Au cours de sa visite aux Etats-Unis, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, s'est entretenu avec plusieurs personnalités politiques autour des questions phares du moment, à savoir la sécurité au Maghreb et au Sahel, la lutte contre le terrorisme... Au cours de sa visite aux Etats-Unis, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, s'est entretenu avec plusieurs personnalités politiques autour des questions phares du moment, à savoir la sécurité au Maghreb et au Sahel, la lutte contre le terrorisme... La paix et la sécurité dans la région où l'Algérie joue un rôle primordial d'un point de vue géostratégique sont ainsi les thèmes cles de cette visite. Lamamra a ainsi réitéré la position de l'Algérie qui est guidée par "le principe de non-ingérence" dans les affaires intérieures des Etats voisins sans pour autant se départir de son devoir d'assistance à ces pays en cas de péril ou de défis sécuritaires majeurs. Dans le cadre de cette visite, Lamamra a évoqué avec ses différents homologues les atouts géographiques, le potentiel économique et social ainsi que l'ancrage identitaire et la trajectoire de l'Algérie vis-à-vis des évolutions dans ces aires géopolitiques. D'ailleurs, Ramtane Lamamra s'est entretenu, dimanche à New York, avec la secrétaire d'Etat américaine adjointe aux Affaires politiques, Wendy Sherman. Lors de l'entretien, les deux parties ont abordé des questions régionales et internationales d'intérêt commun et se sont félicitées de la qualité et du niveau de la coopération algéro-américaine dans divers domaines. Avec John Kerry, Lamamra est revenu sur la crise en Libye, en réitérant le rejet de l'Algérie de toute intervention militaire étrangère ainsi que son attachement à une solution consensuelle à travers un processus politique inclusif. Lamamra a fait savoir que l'Algérie a été sollicitée par différentes parties libyennes pour "faciliter" l'amorce d'un dialogue inter-libyen devant réunir autour d'une table toutes les parties libyennes qui rejettent la violence et le terrorisme et acceptent le pluralisme démocratique comme moyen d'accès au pouvoir. La visite de Lamamra a été en somme bénéfique puisque les Nations unies appuient le rôle de médiation que joue l'Algérie pour la stabilisation de la situation en Libye, au Mali et dans le Sahel, a affirmé, à New York, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon. Ban Ki-moon a indiqué lors d'un entretien avec le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, que son organisation "appuyait l'Algérie dans son rôle de médiation pour la stabilisation et la paix dans la région, notamment en Libye, au Mali et au Sahel". L'entretien de Lamamra et Ban Ki-moon, auquel ont pris part de hauts responsables des Nations unies, a porté sur des questions diverses, à l'instar de la situation en Afrique et dans le monde arabe, ainsi que sur les principaux sommets devant avoir lieu pendant la 69e session de l'Assemblée générale des Nations unies comme ceux sur le climat et sur la population et le développement. Les situation en Libye, au Mali et Sahara occidental ont également été au centre de l'entretien. Le ministre des Affaires étrangères s'est, par la suite, entretenu avec le secrétaire général adjoint des Nations unies chargé des Affaires politiques, Jeffrey Feltman. Les deux responsables ont abordé, notamment, la sécurité et la stabilité dans la région du Maghreb et au Sahel. Lamamra s'est également entretenu, à New York, avec le Président-directeur général du Groupe international sur les crises (International crisis group, ICG), Jean-Marie Guéhenno. A cette occasion, M. Guéhenno s'est félicité de la diplomatie régionale "très active" de l'Algérie et a exprimé son intérêt à comprendre la démarche et la perspective des efforts consentis par l'Algérie pour la résolution de la crise au Mali et en Libye. Lors de cet entretien, qui s'est déroulé au siège de la Mission permanente de l'Algérie auprès de l'Onu, les deux responsables ont abordé également la situation en Syrie et en Irak. Lamamra est arrivé samedi soir à New York en provenance de Washington, à la tête d'une importante délégation algérienne, pour prendre part aux travaux de la 69e session de l'Assemblée générale des Nations unies. Dans le cadre de ces visites diplomatiques et dans le but de faire face aux différentes menaces terroristes, le ministre délégué, chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, est arrivé dimanche soir à New York pour participer à la 5e réunion ministérielle du Forum global de lutte contre le terrorisme, dont les travaux débuteront aujourd'hui. Les travaux de cette session seront consacrés, notamment, à l'examen de l'extrémisme violent, de la situation au Sahel et en Afrique et de la question du financement du terrorisme en relation avec le renforcement des mécanismes internationaux pour le tarissement de ses sources, en particulier le trafic de drogues et le paiement des rançons. L'Algérie avait proposé lors du dernier Sommet du Conseil de paix et de la sécurité de l'Union africaine, consacré au terrorisme et à l'extrémisme violent, qui avait eu lieu le 3 septembre courant à Nairobi, à la tenue, à Alger, d'une réunion de haut niveau sur le tarissement des sources de financement du terrorisme, rappelle-t-on. Messahel prendra part, par ailleurs, à une réunion ministérielle du Conseil de paix et de sécurité de l'UA qui se tiendra en marge des travaux de la 69e session