Le marché de la téléphonie fixe sera ouvert à la concurrence, telle est la volonté du gouvernement pour améliorer la qualité des services mais sans se donner de date limite d'application. L'Algérie envisage donc d'ouvrir le marché de la téléphonie fixe à la concurrence afin de "créer un réel climat de concurrence", selon la ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Zohra Derdouri. Le marché de la téléphonie fixe sera ouvert à la concurrence, telle est la volonté du gouvernement pour améliorer la qualité des services mais sans se donner de date limite d'application. L'Algérie envisage donc d'ouvrir le marché de la téléphonie fixe à la concurrence afin de "créer un réel climat de concurrence", selon la ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Zohra Derdouri. "Actuellement, il n'existe en Algérie qu'un seul opérateur de téléphonie fixe, en l'occurrence Algérie Télécom (AT, public). Nous voulons créer de réelles conditions de concurrence en installant un ou plusieurs autres opérateurs pour le fixe", a précisé Mme Derdouri lors d'un point de presse animé conjointement avec le P.-dg d'AT, Azouaou Mehmel, en marge d'un regroupement national des directeurs commerciaux et de production d'Algérie télécom. "Dès que cette question sera maturée, nous informerons la presse de tous les détails y afférant", a-t-elle ajouté. La ministre a également évoqué la possibilité de permettre à d'autres opérateurs d'accéder au marché de la téléphonie mobile. Outre l'opérateur historique Mobilis (public), il existe deux opérateurs privés activant dans la téléphonie mobile en Algérie, à savoir, Djezzy et Ooridoo. Concernant le projet de loi relatif à la signature et à la certification électroniques, Mme. Derdouri a rappelé que ce projet a été adopté récemment par le Conseil des ministres et devra être examiné et adopté prochainement par le Parlement. Le projet de loi relatif à la signature et à la certification électroniques, qui vise à améliorer le climat de confiance dans la dématérialisation et la fluidification des échanges économiques, a pour objectif de "créer un climat de confiance" dans les transactions sur le web, a-t-elle expliqué. Ce texte tend également à la "modernisation" de l'administration par le recours à la technologie numérique. L'instauration de la signature et la certification électroniques a été notamment une revendication du patronat afin de faciliter les opérations économiques et sécuriser les données. La certification électronique vise à protéger les échanges et les transactions dans le réseau numérique des différentes menaces, telles que les attaques informatiques, l'accès à des informations confidentielles ou le vol de données. Sur le service universel des télécommunications, Mme Derdouri a indiqué que ce projet est "très avancé" et un décret sera prochainement élaboré et mis en place et permettra à tous les opérateurs fixe et mobile de bénéficier d'aides pour aller dans les zones isolées. De son côté, le P-dg d'Algérie Télécom a déclaré que son entreprise s'est engagée à améliorer de façon "efficace" ses prestations de service. "Notre objectif est d'améliorer les conditions d'accueil du citoyen et de la qualité des prestations qui lui sont fournies", a-t-il promis, relevant qu'en dépit des améliorations enregistrées dans le domaine des TIC, les résultats obtenus demeurent en deçà des objectifs escomptés. Pour remédier à cet état de fait, il faut nécessairement passer en revue la situation qui prévaut en matière de prise en charge de la clientèle d'AT, a-t-il ajouté. Le regroupement des responsables des agences commerciales et de production sera l'occasion de mettre en exergue la démarche d'AT visant l'amélioration constante du bon accueil, du respect et de la disponibilité des agents de cette entreprise publique, a conclu M. Mehmel. "Actuellement, il n'existe en Algérie qu'un seul opérateur de téléphonie fixe, en l'occurrence Algérie Télécom (AT, public). Nous voulons créer de réelles conditions de concurrence en installant un ou plusieurs autres opérateurs pour le fixe", a précisé Mme Derdouri lors d'un point de presse animé conjointement avec le P.-dg d'AT, Azouaou Mehmel, en marge d'un regroupement national des directeurs commerciaux et de production d'Algérie télécom. "Dès que cette question sera maturée, nous informerons la presse de tous les détails y afférant", a-t-elle ajouté. La ministre a également évoqué la possibilité de permettre à d'autres opérateurs d'accéder au marché de la téléphonie mobile. Outre l'opérateur historique Mobilis (public), il existe deux opérateurs privés activant dans la téléphonie mobile en Algérie, à savoir, Djezzy et Ooridoo. Concernant le projet de loi relatif à la signature et à la certification électroniques, Mme. Derdouri a rappelé que ce projet a été adopté récemment par le Conseil des ministres et devra être examiné et adopté prochainement par le Parlement. Le projet de loi relatif à la signature et à la certification électroniques, qui vise à améliorer le climat de confiance dans la dématérialisation et la fluidification des échanges économiques, a pour objectif de "créer un climat de confiance" dans les transactions sur le web, a-t-elle expliqué. Ce texte tend également à la "modernisation" de l'administration par le recours à la technologie numérique. L'instauration de la signature et la certification électroniques a été notamment une revendication du patronat afin de faciliter les opérations économiques et sécuriser les données. La certification électronique vise à protéger les échanges et les transactions dans le réseau numérique des différentes menaces, telles que les attaques informatiques, l'accès à des informations confidentielles ou le vol de données. Sur le service universel des télécommunications, Mme Derdouri a indiqué que ce projet est "très avancé" et un décret sera prochainement élaboré et mis en place et permettra à tous les opérateurs fixe et mobile de bénéficier d'aides pour aller dans les zones isolées. De son côté, le P-dg d'Algérie Télécom a déclaré que son entreprise s'est engagée à améliorer de façon "efficace" ses prestations de service. "Notre objectif est d'améliorer les conditions d'accueil du citoyen et de la qualité des prestations qui lui sont fournies", a-t-il promis, relevant qu'en dépit des améliorations enregistrées dans le domaine des TIC, les résultats obtenus demeurent en deçà des objectifs escomptés. Pour remédier à cet état de fait, il faut nécessairement passer en revue la situation qui prévaut en matière de prise en charge de la clientèle d'AT, a-t-il ajouté. Le regroupement des responsables des agences commerciales et de production sera l'occasion de mettre en exergue la démarche d'AT visant l'amélioration constante du bon accueil, du respect et de la disponibilité des agents de cette entreprise publique, a conclu M. Mehmel.