La France prend la quatrième place de l'enquête 2014 de l'Onu sur le "développement de l'e-gouvernement". Elle est précédée par la Corée du Sud, l'Australie et Singapour. Dans ce classement, aucun autre pays méditerranéen n'atteint le Top 10. La France prend la quatrième place de l'enquête 2014 de l'Onu sur le "développement de l'e-gouvernement". Elle est précédée par la Corée du Sud, l'Australie et Singapour. Dans ce classement, aucun autre pays méditerranéen n'atteint le Top 10. L'enquête "e-government for the future we want" est renouvelée tous les deux ans auprès de 193 Etats par la Division de l'administration publique et la gestion du développement (DPADM) directement rattachée au Département des Nations unies pour les affaires économiques et sociales (DAES). Elle permet de dévoiler les progrès des Etats en matière d'utilisation des Nouvelles technologies de l'Information (NTIC) en leur attribuant un Indice de développement de son administration électronique (e-gouvernement). De plus, la "e-participation" mesure les possibilités technologiques offertes aux citoyens pour participer à la gouvernance publique, aux prises de décision. Sur le continent africain (le moins avancé en la matière des cinq continents), la Tunisie, qui passe au classement mondial de la 103e en 2012 à la 75e place, se positionne en numéro un pour le "e-gouvernement". Elle est suivie par l'Ile Maurice, l'Egypte, les Seychelles et du Maroc. Pour sa part, l'Algérie n'a pas été classée dans l'étude menée par l'Onu en 2014. En Europe, outre la France en tête, seules l'Espagne (5e) et l'Italie (14e) figurent dans le Top 20 de ce continent. Sur l'autre thème de l'"e-participation", où la France arrive également 4e mondiale (derrière cette fois-ci les Pays-Bas, la Corée du Sud et l'Uruguay), se trouvent Israël (12e), la Grèce (17e) et le Maroc (18e et 1er en Afrique). L'enquête "e-government for the future we want" est renouvelée tous les deux ans auprès de 193 Etats par la Division de l'administration publique et la gestion du développement (DPADM) directement rattachée au Département des Nations unies pour les affaires économiques et sociales (DAES). Elle permet de dévoiler les progrès des Etats en matière d'utilisation des Nouvelles technologies de l'Information (NTIC) en leur attribuant un Indice de développement de son administration électronique (e-gouvernement). De plus, la "e-participation" mesure les possibilités technologiques offertes aux citoyens pour participer à la gouvernance publique, aux prises de décision. Sur le continent africain (le moins avancé en la matière des cinq continents), la Tunisie, qui passe au classement mondial de la 103e en 2012 à la 75e place, se positionne en numéro un pour le "e-gouvernement". Elle est suivie par l'Ile Maurice, l'Egypte, les Seychelles et du Maroc. Pour sa part, l'Algérie n'a pas été classée dans l'étude menée par l'Onu en 2014. En Europe, outre la France en tête, seules l'Espagne (5e) et l'Italie (14e) figurent dans le Top 20 de ce continent. Sur l'autre thème de l'"e-participation", où la France arrive également 4e mondiale (derrière cette fois-ci les Pays-Bas, la Corée du Sud et l'Uruguay), se trouvent Israël (12e), la Grèce (17e) et le Maroc (18e et 1er en Afrique).