Nouveau rebondissement dans le projet de création d'un parti politique par Ali Benflis. En effet l'ancien chef de gouvernement vient d'obtenir un rendez-vous pour déposer un dossier au niveau des services compétents du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Nouveau rebondissement dans le projet de création d'un parti politique par Ali Benflis. En effet l'ancien chef de gouvernement vient d'obtenir un rendez-vous pour déposer un dossier au niveau des services compétents du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Le candidat malheureux à l'élection présidentielle du 17 avril dernier devrait pousser un grand ouf de soulagement car l'obtention de ce rendez vous, que le ministère a fixé pour le 21 décembre, soit demain n dimanche, a été long à se dessiner. En effet, Ali Benflis a entamé, dès le 18 novembre dernier, des démarches pour obtenir un rendez-vous, mais en vain. « Aujourd'hui ce sont donc près de six mois qui se sont écoulés, sans que cette simple formalité ait pu être accomplie sur un parcours qui s'est révélé particulièrement long et parsemé d'obstacles qu'il était aisé de prévoir » note le communiqué rendu public avant-hier jeudi par Ali Benflis. Il faut rappeler que le premier dépôt du dossier s'est avéré infructueux puisque le ministère de l'Intérieur a demandé des pièces administratives supplémentaires pour compléter le dossier. Lors des formalités du dépôt du dossier le 11 novembre dernier, un problème « technique » a surgi. « La vérification contradictoire des pièces constitutives de ce dossier a fait apparaître la nécessité de procéder à certains ajustements formels s'agissant, notamment, de la présentation des engagements des membres fondateurs » avait alors annoncé un communiqué signé par l'ancien chef de gouvernement. Ainsi et alors que les membres les membres fondateurs du parti ont introduit dans le dossier un engagement collectif, le ministère de l'Intérieur leur a demandé des engagements individuels. Des engagements qui portent, selon ce qui a été dit par des membres fondateurs de ce parti, sur le respect de la Constitution et des lois de la République, le changement du nom du parti et la nécessité de la tenue du congrès constitutif dans un délai maximal d'une année à compter de la date du dépôt du dossier. Ces nouvelles exigences ont été comme il fallait s'y attendre mal perçues par Benflis et ses partisans. Car pur eux ces manoeuvres visent seulement à entraver le projet de création d'un parti politique. Mais malgré cela, les membres fondateurs ont décidé de s'y conformer en tous points. C'est ainsi qu'ils ont procédé au changement du nom du parti et à la transformation de l'engagement collectif en un ensemble d'engagements individuels. L'ancien chef de gouvernement, qui semble accorder une grande importance à son projet, est peut être entrain d'entrevoir le bout du tunnel. La création d'un parti politique permettrait à Ali Benflis d'avoir un instrument pour activer en toute légalité car depuis sa défaire lors des élections présidentielles du 17 avril dernier,il n'est pas rentré chez lui comme en 2004 lorsque il a perdu les élections présidentielles de cette année là face toujours au même adversaire , le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Il est en effet resté très actif sur la scène politique, notamment à travers le Pôle du changement constitué par de nombreux partis politiques qui ont soutenu sa candidature. Passant carrément dans les rangs de l'opposition, Ali Benflis a épousé les thèses de la plateforme politique de la CNLTD qui milité pour une transition démocratique et la tenue d'élections présidentielles anticipées. Le candidat malheureux à l'élection présidentielle du 17 avril dernier devrait pousser un grand ouf de soulagement car l'obtention de ce rendez vous, que le ministère a fixé pour le 21 décembre, soit demain n dimanche, a été long à se dessiner. En effet, Ali Benflis a entamé, dès le 18 novembre dernier, des démarches pour obtenir un rendez-vous, mais en vain. « Aujourd'hui ce sont donc près de six mois qui se sont écoulés, sans que cette simple formalité ait pu être accomplie sur un parcours qui s'est révélé particulièrement long et parsemé d'obstacles qu'il était aisé de prévoir » note le communiqué rendu public avant-hier jeudi par Ali Benflis. Il faut rappeler que le premier dépôt du dossier s'est avéré infructueux puisque le ministère de l'Intérieur a demandé des pièces administratives supplémentaires pour compléter le dossier. Lors des formalités du dépôt du dossier le 11 novembre dernier, un problème « technique » a surgi. « La vérification contradictoire des pièces constitutives de ce dossier a fait apparaître la nécessité de procéder à certains ajustements formels s'agissant, notamment, de la présentation des engagements des membres fondateurs » avait alors annoncé un communiqué signé par l'ancien chef de gouvernement. Ainsi et alors que les membres les membres fondateurs du parti ont introduit dans le dossier un engagement collectif, le ministère de l'Intérieur leur a demandé des engagements individuels. Des engagements qui portent, selon ce qui a été dit par des membres fondateurs de ce parti, sur le respect de la Constitution et des lois de la République, le changement du nom du parti et la nécessité de la tenue du congrès constitutif dans un délai maximal d'une année à compter de la date du dépôt du dossier. Ces nouvelles exigences ont été comme il fallait s'y attendre mal perçues par Benflis et ses partisans. Car pur eux ces manoeuvres visent seulement à entraver le projet de création d'un parti politique. Mais malgré cela, les membres fondateurs ont décidé de s'y conformer en tous points. C'est ainsi qu'ils ont procédé au changement du nom du parti et à la transformation de l'engagement collectif en un ensemble d'engagements individuels. L'ancien chef de gouvernement, qui semble accorder une grande importance à son projet, est peut être entrain d'entrevoir le bout du tunnel. La création d'un parti politique permettrait à Ali Benflis d'avoir un instrument pour activer en toute légalité car depuis sa défaire lors des élections présidentielles du 17 avril dernier,il n'est pas rentré chez lui comme en 2004 lorsque il a perdu les élections présidentielles de cette année là face toujours au même adversaire , le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Il est en effet resté très actif sur la scène politique, notamment à travers le Pôle du changement constitué par de nombreux partis politiques qui ont soutenu sa candidature. Passant carrément dans les rangs de l'opposition, Ali Benflis a épousé les thèses de la plateforme politique de la CNLTD qui milité pour une transition démocratique et la tenue d'élections présidentielles anticipées.