ordinaire de l'Assemblée générale des Nations unies à New York. Placée sous la présidence du ministre des Affaires étrangères du Tchad qui préside pour le mois de septembre le Conseil de paix et de sécurité, la réunion portera essentiellement sur la situation en Libye. La paix et la sécurité dans la région où l'Algérie joue un rôle primordial d'un point de vue géostratégique sont ainsi les thèmes cles de cette visite. Lamamra a ainsi réitéré la position de l'Algérie qui est guidée par "le principe de non-ingérence" dans les affaires intérieures des Etats voisins sans pour autant se départir de son devoir d'assistance à ces pays en cas de péril ou de défis sécuritaires majeurs. Dans le cadre de cette visite, Lamamra a évoqué avec ses différents homologues les atouts géographiques, le potentiel économique et social ainsi que l'ancrage identitaire et la trajectoire de l'Algérie vis-à-vis des évolutions dans ces aires géopolitiques. D'ailleurs, Ramtane Lamamra s'est entretenu, dimanche à New York, avec la secrétaire d'Etat américaine adjointe aux Affaires politiques, Wendy Sherman. Lors de l'entretien, les deux parties ont abordé des questions régionales et internationales d'intérêt commun et se sont félicitées de la qualité et du niveau de la coopération algéro-américaine dans divers domaines. Avec John Kerry, Lamamra est revenu sur la crise en Libye, en réitérant le rejet de l'Algérie de toute intervention militaire étrangère ainsi que son attachement à une solution consensuelle à travers un processus politique inclusif. Lamamra a fait savoir que l'Algérie a été sollicitée par différentes parties libyennes pour "faciliter" l'amorce d'un dialogue inter-libyen devant réunir autour d'une table toutes les parties libyennes qui rejettent la violence et le terrorisme et acceptent le pluralisme démocratique comme moyen d'accès au pouvoir. La visite de Lamamra a été en somme bénéfique puisque les Nations unies appuient le rôle de médiation que joue l'Algérie pour la stabilisation de la situation en Libye, au Mali et dans le Sahel, a affirmé, à New York, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon. Ban Ki-moon a indiqué lors d'un entretien avec le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, que son organisation "appuyait l'Algérie dans son rôle de médiation pour la stabilisation et la paix dans la région, notamment en Libye, au Mali et au Sahel". L'entretien de Lamamra et Ban Ki-moon, auquel ont pris part de hauts responsables des Nations unies, a porté sur des questions diverses, à l'instar de la situation en Afrique et dans le monde arabe, ainsi que sur les principaux sommets devant avoir lieu pendant la 69e session de l'Assemblée générale des Nations unies comme ceux sur le climat et sur la population et le développement. Les situation en Libye, au Mali et Sahara occidental ont également été au centre de l'entretien. Le ministre des Affaires étrangères s'est, par la suite, entretenu avec le secrétaire général adjoint des Nations unies chargé des Affaires politiques, Jeffrey Feltman. Les deux responsables ont abordé, notamment, la sécurité et la stabilité dans la région du Maghreb et au Sahel. Lamamra s'est également entretenu, à New York, avec le Président-directeur général du Groupe international sur les crises (International crisis group, ICG), Jean-Marie Guéhenno. A cette occasion, M. Guéhenno s'est félicité de la diplomatie régionale "très active" de l'Algérie et a exprimé son intérêt à comprendre la démarche et la perspective des efforts consentis par l'Algérie pour la résolution de la crise au Mali et en Libye. Lors de cet entretien, qui s'est déroulé au siège de la Mission permanente de l'Algérie auprès de l'Onu, les deux responsables ont abordé également la situation en Syrie et en Irak. Lamamra est arrivé samedi soir à New York en provenance de Washington, à la tête d'une importante délégation algérienne, pour prendre part aux travaux de la 69e session de l'Assemblée générale des Nations unies. Dans le cadre de ces visites diplomatiques et dans le but de faire face aux différentes menaces terroristes, le ministre délégué, chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, est arrivé dimanche soir à New York pour participer à la 5e réunion ministérielle du Forum global de lutte contre le terrorisme, dont les travaux débuteront aujourd'hui. Les travaux de cette session seront consacrés, notamment, à l'examen de l'extrémisme violent, de la situation au Sahel et en Afrique et de la question du financement du terrorisme en relation avec le renforcement des mécanismes internationaux pour le tarissement de ses sources, en particulier le trafic de drogues et le paiement des rançons. L'Algérie avait proposé lors du dernier Sommet du Conseil de paix et de la sécurité de l'Union africaine, consacré au terrorisme et à l'extrémisme violent, qui avait eu lieu le 3 septembre courant à Nairobi, à la tenue, à Alger, d'une réunion de haut niveau sur le tarissement des sources de financement du terrorisme, rappelle-t-on. Messahel prendra part, par ailleurs, à une réunion ministérielle du Conseil de paix et de sécurité de l'UA qui se tiendra en marge des travaux de la 69e session ordinaire de l'Assemblée générale des Nations unies à New York. Placée sous la présidence du ministre des Affaires étrangères du Tchad qui préside pour le mois de septembre le Conseil de paix et de sécurité, la réunion portera essentiellement sur la situation en Libye.