Le gouvernement est déterminé à appliquer la loi sur la généralisation du chèque dans toutes les transactions. Le gouvernement est déterminé à appliquer la loi sur la généralisation du chèque dans toutes les transactions. A partir du 1er juillet prochain, toutes les opérations de paiement seront effectuées par chèque. Le décret exécutif qui valide cette démarche est entré en vigueur. Désormais, les jours du tout paiement en cash sont comptés. Plus aucune transaction ou opération de paiement au niveau des banques et autres établissements financiers ne se fera sans le chèque. Le gouvernement via un décret qu'il vient de publier et qui est entré en vigueur ces dernières semaines, mentionne les seuils applicables pour les opérations de paiement, devant être effectués à travers les circuits bancaires et financiers (chèque, virement bancaire, etc.). Le Premier ministre Sellal accorde un intérêt pour le déploiement de cette opération qui nécessite tout de même une préparation par les parties concernées. Selon une source gouvernementale, la loi stipule que les transactions doivent être effectuées par les moyens de paiement scripturaux : « Chèque, virement bancaire, carte de paiement, prélèvement automatique, lettre de change, billet à ordre et toute autre moyen de paiement scriptural dûment autorisé par la Banque d'Algérie ». Mieux encore, les citoyens concernés à titre illustratif par l'achat de véhicules, le décret précise que « l'achat des véhicules neufs motocyclettes et cyclomoteurs immatriculés auprès des concessionnaires automobiles et autres distributeurs ou revendeurs se fera par les moyens de paiement scripturaux lorsque le montant de paiement dépasse les 1 000.000 DA ». Ceci est valable pour les transactions immobilières dont le seuil dépasse cinq millions de dinars (5.000.000 DA). Aussi est-il indiqué que la loi touche également toute opération touchant l'achat des biens, de métaux précieux ou toute autre marchandise dont le seuil dépasserait 1 million DA. C'est ainsi que l'Etat veut mettre de l'ordre dans la vie économique des algériens après avoir relevé les multiples abus du cash. L'utilisation excessive de l'argent liquide a entraîné des escroqueries et a donné aux groupes informels un terrain fertile pour la fraude et l'évasion fiscale. Ces atteintes ont été ressenties par les citoyens qui croient à la transparence des achats et des ventes en toute légalité, loin des écrans de fumée qui couvrent les activités illicites ou celles du marché parallèle. Il faut rappeler que le gouvernement depuis Ouyahia avait reporté sine die cette décision au motif de préparer les institutions financières à se familiariser avec le chèque. Mais d'autres avancent que c'est pour des « raisons politiques » que l'Etat a jugé utile de laisser ce délai s'allonger. Aujourd'hui, il n'y a aucune excuse à trouver pour contourner un moyen de paiement universel qui permet de consacrer une activité saine et d'assainir les poches de la fraude et des fortunes amassées avec de l'argent liquide sans traçabilité. A partir du 1er juillet prochain, toutes les opérations de paiement seront effectuées par chèque. Le décret exécutif qui valide cette démarche est entré en vigueur. Désormais, les jours du tout paiement en cash sont comptés. Plus aucune transaction ou opération de paiement au niveau des banques et autres établissements financiers ne se fera sans le chèque. Le gouvernement via un décret qu'il vient de publier et qui est entré en vigueur ces dernières semaines, mentionne les seuils applicables pour les opérations de paiement, devant être effectués à travers les circuits bancaires et financiers (chèque, virement bancaire, etc.). Le Premier ministre Sellal accorde un intérêt pour le déploiement de cette opération qui nécessite tout de même une préparation par les parties concernées. Selon une source gouvernementale, la loi stipule que les transactions doivent être effectuées par les moyens de paiement scripturaux : « Chèque, virement bancaire, carte de paiement, prélèvement automatique, lettre de change, billet à ordre et toute autre moyen de paiement scriptural dûment autorisé par la Banque d'Algérie ». Mieux encore, les citoyens concernés à titre illustratif par l'achat de véhicules, le décret précise que « l'achat des véhicules neufs motocyclettes et cyclomoteurs immatriculés auprès des concessionnaires automobiles et autres distributeurs ou revendeurs se fera par les moyens de paiement scripturaux lorsque le montant de paiement dépasse les 1 000.000 DA ». Ceci est valable pour les transactions immobilières dont le seuil dépasse cinq millions de dinars (5.000.000 DA). Aussi est-il indiqué que la loi touche également toute opération touchant l'achat des biens, de métaux précieux ou toute autre marchandise dont le seuil dépasserait 1 million DA. C'est ainsi que l'Etat veut mettre de l'ordre dans la vie économique des algériens après avoir relevé les multiples abus du cash. L'utilisation excessive de l'argent liquide a entraîné des escroqueries et a donné aux groupes informels un terrain fertile pour la fraude et l'évasion fiscale. Ces atteintes ont été ressenties par les citoyens qui croient à la transparence des achats et des ventes en toute légalité, loin des écrans de fumée qui couvrent les activités illicites ou celles du marché parallèle. Il faut rappeler que le gouvernement depuis Ouyahia avait reporté sine die cette décision au motif de préparer les institutions financières à se familiariser avec le chèque. Mais d'autres avancent que c'est pour des « raisons politiques » que l'Etat a jugé utile de laisser ce délai s'allonger. Aujourd'hui, il n'y a aucune excuse à trouver pour contourner un moyen de paiement universel qui permet de consacrer une activité saine et d'assainir les poches de la fraude et des fortunes amassées avec de l'argent liquide sans traçabilité.