Les quantités de drogue, saisies en 2014, sont passées dans la wilaya d'Alger à 184 kg contre 250 kg en 2013 et 960 kg en 2012, a affirmé dimanche l'inspecteur de police Noureddine Berrachdi, président de la sûreté de la wilaya d'Alger. Les quantités de drogue, saisies en 2014, sont passées dans la wilaya d'Alger à 184 kg contre 250 kg en 2013 et 960 kg en 2012, a affirmé dimanche l'inspecteur de police Noureddine Berrachdi, président de la sûreté de la wilaya d'Alger. Dans son intervention à l'occasion de la journée d'étude sur "La drogue et la violence parmi les jeunes" organisée par la sûreté de wilaya, M. Berrachdi a indiqué que les quantités de drogue saisies à Alger ont enregistré une baisse "sensible" grâce à l'intensification des campagnes de sensibilisation et de l'action de proximité des services de sécurité. 4.359 affaires liées au trafic et détention de drogues ont été traitées en 2014 contre 4.692 en 2013, a-t-il rappelé. Plus de 83.000 comprimés psychotropes et près de 500 g d'héroïne ont été saisis l'année dernière. La détention de stupéfiants pour consommation reste très répandue parmi les jeunes, a-t-il dit, ajoutant que cela explique souvent les cas de violence parmi cette catégorie de la société. En 2014 plus de 890 affaires de coups et blessures volontaires, vols et divers formes de violence impliquant des jeunes s'adonnant à la drogue dont 566 mineurs et 40 filles ont été traitées. Par ailleurs, le président de l'organisation nationale des associations d'aide aux jeunes, Abdelkrim Abidate, a souligné l'importance du rôle des associations locales de sensibilisation des jeunes aux dangers de consommation de stupéfiants faisant état de 300.000 toxicomanes à travers le territoire national âgés entre 15 et 35 ans dont 17 % de femmes. Il a indiqué que ces chiffres seraient "en deçà des chiffres existant réellement du fait de la prolifération de la toxicomanie par les jeunes d'où, a-t-il dit, la nécessité de consacrer tous les efforts pour préserver la santé de cette catégorie importante de la société" . M. Abidate a rappelé à ce propos l'expérience des bus d'écoute de proximité mobiles dans la capitale en coordination avec la Direction générale de la Sûreté nationale. Depuis le lancement de cette idée en 2010, plus de 12.000 jeunes toxicomanes ont été orientés vers des centres spécialisés. La première promotion de jeunes cadres composée de 100 jeunes ayant suivi une formation spéciale de trois ans assurée par l'association sera opérationnelle à partir du mois d'avril prochain, selon la même source. Les participants à cette journée d'étude ont mis en garde contre les dangers de la toxicomanie sur les jeunes soulignant l'importance de la sensibilisation à ces dangers. L'activité des cellules d'écoute de proximité relevant de la sûreté de la wilaya a été évoquée dans ce contexte. 142 jeunes toxicomanes sur 265 reçus ont été transférés en 2014 vers le centre spécialisé de Mohammadia ou l'hôpital Franz-Fanon de Blida pour suivre un traitement de désintoxication. Dans son intervention à l'occasion de la journée d'étude sur "La drogue et la violence parmi les jeunes" organisée par la sûreté de wilaya, M. Berrachdi a indiqué que les quantités de drogue saisies à Alger ont enregistré une baisse "sensible" grâce à l'intensification des campagnes de sensibilisation et de l'action de proximité des services de sécurité. 4.359 affaires liées au trafic et détention de drogues ont été traitées en 2014 contre 4.692 en 2013, a-t-il rappelé. Plus de 83.000 comprimés psychotropes et près de 500 g d'héroïne ont été saisis l'année dernière. La détention de stupéfiants pour consommation reste très répandue parmi les jeunes, a-t-il dit, ajoutant que cela explique souvent les cas de violence parmi cette catégorie de la société. En 2014 plus de 890 affaires de coups et blessures volontaires, vols et divers formes de violence impliquant des jeunes s'adonnant à la drogue dont 566 mineurs et 40 filles ont été traitées. Par ailleurs, le président de l'organisation nationale des associations d'aide aux jeunes, Abdelkrim Abidate, a souligné l'importance du rôle des associations locales de sensibilisation des jeunes aux dangers de consommation de stupéfiants faisant état de 300.000 toxicomanes à travers le territoire national âgés entre 15 et 35 ans dont 17 % de femmes. Il a indiqué que ces chiffres seraient "en deçà des chiffres existant réellement du fait de la prolifération de la toxicomanie par les jeunes d'où, a-t-il dit, la nécessité de consacrer tous les efforts pour préserver la santé de cette catégorie importante de la société" . M. Abidate a rappelé à ce propos l'expérience des bus d'écoute de proximité mobiles dans la capitale en coordination avec la Direction générale de la Sûreté nationale. Depuis le lancement de cette idée en 2010, plus de 12.000 jeunes toxicomanes ont été orientés vers des centres spécialisés. La première promotion de jeunes cadres composée de 100 jeunes ayant suivi une formation spéciale de trois ans assurée par l'association sera opérationnelle à partir du mois d'avril prochain, selon la même source. Les participants à cette journée d'étude ont mis en garde contre les dangers de la toxicomanie sur les jeunes soulignant l'importance de la sensibilisation à ces dangers. L'activité des cellules d'écoute de proximité relevant de la sûreté de la wilaya a été évoquée dans ce contexte. 142 jeunes toxicomanes sur 265 reçus ont été transférés en 2014 vers le centre spécialisé de Mohammadia ou l'hôpital Franz-Fanon de Blida pour suivre un traitement de désintoxication.