Quelque 60.000 cas d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont annuellement enregistrés en Algérie provoquant, en moyenne, 20.000 décès, a affirmé, samedi à Sétif, le professeur Hacene Zoubiri, spécialiste en neurologie au centre hospitalo-universitaire de la wilaya Saâdna-Abdenour. S'exprimant en marge d'une journée de formation médicale continue, portant sur les dangers de cette maladie, organisée au CHU Saâdna-Abdenour, le même praticien a précisé que l'AVC est "aussi ravageur que les accidents de la circulation". Quelque 60.000 cas d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont annuellement enregistrés en Algérie provoquant, en moyenne, 20.000 décès, a affirmé, samedi à Sétif, le professeur Hacene Zoubiri, spécialiste en neurologie au centre hospitalo-universitaire de la wilaya Saâdna-Abdenour. S'exprimant en marge d'une journée de formation médicale continue, portant sur les dangers de cette maladie, organisée au CHU Saâdna-Abdenour, le même praticien a précisé que l'AVC est "aussi ravageur que les accidents de la circulation". Soulignant, dans ce contexte, que 400 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année dans la wilaya de Sétif, il a souligné que pas moins de 162 personnes victimes d'AVC ont été hospitalisées durant les neuf derniers mois à travers les établissements de santé de la wilaya des Hauts- Plateaux. Détaillant les facteurs de risques favorisant la survenue d'un AVC, le spécialiste a évoqué le tabagisme, l'obésité et la consommation des boissons alcoolisées. Selon le professeur Zoubiri, le choix de cette maladie en tant que thème de formation médicale est "dicté par l'importance d'actualiser les données des praticiens autour de cette maladie et les méthodes thérapeutiques appliquées". Affirmant que l'AVC représente une urgence médicale, il a mis l'accent sur le "facteur temps" dans la prise en charge du malade, avant d'inciter les citoyens à ne pas hésiter à se rendre à l'hôpital "en cas de paralysie faciale, ou partielle et ou en cas de difficultés d'élocution". Le professeur Zoubiri a également affirmé que le recours, dans les quatre heures, qui suivent l'accident, à la technique médicale de la thrombolyse, destinée à dissoudre en urgence le caillot de sang, permet de sauver le malade. Actuellement, seules les wilayas de Sétif et de Blida disposent d'unités d'urgence prenant en charge les personnes victimes d'AVC. Soulignant, dans ce contexte, que 400 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année dans la wilaya de Sétif, il a souligné que pas moins de 162 personnes victimes d'AVC ont été hospitalisées durant les neuf derniers mois à travers les établissements de santé de la wilaya des Hauts- Plateaux. Détaillant les facteurs de risques favorisant la survenue d'un AVC, le spécialiste a évoqué le tabagisme, l'obésité et la consommation des boissons alcoolisées. Selon le professeur Zoubiri, le choix de cette maladie en tant que thème de formation médicale est "dicté par l'importance d'actualiser les données des praticiens autour de cette maladie et les méthodes thérapeutiques appliquées". Affirmant que l'AVC représente une urgence médicale, il a mis l'accent sur le "facteur temps" dans la prise en charge du malade, avant d'inciter les citoyens à ne pas hésiter à se rendre à l'hôpital "en cas de paralysie faciale, ou partielle et ou en cas de difficultés d'élocution". Le professeur Zoubiri a également affirmé que le recours, dans les quatre heures, qui suivent l'accident, à la technique médicale de la thrombolyse, destinée à dissoudre en urgence le caillot de sang, permet de sauver le malade. Actuellement, seules les wilayas de Sétif et de Blida disposent d'unités d'urgence prenant en charge les personnes victimes d'AVC.