Un réseau de soutien aux groupes terroristes de l'ex-GSPC a été démantelé, la semaine écoulée, par les services de sécurité dans la région de Cap Djinet à l'est de Boumerdès, a-t-on appris de source concordante. Trois éléments ont été arrêtés dans l'après-midi d'avant-hier au village Benouali à 3 km du chef-lieu communal du ladite localité balnéaire, a-t-on indiqué. Un réseau de soutien aux groupes terroristes de l'ex-GSPC a été démantelé, la semaine écoulée, par les services de sécurité dans la région de Cap Djinet à l'est de Boumerdès, a-t-on appris de source concordante. Trois éléments ont été arrêtés dans l'après-midi d'avant-hier au village Benouali à 3 km du chef-lieu communal du ladite localité balnéaire, a-t-on indiqué. Leur arrestation intervient après une série d'investigations les ciblant suite aux soupçons de leurs liens avec la filiale locale du l'ex- GSPC, El Ansar. Ils ont été appréhendés dans leurs domiciles, ajoute notre source qui précise que leur âge oscille entre 24 et 28 ans. Les mis en cause avaient été condamnés, auparavant, par un tribunal compétent à des peines de trois ans de prison ferme pour le chef d'accusation de soutien aux groupes armés écumant les maquis environnants. Certains précisent que leurs numéros de téléphone figuraient sur la liste des contacts d'appareils mobiles récupérés sur des terroristes capturés dans la région notamment à Sidi-Daoud. Ces derniers temps, les forces de sécurité mènent une large opération de démantèlement de réseau de soutien aux groupes terroristes armés. Le dernier en date est le réseau mis hors circuit dans la commune de Khemis-El-Khechna, la semaine écoulée, qui s'apprêtait à recruter des candidats au jihad aux côtés des combattants du Daech. Leur arrestation intervient après une série d'investigations les ciblant suite aux soupçons de leurs liens avec la filiale locale du l'ex- GSPC, El Ansar. Ils ont été appréhendés dans leurs domiciles, ajoute notre source qui précise que leur âge oscille entre 24 et 28 ans. Les mis en cause avaient été condamnés, auparavant, par un tribunal compétent à des peines de trois ans de prison ferme pour le chef d'accusation de soutien aux groupes armés écumant les maquis environnants. Certains précisent que leurs numéros de téléphone figuraient sur la liste des contacts d'appareils mobiles récupérés sur des terroristes capturés dans la région notamment à Sidi-Daoud. Ces derniers temps, les forces de sécurité mènent une large opération de démantèlement de réseau de soutien aux groupes terroristes armés. Le dernier en date est le réseau mis hors circuit dans la commune de Khemis-El-Khechna, la semaine écoulée, qui s'apprêtait à recruter des candidats au jihad aux côtés des combattants du Daech.