Les appareils, équipés de bombes à guidage laser et de missiles, ont effectué des opérations de surveillance avant de revenir se poser sur une base de la Royal Air Force à Chypre. Les appareils, équipés de bombes à guidage laser et de missiles, ont effectué des opérations de surveillance avant de revenir se poser sur une base de la Royal Air Force à Chypre. Des avions de la Royal Air Force survolaient l'Irak samedi 27 septembre, au lendemain de l'adoption par les députés britanniques d'une motion avalisant le ralliement du Royaume-Uni à la coalition militaire internationale qui lutte contre l'Etat islamique (EI). Le ministère de la Défense britannique affirme que des chasseurs-bombardiers Tornado sont prêts à frapper des positions de l'EI dans le pays. Les appareils, équipés de bombes à guidage laser et de missiles, ont effectué des opérations de surveillance avant de revenir se poser sur une base de la Royal Air Force à Chypre. Plus tôt, l'Observatoire syrien des droits humains (OSDH), qui s'appuie sur un large réseau de militants et de sources médicales sur le terrain, a affirmé que les Etats-Unis avaient mené pour la première fois des frappes contre des cibles de l'EI dans la province de Homs, dans le centre de la Syrie, alors qu'ils étaient jusqu'à présent principalement centrés sur l'est et le nord du pays, où l'EI contrôlent de larges zones. Un responsable de la défense américain a affirmé que des frappes avaient bien eu lieu en Syrie dans la nuit de vendredi à samedi, sans en préciser la nature. Selon ce responsable, les opérations américaines sont, désormais, effectuées "presque en continu" en Syrie Frappes sur Alep et Rakka Selon l'OSDH, les frappes ont eu lieu dans la partie désertique de la province de Homs, dans la zone d'Al-Hammad, à l'est de la cité antique de Palmyre, loin de la ligne de front et des forces loyales au président Bachar Al-Assad, qui contrôlent la ville de Homs, la troisième du pays. D'autres raids ont été effectués, selon l'organisation, contre des positions de l'EI à Minbej, une des rares villes tenues par les djihadistes dans la province d'Alep (Nord) et dans la province de Rakka (Nord), considérée comme le fief du groupe extrémiste sunnite et où "au moins trente et une explosions ont été entendues". D'autres encore ont visé l'EI près de la ville kurde d'Aïn al-Arab (Kobané en kurde), à la frontière turque, une région d'où avaient fui récemment des dizaines de milliers de personnes face à l'avancée des djihadistes, selon l'OSDH. Vendredi, les Etats-Unis et leurs alliés arabes avaient, par ailleurs, lancé de nouveaux raids aériens contre des raffineries tenues par l'EI en Syrie. Des avions de la Royal Air Force survolaient l'Irak samedi 27 septembre, au lendemain de l'adoption par les députés britanniques d'une motion avalisant le ralliement du Royaume-Uni à la coalition militaire internationale qui lutte contre l'Etat islamique (EI). Le ministère de la Défense britannique affirme que des chasseurs-bombardiers Tornado sont prêts à frapper des positions de l'EI dans le pays. Les appareils, équipés de bombes à guidage laser et de missiles, ont effectué des opérations de surveillance avant de revenir se poser sur une base de la Royal Air Force à Chypre. Plus tôt, l'Observatoire syrien des droits humains (OSDH), qui s'appuie sur un large réseau de militants et de sources médicales sur le terrain, a affirmé que les Etats-Unis avaient mené pour la première fois des frappes contre des cibles de l'EI dans la province de Homs, dans le centre de la Syrie, alors qu'ils étaient jusqu'à présent principalement centrés sur l'est et le nord du pays, où l'EI contrôlent de larges zones. Un responsable de la défense américain a affirmé que des frappes avaient bien eu lieu en Syrie dans la nuit de vendredi à samedi, sans en préciser la nature. Selon ce responsable, les opérations américaines sont, désormais, effectuées "presque en continu" en Syrie Frappes sur Alep et Rakka Selon l'OSDH, les frappes ont eu lieu dans la partie désertique de la province de Homs, dans la zone d'Al-Hammad, à l'est de la cité antique de Palmyre, loin de la ligne de front et des forces loyales au président Bachar Al-Assad, qui contrôlent la ville de Homs, la troisième du pays. D'autres raids ont été effectués, selon l'organisation, contre des positions de l'EI à Minbej, une des rares villes tenues par les djihadistes dans la province d'Alep (Nord) et dans la province de Rakka (Nord), considérée comme le fief du groupe extrémiste sunnite et où "au moins trente et une explosions ont été entendues". D'autres encore ont visé l'EI près de la ville kurde d'Aïn al-Arab (Kobané en kurde), à la frontière turque, une région d'où avaient fui récemment des dizaines de milliers de personnes face à l'avancée des djihadistes, selon l'OSDH. Vendredi, les Etats-Unis et leurs alliés arabes avaient, par ailleurs, lancé de nouveaux raids aériens contre des raffineries tenues par l'EI en Syrie.