Un plateau artistique composé du chanteur Ali Amrane, la star du folk-rock kabyle, la jeune artiste finnoise Stina et le groupe Dey, ont enflammé la scène à l'occasion d'un spectacle animé sur la chaine de télévision publique A3. Un plateau artistique composé du chanteur Ali Amrane, la star du folk-rock kabyle, la jeune artiste finnoise Stina et le groupe Dey, ont enflammé la scène à l'occasion d'un spectacle animé sur la chaine de télévision publique A3. De sa voix chaude et suave, au timbre profond, qui a résonné dans une salle pleine et devant un public chauffé à blanc, l'invité d'honneur de l'émission Studio Live, réalisé par Farid Ben Moussa, le chanteur Ali Amarne a interprété des chansons puisées dans un répertoire riche caractérisé par mélange harmonieux de mélodies folk-Rock avec des notes de blues et de pop, sous la coupe du maestro Amine Dahame. Le public composé de jeunes a repris en choeur toutes les chansons de leur star, apprécié pour ses textes soignés à la thématique tirée du vécu de sa société et habillés d'une musique épurée. Questionné par l'animatrice Mlle Harkat sur son dernier album, Ali Amrane rétorque qu'il "travaille sur un nouvel album, et qu'il reste dans son style qu'il a construit après un travail de longue haleine, quant aux thématiques il y aura certainement du nouveau" a-t-il ajouté. Le moment tant attendu, par l'assistance et surement par les téléspectateurs était le passage de la jeune artiste finnoise Stina, qui a elle aussi, a enchanté le public présent venu réécouter un répertoire qui lui est habituel mais qu'il redécouvre avec bonheur dans une résonance aux accents nordiques et lyriques. Durant toutes ses interprétations, l'artiste formée à la chanson d'opéra à Helsinki, a déroulé en effet des morceaux mythiques de la musique kabyle dans une justesse étonnante, et servi par une voix aussi entraînante que lumineuse. Izriw Yeghleb Lehmali (Mes larmes coulent plus vite qu'un torrent) de El hadj El-Anka et magistralement reprise par Maatoub, Amedieze (Le poète) d'Aït Menguellet, Ad d-zi Sâa (Quant tournera l'heure) de Slimane Azem, Hella thamkent a-gouliw (Il y'a une place dans mon coeur), autant de compositions musicales et poétiques fétiches, difficiles à chanter, a fortiori pour un étranger ne maîtrisant pas la langue ni ses subtilités, mais qui dans sa bouche ont fusé comme autant de sonates de douceurs que d'amour. C'est impressionnant ! Elle s'est appropriée complètement le répertoire kabyle, s'étonne le grand public présent et surment le meme constat pour les téléspectateurs scotchés à leurs écrans, visiblement subjugué par la performance de l'artiste qui, à ses yeux "non seulement a relevé le défi, mais ouvre une voie pleine d'espoir pour l'universalisation de la chanson kabyle". Stina était visiblement décontenancée ne sachant quoi dire devant tant de chaleur et d'encouragement. Thanemirt (en kabyle dans le texte), Merci, se contentait-t-elle de répéter. Le groupe Dey, n'est pas resté en reste, car, il a enchanté l'assistance avec quelques tubes de son répertoire, tout en assurant la clôture de cette soirée avec sa chanson fétiche Maria. À la fin du concert, les trois artistes invités, ont livré leurs impressions en remerciant le public et déclarant que "c'était extraordinaire, il y avait de l'énergie à en revendre, du partage, de la chaleur, soit tous ce qu'il faut pour un spectacle extraordinaire". De sa voix chaude et suave, au timbre profond, qui a résonné dans une salle pleine et devant un public chauffé à blanc, l'invité d'honneur de l'émission Studio Live, réalisé par Farid Ben Moussa, le chanteur Ali Amarne a interprété des chansons puisées dans un répertoire riche caractérisé par mélange harmonieux de mélodies folk-Rock avec des notes de blues et de pop, sous la coupe du maestro Amine Dahame. Le public composé de jeunes a repris en choeur toutes les chansons de leur star, apprécié pour ses textes soignés à la thématique tirée du vécu de sa société et habillés d'une musique épurée. Questionné par l'animatrice Mlle Harkat sur son dernier album, Ali Amrane rétorque qu'il "travaille sur un nouvel album, et qu'il reste dans son style qu'il a construit après un travail de longue haleine, quant aux thématiques il y aura certainement du nouveau" a-t-il ajouté. Le moment tant attendu, par l'assistance et surement par les téléspectateurs était le passage de la jeune artiste finnoise Stina, qui a elle aussi, a enchanté le public présent venu réécouter un répertoire qui lui est habituel mais qu'il redécouvre avec bonheur dans une résonance aux accents nordiques et lyriques. Durant toutes ses interprétations, l'artiste formée à la chanson d'opéra à Helsinki, a déroulé en effet des morceaux mythiques de la musique kabyle dans une justesse étonnante, et servi par une voix aussi entraînante que lumineuse. Izriw Yeghleb Lehmali (Mes larmes coulent plus vite qu'un torrent) de El hadj El-Anka et magistralement reprise par Maatoub, Amedieze (Le poète) d'Aït Menguellet, Ad d-zi Sâa (Quant tournera l'heure) de Slimane Azem, Hella thamkent a-gouliw (Il y'a une place dans mon coeur), autant de compositions musicales et poétiques fétiches, difficiles à chanter, a fortiori pour un étranger ne maîtrisant pas la langue ni ses subtilités, mais qui dans sa bouche ont fusé comme autant de sonates de douceurs que d'amour. C'est impressionnant ! Elle s'est appropriée complètement le répertoire kabyle, s'étonne le grand public présent et surment le meme constat pour les téléspectateurs scotchés à leurs écrans, visiblement subjugué par la performance de l'artiste qui, à ses yeux "non seulement a relevé le défi, mais ouvre une voie pleine d'espoir pour l'universalisation de la chanson kabyle". Stina était visiblement décontenancée ne sachant quoi dire devant tant de chaleur et d'encouragement. Thanemirt (en kabyle dans le texte), Merci, se contentait-t-elle de répéter. Le groupe Dey, n'est pas resté en reste, car, il a enchanté l'assistance avec quelques tubes de son répertoire, tout en assurant la clôture de cette soirée avec sa chanson fétiche Maria. À la fin du concert, les trois artistes invités, ont livré leurs impressions en remerciant le public et déclarant que "c'était extraordinaire, il y avait de l'énergie à en revendre, du partage, de la chaleur, soit tous ce qu'il faut pour un spectacle extraordinaire".