"Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué", ce dicton s'applique très bien aux pourparlers syndicats de l'Education nationale-tutelle. "Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué", ce dicton s'applique très bien aux pourparlers syndicats de l'Education nationale-tutelle. Alors qu'il avait été annoncé par les deux concernés qu'un accord avait été trouvé suite à la réunion du 7 mars dernier et que la fin de la grève est certainement acquise, véritable coup de théâtre du Cnapest qui annonce qu'il poursuit sa grève. Pendant que la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit s'est dite « optimiste », quant à la possibilité de parvenir à un accord avec le Conseil national autonome du personnel de l'enseignement du secteur ternaire de l'éducation (Cnapest) pour l'arrêt de la grève, de son côté le syndicat du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'éducation (Cnapest) a ainsi décidé, de poursuivre la grève enclenché depuis le 16 février dernier, en réaction aux réponses « négatives » de la tutelle. Le coordinateur national de ce syndicat qui regroupe le plus grand nombre d'adhérents, Nouar Larbi, a affirmé que la session extraordinaire du Conseil convoquée mercredi « a décidé du maintien de la grève », ajoutant que les membres du Cnapest « examinent à l'heure actuelle la possibilité de mener des mouvements de protestation et d'organiser des rassemblements au niveau des wilayas ». « Les représentants des wilayas ont unanimement décidé, lors de la réunion, du maintien de la grève et c'était prévisible, car les rapports des wilayas sont en faveur de la poursuite de la grève, eu égard aux réponses non convaincantes de la tutelle sur la plate-forme des revendications», a souligné Nouar Larbi. Dans une déclaration à la presse Nouar Larbi explique que « 35 wilayas sont pour la poursuite de la grève et même pour le durcissement de la protestation par des actions d'accompagnement », en ajoutant que « le contenu du P-V signé par le ministère n'a tout simplement pas convaincu et n'a pas répondu à nos revendications, notamment concernant le dossier de la médecine. Les enseignants ne sont pas contents ni convaincus... ». Le procèsverbal signé entre les deux parties comprend les réponses du ministère de l'Education nationale aux revendications soumises, « Le ministère s'engageant à ouvrir le dossier relatif au statut afin d'en corriger les défaillances». Le Cnapest demande « des promotions systématiques aux nouveaux grades et aux postes d'enseignant principal et d'enseignant formateur, attendues depuis 2008 ». Il réclame l'application du code de la médecine du travail et la promulgation d'une circulaire interministérielle favorisant l'accès des enseignants au logement, mais le ministère a décidé comme première mesure de « convertir les postes de promotion vacants en postes de recrutement notamment pour la promotion dans les nouveaux postes conformément aux lois en vigueur en attendant de corriger les défaillances du statut ». Alors qu'il avait été annoncé par les deux concernés qu'un accord avait été trouvé suite à la réunion du 7 mars dernier et que la fin de la grève est certainement acquise, véritable coup de théâtre du Cnapest qui annonce qu'il poursuit sa grève. Pendant que la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit s'est dite « optimiste », quant à la possibilité de parvenir à un accord avec le Conseil national autonome du personnel de l'enseignement du secteur ternaire de l'éducation (Cnapest) pour l'arrêt de la grève, de son côté le syndicat du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'éducation (Cnapest) a ainsi décidé, de poursuivre la grève enclenché depuis le 16 février dernier, en réaction aux réponses « négatives » de la tutelle. Le coordinateur national de ce syndicat qui regroupe le plus grand nombre d'adhérents, Nouar Larbi, a affirmé que la session extraordinaire du Conseil convoquée mercredi « a décidé du maintien de la grève », ajoutant que les membres du Cnapest « examinent à l'heure actuelle la possibilité de mener des mouvements de protestation et d'organiser des rassemblements au niveau des wilayas ». « Les représentants des wilayas ont unanimement décidé, lors de la réunion, du maintien de la grève et c'était prévisible, car les rapports des wilayas sont en faveur de la poursuite de la grève, eu égard aux réponses non convaincantes de la tutelle sur la plate-forme des revendications», a souligné Nouar Larbi. Dans une déclaration à la presse Nouar Larbi explique que « 35 wilayas sont pour la poursuite de la grève et même pour le durcissement de la protestation par des actions d'accompagnement », en ajoutant que « le contenu du P-V signé par le ministère n'a tout simplement pas convaincu et n'a pas répondu à nos revendications, notamment concernant le dossier de la médecine. Les enseignants ne sont pas contents ni convaincus... ». Le procèsverbal signé entre les deux parties comprend les réponses du ministère de l'Education nationale aux revendications soumises, « Le ministère s'engageant à ouvrir le dossier relatif au statut afin d'en corriger les défaillances». Le Cnapest demande « des promotions systématiques aux nouveaux grades et aux postes d'enseignant principal et d'enseignant formateur, attendues depuis 2008 ». Il réclame l'application du code de la médecine du travail et la promulgation d'une circulaire interministérielle favorisant l'accès des enseignants au logement, mais le ministère a décidé comme première mesure de « convertir les postes de promotion vacants en postes de recrutement notamment pour la promotion dans les nouveaux postes conformément aux lois en vigueur en attendant de corriger les défaillances du statut ».