Le 5e round du dialogue intermalien inclusif a débuté avant-hier aprèsmidi à Alger entre le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires du nord du Mali ayant adhéré au processus de négociations sous la conduite de l'Algérie. Le 5e round du dialogue intermalien inclusif a débuté avant-hier aprèsmidi à Alger entre le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires du nord du Mali ayant adhéré au processus de négociations sous la conduite de l'Algérie. Ce nouveau round de négociations est un tournant décisif et les groupes politicomilitaires du nord du Mali ont réaffirmé durant ce du 5e round leur engagement à travailler davantage pour parvenir à la paix. C'est d'ailleurs dans le but de parvenir à cette paix tant attendue que l'équipe de médiation internationale du dialogue intermalien, a appelé avant-hier les parties au conflit à saisir cette opportunité pour parvenir à un accord. Hamdi Mongi, chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), a exprimé son souhait de voir cette nouvelle phase des négociations se dérouler dans "une atmosphère apaisée". Il a appelé à cette occasion à la "retenue et au respect du cessez-le-feu", en menaçant de mesures coercitives les parties qui violent la cessation des hostilités. Le chef de la Mission onusienne a incité les parties maliennes à saisir cette opportunité pour arriver à un accord de paix durable, lequel doit se faire seulement entre Maliens afin de mettre fin au conflit. De son côté, le haut responsable de l'Union africaine (UA) pour le Mali et la région du Sahel, Pierre Buyoya, a souligné l'engagement de l'organisation panafricaine à "accompagner les Maliens dans le chemin de la paix". Réitérant le soutien l'UA pour la paix au Mali, M. Buyoya a relevé en ce qui concerne le projet d'accord soumis par la médiation, qu'il était "question d'examiner les dernières observations pour parvenir à un accord global". Evoquant les tensions et les désaccords entre les parties, le haut responsable africain a insisté sur le fait qu"'un accord de paix exige du courage". "La paix se fait par la volonté politique des parties" et "la médiation n'est là que pour y contribuer", a-t-il ajouté, appelant à "aller tout droit vers un accord". Le représentant de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) a, quant à lui, mis en exergue la nécessité d'un accord qui fera office d'"instrument pour construire une paix durable". Pour le représentant de l'Union européenne (UE), Michel Rivora il s'agit seulement d'aller vers "le résultat attendu" de ces négociations qui est la conclusion d'un accord. "Un projet de texte existe, a-t-il dit, c'est un projet de compromis, réaliste et pragmatique" et "il faut mettre un terme à la situation qui perdure dans cette région". Intervenant aussi au dialogue intermalien, l'ambassadeur du Burkina-Faso a souligné qu"'il appartient aux Maliens de faire la paix", en souhaitant que ces pourparlers qui se déroulent à Alger "aboutissent à la signature d'un accord". L'ambassadeur de la Mauritanie a pour sa part exhorté les parties maliennes à "redoubler d'efforts" pour régler les problèmes posés et "à converger sans délai pour aboutir à un accord définitif et global". Le rôle de l'Algérie est primordial dans ce processus de paix au Mali et dans les autres pays voisin. C'est ce qu'a affirmé d'ailleurs le vice-ministre qatari des Affaires étrangères chargé de la coopération internationale Mohamed Ben Abbderrahmane Ben Jassem Al Thani avant-hier. Dans une déclaration à la presse à l'issue de l'audience que lui a accordée le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, le responsable qatari a indiqué avoir examiné "certaines questions politiques et réaffirmé le soutien permanent du Qatar à l'Algérie". L'équipe de médiation, présidée par l'Algérie, compte l'UA, l'Onu, l'Union européenne (UE), l'Organisation de la coopération islamique (OCI) et la Cedeao. Les négociations entre les différentes parties maliennes avaient débuté le mois de juillet 2014 et ces mêmes parties avaient pris l'engagement de parvenir à un accord de paix conformément à la feuille de route signée lors de ce 1er round. Ce nouveau round de négociations est un tournant décisif et les groupes politicomilitaires du nord du Mali ont réaffirmé durant ce du 5e round leur engagement à travailler davantage pour parvenir à la paix. C'est d'ailleurs dans le but de parvenir à cette paix tant attendue que l'équipe de médiation internationale du dialogue intermalien, a appelé avant-hier les parties au conflit à saisir cette opportunité pour parvenir à un accord. Hamdi Mongi, chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), a exprimé son souhait de voir cette nouvelle phase des négociations se dérouler dans "une atmosphère apaisée". Il a appelé à cette occasion à la "retenue et au respect du cessez-le-feu", en menaçant de mesures coercitives les parties qui violent la cessation des hostilités. Le chef de la Mission onusienne a incité les parties maliennes à saisir cette opportunité pour arriver à un accord de paix durable, lequel doit se faire seulement entre Maliens afin de mettre fin au conflit. De son côté, le haut responsable de l'Union africaine (UA) pour le Mali et la région du Sahel, Pierre Buyoya, a souligné l'engagement de l'organisation panafricaine à "accompagner les Maliens dans le chemin de la paix". Réitérant le soutien l'UA pour la paix au Mali, M. Buyoya a relevé en ce qui concerne le projet d'accord soumis par la médiation, qu'il était "question d'examiner les dernières observations pour parvenir à un accord global". Evoquant les tensions et les désaccords entre les parties, le haut responsable africain a insisté sur le fait qu"'un accord de paix exige du courage". "La paix se fait par la volonté politique des parties" et "la médiation n'est là que pour y contribuer", a-t-il ajouté, appelant à "aller tout droit vers un accord". Le représentant de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) a, quant à lui, mis en exergue la nécessité d'un accord qui fera office d'"instrument pour construire une paix durable". Pour le représentant de l'Union européenne (UE), Michel Rivora il s'agit seulement d'aller vers "le résultat attendu" de ces négociations qui est la conclusion d'un accord. "Un projet de texte existe, a-t-il dit, c'est un projet de compromis, réaliste et pragmatique" et "il faut mettre un terme à la situation qui perdure dans cette région". Intervenant aussi au dialogue intermalien, l'ambassadeur du Burkina-Faso a souligné qu"'il appartient aux Maliens de faire la paix", en souhaitant que ces pourparlers qui se déroulent à Alger "aboutissent à la signature d'un accord". L'ambassadeur de la Mauritanie a pour sa part exhorté les parties maliennes à "redoubler d'efforts" pour régler les problèmes posés et "à converger sans délai pour aboutir à un accord définitif et global". Le rôle de l'Algérie est primordial dans ce processus de paix au Mali et dans les autres pays voisin. C'est ce qu'a affirmé d'ailleurs le vice-ministre qatari des Affaires étrangères chargé de la coopération internationale Mohamed Ben Abbderrahmane Ben Jassem Al Thani avant-hier. Dans une déclaration à la presse à l'issue de l'audience que lui a accordée le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, le responsable qatari a indiqué avoir examiné "certaines questions politiques et réaffirmé le soutien permanent du Qatar à l'Algérie". L'équipe de médiation, présidée par l'Algérie, compte l'UA, l'Onu, l'Union européenne (UE), l'Organisation de la coopération islamique (OCI) et la Cedeao. Les négociations entre les différentes parties maliennes avaient débuté le mois de juillet 2014 et ces mêmes parties avaient pris l'engagement de parvenir à un accord de paix conformément à la feuille de route signée lors de ce 1er round.