Le FLN est-il sur le point de revenir sur sa position de participation à la conférence nationale de consensus qu'organisera le FFS les 23 et 24 février prochains ? Le doute s'est installé chez le FFS après les derniers propos du secrétaire général du vieux parti, Amar Saïdani. Le FLN est-il sur le point de revenir sur sa position de participation à la conférence nationale de consensus qu'organisera le FFS les 23 et 24 février prochains ? Le doute s'est installé chez le FFS après les derniers propos du secrétaire général du vieux parti, Amar Saïdani. Avant-hier jeudi, lors d'une rencontre avec le secrétaire général de l'ANR, Belkacem Sahli, Amar Saïdani a fait dans la surenchère. Il a en effet posé de nouvelles conditions à la participation de son parti à cette conférence et ce une semaine après avoir dit "oui" à l'invitation du FFS. Amar Saïdani a ainsi clairement indiqué ce jeudi que son parti refuse de siéger lors de cette conférence avec les associations de la société civile et les personnalités nationales puisqu'il n'acceptera le dialogue qu'avec les partis politiques. Le leader du vieux parti devait ensuite ajouter que le "FLN ne sera pas présidé" non sans préciser que "l'initiative du FFS n'a pas encore atteint la maturité". Lors de la dernière rencontre entre les dirigeants des deux partis, le FFS et le FLN, au siége de ce dernier, la semaine dernière, Saïdani a pourtant clairement dit oui à la participation de son parti non sans avoir posé la condition selon laquelle "la conférence ne doit en aucun cas remettre en cause la légitimité des institutions élues". En d'autres mots la conférence nationale de contenus, qui doit avoir lieu comme annoncé les 23 et 24 féviers prochains, ne doit pas remettre en cause la légitimité du président de la République , qui est "une ligne rouge", ainsi que celle de l'APN et des assemblées locales élues. "Cette conférence, qui se tiendra dans un contexte politique et sécuritaire extrêmement sensibles, permettra à la classe politique d'amorcer le dialogue et d'échanger les opinions sur des questions importantes pour le pays" a indiqué ce jour-là Amar Saïdani. Le FFS s'est dit satisfait de cet accord du FLN, preuve que la condition du respect de la légitimité des institutions n'est pas du tout un obstacle à la tenue de cette conférence. "Nous nous réjouissons de la participation du FLN à la Conférence nationale de consensus" a de suite indiqué le premier secrétaire du FFS, Mohamed Nebou, lorsqu'il a pris à son tour la parole ajoutant que "cette adhésion est importante". Qu'en sera-t-il maintenant avec ces nouvelles conditions du FLN ? Des conditions qui risquent fort bien de "saper" les fondements de cette conférence. Car au FFS cette conférence n'est pas destinée exclusivement aux partis politiques. Le plus vieux parti de l'oppsition comptait aussi associer les associations et les organisations de la société civile ainsi que les personnalités nationales. D'ailleurs lors des consultations entreprises en perspective de ce rendez-vous le FFS a rencontré, en plus des partis politiques, de nombreuses organisations de la société civile et des personnalités. Car, dans l'esprit du FFS, la "reconstruction" d'un consensus national ne peut être l'apanage exclusif de la classe politique, mais doit associer toutes les forces vives et représentatives du pays. Cette dernière sortie surprenante d'Amar Saïdani, qui a placé très haut la barre de la participation de son parti à la conférence, est-elle le prélude au recul du FLN ? Auquel cas le coup serait terrible pour le FFS qui doit rencontrer aujourd'hui le RND avec l'espoir de le convaincre de participer à la conférence. Le FFS, qui a déployé d'intenses efforts pour la conférence, n'a pas convaincu une grande partie de l'opposition du bien-fondé de sa démarche. Autant dire que si le repli du FLN, qui pose d'ores et déjà moult interrogations à propos de ses motivations, se confirme il n'y aura point de conférence. Car une conférence sans les partis de l'opposition qui comptent sur l'échiquier national ainsi que le principal parti du pays n'a aucun sens. Avant-hier jeudi, lors d'une rencontre avec le secrétaire général de l'ANR, Belkacem Sahli, Amar Saïdani a fait dans la surenchère. Il a en effet posé de nouvelles conditions à la participation de son parti à cette conférence et ce une semaine après avoir dit "oui" à l'invitation du FFS. Amar Saïdani a ainsi clairement indiqué ce jeudi que son parti refuse de siéger lors de cette conférence avec les associations de la société civile et les personnalités nationales puisqu'il n'acceptera le dialogue qu'avec les partis politiques. Le leader du vieux parti devait ensuite ajouter que le "FLN ne sera pas présidé" non sans préciser que "l'initiative du FFS n'a pas encore atteint la maturité". Lors de la dernière rencontre entre les dirigeants des deux partis, le FFS et le FLN, au siége de ce dernier, la semaine dernière, Saïdani a pourtant clairement dit oui à la participation de son parti non sans avoir posé la condition selon laquelle "la conférence ne doit en aucun cas remettre en cause la légitimité des institutions élues". En d'autres mots la conférence nationale de contenus, qui doit avoir lieu comme annoncé les 23 et 24 féviers prochains, ne doit pas remettre en cause la légitimité du président de la République , qui est "une ligne rouge", ainsi que celle de l'APN et des assemblées locales élues. "Cette conférence, qui se tiendra dans un contexte politique et sécuritaire extrêmement sensibles, permettra à la classe politique d'amorcer le dialogue et d'échanger les opinions sur des questions importantes pour le pays" a indiqué ce jour-là Amar Saïdani. Le FFS s'est dit satisfait de cet accord du FLN, preuve que la condition du respect de la légitimité des institutions n'est pas du tout un obstacle à la tenue de cette conférence. "Nous nous réjouissons de la participation du FLN à la Conférence nationale de consensus" a de suite indiqué le premier secrétaire du FFS, Mohamed Nebou, lorsqu'il a pris à son tour la parole ajoutant que "cette adhésion est importante". Qu'en sera-t-il maintenant avec ces nouvelles conditions du FLN ? Des conditions qui risquent fort bien de "saper" les fondements de cette conférence. Car au FFS cette conférence n'est pas destinée exclusivement aux partis politiques. Le plus vieux parti de l'oppsition comptait aussi associer les associations et les organisations de la société civile ainsi que les personnalités nationales. D'ailleurs lors des consultations entreprises en perspective de ce rendez-vous le FFS a rencontré, en plus des partis politiques, de nombreuses organisations de la société civile et des personnalités. Car, dans l'esprit du FFS, la "reconstruction" d'un consensus national ne peut être l'apanage exclusif de la classe politique, mais doit associer toutes les forces vives et représentatives du pays. Cette dernière sortie surprenante d'Amar Saïdani, qui a placé très haut la barre de la participation de son parti à la conférence, est-elle le prélude au recul du FLN ? Auquel cas le coup serait terrible pour le FFS qui doit rencontrer aujourd'hui le RND avec l'espoir de le convaincre de participer à la conférence. Le FFS, qui a déployé d'intenses efforts pour la conférence, n'a pas convaincu une grande partie de l'opposition du bien-fondé de sa démarche. Autant dire que si le repli du FLN, qui pose d'ores et déjà moult interrogations à propos de ses motivations, se confirme il n'y aura point de conférence. Car une conférence sans les partis de l'opposition qui comptent sur l'échiquier national ainsi que le principal parti du pays n'a aucun sens.