le Prix du meilleur album est revenu au bédéiste français Aurel pour Clandestino, relatant les aventures d'un journaliste d'un magazine américain en reportage en Algérie sur les migrants clandestins. le Prix du meilleur album est revenu au bédéiste français Aurel pour Clandestino, relatant les aventures d'un journaliste d'un magazine américain en reportage en Algérie sur les migrants clandestins. Les bédéistes Mohamed-Amine Fitas, Makhlouf Charraf-Eddine et Dalila Sid-Ahmed, respectivement lauréats du premier prix dans les catégories "Jeunes talents", "Meilleur espoir scolaire" et "Blog BD" se sont vus décerner des distinctions honorifiques pour leur travaux sélectionnés par un jury présidé par le plasticien et journaliste Jouadet Guessouma, lors de la cérémonie de clôture. Les lauréats du concours international, qui a réuni 130 créateurs des 32 pays participants au festival avaient, dont 80 jeunes créateurs algériens dans les trois catégories de la compétition, quant à eux, été désignés par un jury présidé par l'éditeur français Jean-Luc Schneider. Ainsi, le Prix du meilleur album est revenu au bédéiste français Aurel pour Clandestino, relatant les aventures d'un journaliste d'un magazine américain en reportage en Algérie sur les migrants clandestins. Le prix du meilleur album en langue national a été attribué aux trois auteurs Mahmoud Benameur, Safia et Soumyea Ouarzik pour Fatma n'Parapli une BD en arabe algérien sur une mystérieuse femme qui collectionne des parapluies dans un quartier populaire d'Alger. Des auteurs du Maroc, de Chine, de Tunisie ou encore de Madagascar avaient également été primés dans les six autres catégories de la compétition internationale (Meilleur scénario, meilleur dessin, meilleur projet, meilleur collectif, meilleur manga et Prix spécial du jury). Organisé sous le thème « Le Mondial des Bulles d'Alger » avec le Brésil pour invité d'honneur, dont ce choix n'est pas fortuit selon Dalila Nadjem, commissaire du festival, qui a précisé lors de la cérémonie d'ouverture qu'« après le Mondial du Brésil qui a fait braquer les médias du monde entier sur le Brésil, on voulait faire découvrir notre beau pays aux étrangers, notamment, sa bande dessinée », précise-t-elle. Pour rappel, le 7e Fibda qui a élu domicile à l'Esplanade Riadh-El-Feth, également lieu de son siège, a invité depuis son ouverture le 23 du mois en cours tous les férus de la bande du neuvième art à la découverte du Brésil par sa bande dessinée avec la série Monica, créée par la légende vivante des Quadrinho Mauricio De Souza. Par ailleurs, pas moins de douze expositions sont organisées, celle de L'Emir Abdelkader de Djilali Defali, auteur à l'honneur du 7e Fibda, et Azouz Begag constitue une des attractions majeures de l'évènement. Trois grands auteurs seront honorés par le 7e Fibda, distinguant Djilali Defali du prix d'honneur et Hiahemzizou Noureddine ainsi que Benattou Mesmoudi du prix du patrimoine « Sid-Ali Melouah », avec la présentation d'une rétrospective de tous leurs travaux. Des tables rondes, des rencontres-débats dont une sur le métier d'agent artistique, plusieurs ateliers pour enfants, des concerts et des projections de films ont été au programme du 7e Fibda, avec également des activités ponctuelles, prévues dans les quartiers populaires et deux écoles du centre-ville. Les bédéistes Mohamed-Amine Fitas, Makhlouf Charraf-Eddine et Dalila Sid-Ahmed, respectivement lauréats du premier prix dans les catégories "Jeunes talents", "Meilleur espoir scolaire" et "Blog BD" se sont vus décerner des distinctions honorifiques pour leur travaux sélectionnés par un jury présidé par le plasticien et journaliste Jouadet Guessouma, lors de la cérémonie de clôture. Les lauréats du concours international, qui a réuni 130 créateurs des 32 pays participants au festival avaient, dont 80 jeunes créateurs algériens dans les trois catégories de la compétition, quant à eux, été désignés par un jury présidé par l'éditeur français Jean-Luc Schneider. Ainsi, le Prix du meilleur album est revenu au bédéiste français Aurel pour Clandestino, relatant les aventures d'un journaliste d'un magazine américain en reportage en Algérie sur les migrants clandestins. Le prix du meilleur album en langue national a été attribué aux trois auteurs Mahmoud Benameur, Safia et Soumyea Ouarzik pour Fatma n'Parapli une BD en arabe algérien sur une mystérieuse femme qui collectionne des parapluies dans un quartier populaire d'Alger. Des auteurs du Maroc, de Chine, de Tunisie ou encore de Madagascar avaient également été primés dans les six autres catégories de la compétition internationale (Meilleur scénario, meilleur dessin, meilleur projet, meilleur collectif, meilleur manga et Prix spécial du jury). Organisé sous le thème « Le Mondial des Bulles d'Alger » avec le Brésil pour invité d'honneur, dont ce choix n'est pas fortuit selon Dalila Nadjem, commissaire du festival, qui a précisé lors de la cérémonie d'ouverture qu'« après le Mondial du Brésil qui a fait braquer les médias du monde entier sur le Brésil, on voulait faire découvrir notre beau pays aux étrangers, notamment, sa bande dessinée », précise-t-elle. Pour rappel, le 7e Fibda qui a élu domicile à l'Esplanade Riadh-El-Feth, également lieu de son siège, a invité depuis son ouverture le 23 du mois en cours tous les férus de la bande du neuvième art à la découverte du Brésil par sa bande dessinée avec la série Monica, créée par la légende vivante des Quadrinho Mauricio De Souza. Par ailleurs, pas moins de douze expositions sont organisées, celle de L'Emir Abdelkader de Djilali Defali, auteur à l'honneur du 7e Fibda, et Azouz Begag constitue une des attractions majeures de l'évènement. Trois grands auteurs seront honorés par le 7e Fibda, distinguant Djilali Defali du prix d'honneur et Hiahemzizou Noureddine ainsi que Benattou Mesmoudi du prix du patrimoine « Sid-Ali Melouah », avec la présentation d'une rétrospective de tous leurs travaux. Des tables rondes, des rencontres-débats dont une sur le métier d'agent artistique, plusieurs ateliers pour enfants, des concerts et des projections de films ont été au programme du 7e Fibda, avec également des activités ponctuelles, prévues dans les quartiers populaires et deux écoles du centre-ville.