Lors de la journée d'information sur la loi de finances 2015 et son impact sur l'entreprise, organisée hier à l'hôtel El Aurassi, le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) a affirmé que l'objectif essentiel de la loi de finances 2015 consiste, notamment, à trouver les meilleurs voies et moyens pour sa mise en oeuvre en cherchant une adaptation nécessaire induite par le développement récent du marché pétrolier. Lors de la journée d'information sur la loi de finances 2015 et son impact sur l'entreprise, organisée hier à l'hôtel El Aurassi, le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) a affirmé que l'objectif essentiel de la loi de finances 2015 consiste, notamment, à trouver les meilleurs voies et moyens pour sa mise en oeuvre en cherchant une adaptation nécessaire induite par le développement récent du marché pétrolier. Relatant les principales dispositions de la loi de finances, il a déclaré que « l'important, c'est d'encourager les investissements et la production nationale en substitution aux importations. Mais, il s'agit également d'enrayer le marché informel en assurant le recouvrement des impôts, car cela constitue une source de fraude et d'évasion fiscale ». En effet, Mohamed Laid Benamor n'a pas manqué de rappeler qu'il est indispensable d'adopter des mesures d'accompagnement pour les investissements en faveur des jeunes de l'Ansej et de la Cnac en simplifiant le système fiscal algérien et en assurant sa modernisation. Le président de la CACI a mis en exergue la nécessité impérieuse d'encourager la création d'entreprises dans tous les secteurs de production tout en indiquant que l'article 12 de la loi de finances 2015 consacre un taux de 23 % pour l'IBS pour toutes les activités soumises à cet impôt, néanmoins, il précise que le maintien du taux multiple provoque une fraude et une évasion fiscale. Il dira que c'est un facteur de désinvestissement pour les producteurs et une pression supplémentaire sur les activités productives et une augmentation de 4% du taux de l'IBS. D'où, selon lui, la nécessité d'améliorer les recettes fiscales escomptées, et cela ne favorise pas, at-il souligné, « la saine concurrence entre les opérateurs économiques ». En fait, les entrepreneurs, industriels et producteurs souhaitent une fiscalité souple afin de prendre en considération leurs revendications en matière d'amnistie fiscale, en ce sens que, certains opérateurs économiques, notamment privés, ont des difficultés pour maintenir leur outil de production en état de fonctionnement optimal. Relatant les principales dispositions de la loi de finances, il a déclaré que « l'important, c'est d'encourager les investissements et la production nationale en substitution aux importations. Mais, il s'agit également d'enrayer le marché informel en assurant le recouvrement des impôts, car cela constitue une source de fraude et d'évasion fiscale ». En effet, Mohamed Laid Benamor n'a pas manqué de rappeler qu'il est indispensable d'adopter des mesures d'accompagnement pour les investissements en faveur des jeunes de l'Ansej et de la Cnac en simplifiant le système fiscal algérien et en assurant sa modernisation. Le président de la CACI a mis en exergue la nécessité impérieuse d'encourager la création d'entreprises dans tous les secteurs de production tout en indiquant que l'article 12 de la loi de finances 2015 consacre un taux de 23 % pour l'IBS pour toutes les activités soumises à cet impôt, néanmoins, il précise que le maintien du taux multiple provoque une fraude et une évasion fiscale. Il dira que c'est un facteur de désinvestissement pour les producteurs et une pression supplémentaire sur les activités productives et une augmentation de 4% du taux de l'IBS. D'où, selon lui, la nécessité d'améliorer les recettes fiscales escomptées, et cela ne favorise pas, at-il souligné, « la saine concurrence entre les opérateurs économiques ». En fait, les entrepreneurs, industriels et producteurs souhaitent une fiscalité souple afin de prendre en considération leurs revendications en matière d'amnistie fiscale, en ce sens que, certains opérateurs économiques, notamment privés, ont des difficultés pour maintenir leur outil de production en état de fonctionnement optimal.