. Abdelkader Kadi, ministre des Travaux publics aurait même annoncé la fin de contrat avec l'entité japonaise il y a juste une semaine mettant à excécution « les sanctions sur les délais convenus » avant la réception définitive avant fin 2014. Un délai que les responsables japonais n'ont pas considéré comme trop court pour l'achèvement de cette partie mais qui est devenu un véritable casse-tête pour les autorités locales. Il est à noter d'ailleurs qu'il ne reste selon le ministère des Travaux publics que « le bitumage de 250 met l'aménagement des trois tunnels sur ce tronçon de 399 km. Ce dernier comprend 5 échangeurs et 9 viaducs». Rappelons également que ce projet qui devait initialement être inauguré en 2010 après 40 mois de réalisation n'avait pas été achevé dans les délais impartis. Ce qui a compliqué la situation ce sont les surcoûts sur chaque projet dont les sources officielles n'ont révélé jusquelà aucun indice. Les plus hautes autorités sont mécontentes de ce retard qui selon des indiscrétions n'est pas justifié. Les responsables de Cojaal qui ont pris il y a quelques années le tunnel de l'autoroute Est-Ouest reliant Constantine à Skikda comme étape finale de la réalisation de l'autoroute ont trouvé toutes les peines pour l'achever. Ils viennent d'ailleurs de perdre le dernier tronçon. Les autorités algériennes et la partie japonaise procèdent actuellement à la rupture du contrat. On invoque d'autres appels d'offres à des groupes étrangers qui se mettront obligatoirement en partenariat avec les entreprises algériennes. Il faut dire que la partie située à Djebel El- Ouahch s'avère être compliquée en raison d'un relief de roches dures à percer. La société Cojaal qui a pris le projet en main depuis son démarrage a buté contre « les contraintes techniques » en promettant aux responsables algériens de l'achever dans les délais impartis. Mais il s'est avéré que Cojaal a dépassé de beaucoup les délais impartis à la réalisation de cette tranche de l'autoroute Est-Ouest. D'autant qu'une source de l'Agence nationale des autoroutes (ANA) précise que la partie japonaise «n'a pas présenté une caution sur le délai de prorogation sur le projet ». En outre, le consortium Cojaal s'est plaint en 2012 de ne pas avoir l'intégralité des paiements sur son contrat et le chantier a dû, rappelle-t-on, observé un arrêt suite à ce différend. Mais aussitôt le problème financier réglé en mars dernier où l'intégralité des factures a été honorée, les Japonais devaient reprendre les travaux avec un rythme soutenu. Ils ont estimé que c'est en 2016 que le projet sera abouti. Ce qui, du reste, a contrarié les autorités algériennes. Il faut rappeler que le ministre actuel des Travaux publics a déjà menacé le consortium de « pénalités de retards» telles qu'elles sont énoncées dans le contrat de réalisation et avait évoqué la rupture de contrat si les Japonais persistaient dans le retard. Abdelkader Kadi, ministre des Travaux publics aurait même annoncé la fin de contrat avec l'entité japonaise il y a juste une semaine mettant à excécution « les sanctions sur les délais convenus » avant la réception définitive avant fin 2014. Un délai que les responsables japonais n'ont pas considéré comme trop court pour l'achèvement de cette partie mais qui est devenu un véritable casse-tête pour les autorités locales. Il est à noter d'ailleurs qu'il ne reste selon le ministère des Travaux publics que « le bitumage de 250 met l'aménagement des trois tunnels sur ce tronçon de 399 km. Ce dernier comprend 5 échangeurs et 9 viaducs». Rappelons également que ce projet qui devait initialement être inauguré en 2010 après 40 mois de réalisation n'avait pas été achevé dans les délais impartis. Ce qui a compliqué la situation ce sont les surcoûts sur chaque projet dont les sources officielles n'ont révélé jusquelà aucun indice.