L'attentat suicide contre une base militaire de l'ONU au nord du Mali qui a fait trois morts, et plusieurs soldats blessés, mercredi, a été vivement condamné par le ministère des affaires étrangères. ''Nous condamnons avec force le lâche attentat suicide contre le camp de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) à Ansongo (région de Gao)'', affirme dans un communiqué le porte-parole du ministère. L'attentat suicide contre une base militaire de l'ONU au nord du Mali qui a fait trois morts, et plusieurs soldats blessés, mercredi, a été vivement condamné par le ministère des affaires étrangères. ''Nous condamnons avec force le lâche attentat suicide contre le camp de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) à Ansongo (région de Gao)'', affirme dans un communiqué le porte-parole du ministère. La porte-parole du ministère des Affaires étrangères, qui a exprimé la solidarité de l'Algérie ‘‘avec les familles des victimes, les gouvernements et les peuples nigériens et maliens'', a ajouté que ''cette nouvelle agression montre une fois de plus que la situation au nord du Mali reste fragile''. Selon le chef de la Minusma Mongi Hamdi, ''un véhicule suicide a explosé à l'entrée du camp de la Minusma à Ansongo". L'attaque a fait neuf blessés, dont deux grièvement atteints, "parmi les Casques bleus du contingent du Niger" et "provoqué la mort d'au moins trois civils", sept autres étant blessés, précise un communiqué de la Minusma. Mongi Hamdi, qui a "condamné" cette attaque "lâche et odieuse", a souligné qu'il a été ''choqué que de valeureux soldats de la paix soient à nouveau pris pour cible ainsi que des civils innocents''. ''Cet attentat ne détournera pas la Minusma de sa mission de rétablissement de la paix et de la sécurité au Mali", a-t-il précisé dans le même communiqué. La Minusma compte actuellement quelque 11.000 hommes sur le terrain, dont près de 10.000 militaires et policiers. 40 Casques bleus ont été tués depuis son déploiement en juillet 2013. Le porteparole du ministère des Affaires étrangères a précisé par ailleurs qu'''il est urgent et vital pour l'ensemble des composantes du peuple malien de se rassembler et de s'unir autour d'un projet de société basé sur la réconciliation nationale''. ''Aucune autre alternative n'est à même d'assurer au peuple malien (frère) le retour à la stabilité et à l'engager ainsi que l'ensemble des peuples de la région sahélo-saharienne sur la voie du développement, de la prospérité et de la paix''. La porte-parole du ministère des Affaires étrangères, qui a exprimé la solidarité de l'Algérie ‘‘avec les familles des victimes, les gouvernements et les peuples nigériens et maliens'', a ajouté que ''cette nouvelle agression montre une fois de plus que la situation au nord du Mali reste fragile''. Selon le chef de la Minusma Mongi Hamdi, ''un véhicule suicide a explosé à l'entrée du camp de la Minusma à Ansongo". L'attaque a fait neuf blessés, dont deux grièvement atteints, "parmi les Casques bleus du contingent du Niger" et "provoqué la mort d'au moins trois civils", sept autres étant blessés, précise un communiqué de la Minusma. Mongi Hamdi, qui a "condamné" cette attaque "lâche et odieuse", a souligné qu'il a été ''choqué que de valeureux soldats de la paix soient à nouveau pris pour cible ainsi que des civils innocents''. ''Cet attentat ne détournera pas la Minusma de sa mission de rétablissement de la paix et de la sécurité au Mali", a-t-il précisé dans le même communiqué. La Minusma compte actuellement quelque 11.000 hommes sur le terrain, dont près de 10.000 militaires et policiers. 40 Casques bleus ont été tués depuis son déploiement en juillet 2013. Le porteparole du ministère des Affaires étrangères a précisé par ailleurs qu'''il est urgent et vital pour l'ensemble des composantes du peuple malien de se rassembler et de s'unir autour d'un projet de société basé sur la réconciliation nationale''. ''Aucune autre alternative n'est à même d'assurer au peuple malien (frère) le retour à la stabilité et à l'engager ainsi que l'ensemble des peuples de la région sahélo-saharienne sur la voie du développement, de la prospérité et de la paix''.