Le président de l'ES Sétif, Hacene Hammar, a affirmé, mercredi au cours d'une conférence de presse organisée à l'Ecole nationale des sports olympiques (ENSO) de Sétif, que le coach, Kheireddine Madoui, "ne quittera pas le club". Le président de l'ES Sétif, Hacene Hammar, a affirmé, mercredi au cours d'une conférence de presse organisée à l'Ecole nationale des sports olympiques (ENSO) de Sétif, que le coach, Kheireddine Madoui, "ne quittera pas le club". "Notre entraîneur est jeune, il a obtenu plusieurs titres prestigieux dont le trophée de la ligue des champions, il fait tout ce qu'il peut, aujourd'hui, pour défendre ce titre tout en se battant pour finir premier en championnat, et tout cela s'accompagne, fatalement, d'une pression qui a conduit Kheireddine à annoncer son départ, ne supportant par qu'une poignée de prétendus touche à son honneur", a déclaré le boss des Noir et Blanc. Ce dernier en veut pour preuve le fait que Madoui participe, en s'y impliquant pleinement, aux démarches entreprises par l'administration en vue de recruter "quatre ou cinq" éléments en prévision de la saison prochaine, ainsi qu'aux négociations avec les cadres que l'équipe entend garder, à l'image de Khedaïria, de Lagraâ ou de Demmou. Apropos de ce dernier point, Hammar a assuré que l'équipe sétifienne ne connaîtra pas, cet été, une "saignée" identique à celle des saisons précédentes. "Nous nous battrons à fond pour garder notre ossature et nos meilleurs joueurs", dira-t-il au cours de cette conférence de presse qu'il a animée aux côtés du directeur sportif, Daïa Eddine Boulahdjilat et du président du conseil d'administration du club, Azzedine Arab. A une question en rapport avec le tirage au sort de la phase de poules de la ligue des champions africains (l'ESS est versée dans le groupe B en compagnie de l'USM Alger, du MC El Eulma et des soudanais d'El Merrikh, ndlr), le président de l'Entente a considéré que la présence de trois équipes d'un même pays dans un même groupe est "du jamais vu, ni en Afrique, ni en Europe ni ailleurs". Selon Hammar, qui ad'abord tenu à féliciter le MCEE et l'USMA pour leur qualification en phase de poules, "un des trois clubs algériens dans le groupe A aurait augmenté les chances de voir une finale de ligue des champions 100 pour cent algérienne, même si cela reste possible dans la configuration imposée par le tirage au sort". Le souhait le "plus ardent" du président sétifien est de voir le football algérien "donner une leçon à tous ses détracteurs, ici ou ailleurs, lors de la première rencontre de l'ESS dans le groupe B, face à l'USM Alger, entre le 26 et le 28 juin au cours d'une belle soirée de Ramadhan". Hammar affirme souhaiter "plus que tout, du beau football, du fair-play et un esprit de fraternité entre deux équipes dont les maillots seront floqués du drapeau Algérien". Le président de l'ES Sétif a également tenu à infirmer tout ce qui a été dit ou écrit à propos des accusations marocaines à l'issue de la rencontre de 1/8e de finale contre le Raja de Casablanca. Il s'est même muni d'un data-show pour projeter aux journalistes présents certaines scènes montrant les supporters marocains "bombarder" la piste de projectiles et de fumigènes, et un dirigeant du Raja quittant la tribune d'honneur, en fin de match, pour escalader le grillage et pénétrer sur le terrain. "Notre entraîneur est jeune, il a obtenu plusieurs titres prestigieux dont le trophée de la ligue des champions, il fait tout ce qu'il peut, aujourd'hui, pour défendre ce titre tout en se battant pour finir premier en championnat, et tout cela s'accompagne, fatalement, d'une pression qui a conduit Kheireddine à annoncer son départ, ne supportant par qu'une poignée de prétendus touche à son honneur", a déclaré le boss des Noir et Blanc. Ce dernier en veut pour preuve le fait que Madoui participe, en s'y impliquant pleinement, aux démarches entreprises par l'administration en vue de recruter "quatre ou cinq" éléments en prévision de la saison prochaine, ainsi qu'aux négociations avec les cadres que l'équipe entend garder, à l'image de Khedaïria, de Lagraâ ou de Demmou. Apropos de ce dernier point, Hammar a assuré que l'équipe sétifienne ne connaîtra pas, cet été, une "saignée" identique à celle des saisons précédentes. "Nous nous battrons à fond pour garder notre ossature et nos meilleurs joueurs", dira-t-il au cours de cette conférence de presse qu'il a animée aux côtés du directeur sportif, Daïa Eddine Boulahdjilat et du président du conseil d'administration du club, Azzedine Arab. A une question en rapport avec le tirage au sort de la phase de poules de la ligue des champions africains (l'ESS est versée dans le groupe B en compagnie de l'USM Alger, du MC El Eulma et des soudanais d'El Merrikh, ndlr), le président de l'Entente a considéré que la présence de trois équipes d'un même pays dans un même groupe est "du jamais vu, ni en Afrique, ni en Europe ni ailleurs". Selon Hammar, qui ad'abord tenu à féliciter le MCEE et l'USMA pour leur qualification en phase de poules, "un des trois clubs algériens dans le groupe A aurait augmenté les chances de voir une finale de ligue des champions 100 pour cent algérienne, même si cela reste possible dans la configuration imposée par le tirage au sort". Le souhait le "plus ardent" du président sétifien est de voir le football algérien "donner une leçon à tous ses détracteurs, ici ou ailleurs, lors de la première rencontre de l'ESS dans le groupe B, face à l'USM Alger, entre le 26 et le 28 juin au cours d'une belle soirée de Ramadhan". Hammar affirme souhaiter "plus que tout, du beau football, du fair-play et un esprit de fraternité entre deux équipes dont les maillots seront floqués du drapeau Algérien". Le président de l'ES Sétif a également tenu à infirmer tout ce qui a été dit ou écrit à propos des accusations marocaines à l'issue de la rencontre de 1/8e de finale contre le Raja de Casablanca. Il s'est même muni d'un data-show pour projeter aux journalistes présents certaines scènes montrant les supporters marocains "bombarder" la piste de projectiles et de fumigènes, et un dirigeant du Raja quittant la tribune d'honneur, en fin de match, pour escalader le grillage et pénétrer sur le terrain.