De violents affrontements entre miliciens chiites houthis et combattants tribaux ont fait au moins quinze morts dans la nuit de lundi à mardi dans la province de Marib (centre du Yémen), alors que la coalition conduite par l'Arabie saoudite poursuivait ses frappes aériennes dans le pays. De violents affrontements entre miliciens chiites houthis et combattants tribaux ont fait au moins quinze morts dans la nuit de lundi à mardi dans la province de Marib (centre du Yémen), alors que la coalition conduite par l'Arabie saoudite poursuivait ses frappes aériennes dans le pays. Un raid a visé mardi l'aéroport de Sanaa, la capitale, touchant un avion de la compagnie yéménite Felix Airways et endommageant la piste, a annoncé un responsable yéménite. Le vice-président yéménite Khaled Bahah a appelé lundi les Houthis à mettre fin aux combats, comme l'a exigé le Conseil de sécurité des Nations unies. Le conflit, selon la Croix-Rouge, a conduit le pays au bord d'une "catastrophe" humanitaire. Selon l'OCHA, le bureau de coordination des affaires humanitaires de l'Onu, le nombre de personnes déplacées en raison des combats au Yémen a plus que doublé par rapport à la précédente estimation du 17 avril et s'établit aujourd'hui à environ 300.000. Les combats ont été particulièrement violents dans la nuit de lundi à mardi dans la province de Marib, à l'est de la capitale Sanaa, dans la ville de Taëz (Centre) et dans le port d'Aden, dans le sud du pays. Il y a eu au moins quinze morts dans le district de Sirouah et autour de la ville de Marib, ont annoncé des sources tribales et les services médicaux, alors que les tribus fidèles au président Abd-Rabbou Mansour Hadi tentaient de stopper l'avance des Houthis et des forces favorables à l'ancien président Ali Abdallah Saleh. Les Houthis affirment vouloir prendre la ville de Marib afin de Marib afin de contrer les progrès des djihadistes d'Al Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa). Un raid a visé mardi l'aéroport de Sanaa, la capitale, touchant un avion de la compagnie yéménite Felix Airways et endommageant la piste, a annoncé un responsable yéménite. Le vice-président yéménite Khaled Bahah a appelé lundi les Houthis à mettre fin aux combats, comme l'a exigé le Conseil de sécurité des Nations unies. Le conflit, selon la Croix-Rouge, a conduit le pays au bord d'une "catastrophe" humanitaire. Selon l'OCHA, le bureau de coordination des affaires humanitaires de l'Onu, le nombre de personnes déplacées en raison des combats au Yémen a plus que doublé par rapport à la précédente estimation du 17 avril et s'établit aujourd'hui à environ 300.000. Les combats ont été particulièrement violents dans la nuit de lundi à mardi dans la province de Marib, à l'est de la capitale Sanaa, dans la ville de Taëz (Centre) et dans le port d'Aden, dans le sud du pays. Il y a eu au moins quinze morts dans le district de Sirouah et autour de la ville de Marib, ont annoncé des sources tribales et les services médicaux, alors que les tribus fidèles au président Abd-Rabbou Mansour Hadi tentaient de stopper l'avance des Houthis et des forces favorables à l'ancien président Ali Abdallah Saleh. Les Houthis affirment vouloir prendre la ville de Marib afin de Marib afin de contrer les progrès des djihadistes d'Al Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa).