Le coup d'envoi de la 7e édition du Festival national de la musique et de la chanson amazighs a été donné samedi dernier en début de soirée à Tamanrasset par le représentant du ministère de la Culture et commissaire du festival, Karim Arib, dans une ambiance riche en couleurs et sonorités. Le coup d'envoi de la 7e édition du Festival national de la musique et de la chanson amazighs a été donné samedi dernier en début de soirée à Tamanrasset par le représentant du ministère de la Culture et commissaire du festival, Karim Arib, dans une ambiance riche en couleurs et sonorités. Dans son allocution d'ouverture de cette manifestation culturelle, M. Arib a indiqué que "la chanson amazigh a connu un essor remarquable à la faveur de l'organisation de pareilles manifestations artistiques". Le commissaire du festival a, pour sa part, souligné que le ministère de la Culture vise, à travers ces festivals, la relance du patrimoine culturel immatériel en vue d'une meilleure protection et préservation du legs culturel national, tout en appuyant que la ville de Tamanrasset constitue, à travers l'organisation de cette manifestation, le point de convergence des vedettes de la chanson amazighe. De son coté, le wali de Tamanrasset, Mahmoud Djamâa, a estimé que celle-ci traduit la diversité du patrimoine culturel et artistique algérien, et constitue une "occasion de rapprochement et de raffermissement des liens entre jeunes algériens". Quant à la cérémonie d'ouverture, une mosaïque artistique d'expression amazighe, ont assuré le baptême de cette septième édition la cérémonie au niveau du théâtre communal, avec d'un gala artistique animé par des vedettes de la chanson targuie dont Khoulen et Badi Lalla, diva du genre Tindi, ainsi que par des troupes locales et celle d'El-Djorf de Tébessa et du poète Adjla, originaire de l'Ahaggar. Comme chaque fin d'année, la capitale de l'Ahaggar vit aux rythmes des soirées magiques en compagnie de plusieurs artistes, troupes et groupes venus des quatre coins du pays. Cette année encore, un concours est prévu lors de ce festival, ayant pour participants les lauréats des festivals locaux organisés auparavant dans différentes wilayas comme la troupe folklorique - Aurès-Nememchas - lauréate du Festival de la chanson chaouie qui a eu lieu le mois dernier à Khenchela et les gagnants du Festival de la chanson kabyle de Béjaïa, de la chanson M'zab de Ghardaïa et de la chanson touareg d'Illizi). Le concours verra le passage de plusieurs autres groupes amateurs pour lesquels l'édition de cette année est dédiée, principalement, afin, disent les organisateurs, de "permettre l'émergence de nouveaux groupes et artistes dans la chanson amazighe". Des soirées artistiques dans les genres musicaux traditionnels seront, à cette occasion, animées dans la région de Tahabourt, distante d'une dizaine de km de la ville de Tamanrasset, par des troupes locales de Tindi, et celles d'El Djorf de Tébessa et Idhabeln de la Kabylie, qui devront gratifier le public de chants des Aurès et du Djurdjura. Outre des soirées artistiques prévues dans la région frontalière d'In-Guezzam avec la participation des troupes de Tindi, de Tifaouine du Chenwa et celle de Tafat de la Kabylie, le programme contient aussi la projection, à la maison de la culture de Tamanrasset, du film sur l'héroïne Lella Fatma n'Soumer, suivie de débats en présence du réalisateur, Belkacem Hadjaj. Le commissaire du festival a indiqué à l'APS que le programme de cette manifestation, coïncidant avec les vacances scolaires d'hiver, prévoit également des communications sur le patrimoine lyrique amazigh et la situation des musiques et chansons amazighes, entre authenticité et modernité, à animer par des chercheurs et hommes de culture. Il a indiqué que cet évènement sera mis à profit pour la prospection de nouveaux talents artistiques amazighes, l'échange et la création d'un cadre d'émulation entre participants en vu de promouvoir ce legs artistique algérien et, ainsi, préserver un pan entier de l'identité nationale. Dans son allocution d'ouverture de cette manifestation culturelle, M. Arib a indiqué que "la chanson amazigh a connu un essor remarquable à la faveur de l'organisation de pareilles manifestations artistiques". Le commissaire du festival a, pour sa part, souligné que le ministère de la Culture vise, à travers ces festivals, la relance du patrimoine culturel immatériel en vue d'une meilleure protection et préservation du legs culturel national, tout en appuyant que la ville de Tamanrasset constitue, à travers l'organisation de cette manifestation, le point de convergence des vedettes de la chanson amazighe. De son coté, le wali de Tamanrasset, Mahmoud Djamâa, a estimé que celle-ci traduit la diversité du patrimoine culturel et artistique algérien, et constitue une "occasion de rapprochement et de raffermissement des liens entre jeunes algériens". Quant à la cérémonie d'ouverture, une mosaïque artistique d'expression amazighe, ont assuré le baptême de cette septième édition la cérémonie au niveau du théâtre communal, avec d'un gala artistique animé par des vedettes de la chanson targuie dont Khoulen et Badi Lalla, diva du genre Tindi, ainsi que par des troupes locales et celle d'El-Djorf de Tébessa et du poète Adjla, originaire de l'Ahaggar. Comme chaque fin d'année, la capitale de l'Ahaggar vit aux rythmes des soirées magiques en compagnie de plusieurs artistes, troupes et groupes venus des quatre coins du pays. Cette année encore, un concours est prévu lors de ce festival, ayant pour participants les lauréats des festivals locaux organisés auparavant dans différentes wilayas comme la troupe folklorique - Aurès-Nememchas - lauréate du Festival de la chanson chaouie qui a eu lieu le mois dernier à Khenchela et les gagnants du Festival de la chanson kabyle de Béjaïa, de la chanson M'zab de Ghardaïa et de la chanson touareg d'Illizi). Le concours verra le passage de plusieurs autres groupes amateurs pour lesquels l'édition de cette année est dédiée, principalement, afin, disent les organisateurs, de "permettre l'émergence de nouveaux groupes et artistes dans la chanson amazighe". Des soirées artistiques dans les genres musicaux traditionnels seront, à cette occasion, animées dans la région de Tahabourt, distante d'une dizaine de km de la ville de Tamanrasset, par des troupes locales de Tindi, et celles d'El Djorf de Tébessa et Idhabeln de la Kabylie, qui devront gratifier le public de chants des Aurès et du Djurdjura. Outre des soirées artistiques prévues dans la région frontalière d'In-Guezzam avec la participation des troupes de Tindi, de Tifaouine du Chenwa et celle de Tafat de la Kabylie, le programme contient aussi la projection, à la maison de la culture de Tamanrasset, du film sur l'héroïne Lella Fatma n'Soumer, suivie de débats en présence du réalisateur, Belkacem Hadjaj. Le commissaire du festival a indiqué à l'APS que le programme de cette manifestation, coïncidant avec les vacances scolaires d'hiver, prévoit également des communications sur le patrimoine lyrique amazigh et la situation des musiques et chansons amazighes, entre authenticité et modernité, à animer par des chercheurs et hommes de culture. Il a indiqué que cet évènement sera mis à profit pour la prospection de nouveaux talents artistiques amazighes, l'échange et la création d'un cadre d'émulation entre participants en vu de promouvoir ce legs artistique algérien et, ainsi, préserver un pan entier de l'identité nationale.