Pour sa deuxième visite en Algérie après celle de 2012, le président français François Hollande qui effectuait une visite en tant que chef d'Etat français à l'invitation du président Bouteflika a mesuré les progrès accomplis tout en réitérant que la France et l'Algérie sont animées par une "même volonté de bâtir un partenariat d'égal à égal tourné vers le développement et aussi vers la jeunesse" Pour sa deuxième visite en Algérie après celle de 2012, le président français François Hollande qui effectuait une visite en tant que chef d'Etat français à l'invitation du président Bouteflika a mesuré les progrès accomplis tout en réitérant que la France et l'Algérie sont animées par une "même volonté de bâtir un partenariat d'égal à égal tourné vers le développement et aussi vers la jeunesse" Pour le président français, le comité intergouvernemental présidé par les Premiers ministres des deux pays donne un cadre pour approfondir la coopération dans tous les domaines. Dans ce cadre, Hollande a cité le dialogue politique entre la France et l'Algérie, qui, a-t-il souligné, "contribuent à la stabilité et à la sécurité dans la région" . Concernant la relation bilatérale le présdient français dira : "Ces derniers mois nous avons beaucoup oeuvré, le président Bouteflika et moi-même, pour rapprocher encore nos deux pays et être fidèles aux engagements que nous avions pris ; ne rien oublier de l'histoire et en même temps nous tourner vers l'avenir". ll n'a pas manqué de saluer le combat commun contre la menace djihadiste tout en saluant l'action des autorités algériennes pour chercher une solution politique en Libye et a également relevé le "rôle déterminant" joué par l'Algérie pour aboutir à la signature, en mai dernier, de l'Accord d'Alger pour la paix et la réconciliation au Mali. Par ailleurs, François Hollande a avancé que sa visite serait l'occasion de renforcer le partenariat économique entre les deux pays en précisant qu'après les implantations de Renault à Oran et d'Alstom à Annaba, les initiatives se multiplient. Peugeot devrait aussi venir en Algérie "Il y a deux ans, j'avais appelé de mes voeux le renforcement de la coopération franco-algérienne. Elle est en marche", at- il observé, en notant que près de 7.000 entreprises françaises exportent vers l'Algérie, 450 y sont implantées et y emploient plus de 140.000 personnes. Hollande a aussi abordé la coopération bilatérale dans le domaine universitaire en évoquant l'accompagnement de la création de nombreuses écoles et centres de formation professionnelle pour permettre aux jeunes Algériens d'acquérir des compétences et de trouver un emploi. "Les obstacles qui entravaient de façon excessive la circulation des personnes ont été, pour l'essentiel, levés. 23.000 Algériens poursuivent aujourd'hui leurs études en France. Des millions d'Algériens et de binationaux vivent sur notre territoire et des dizaines de milliers de Français travaillent en Algérie", a ajouté Hollande. "J'ai toujours eu la conviction profonde que nous sommes capables de bâtir un partenariat d'exception. C'est ce que nous allons démontrer aujourd'hui", a-t-il poursuivi. Dans sa tribune, il a aussi évoqué sa première visite d'Etat en Algérie en 2012 et a rappelé avoir reconnu, devant les deux chambres réunies du Parlement, "les souffrances que le système colonial a infligées au peuple algérien". Pour le président français, le comité intergouvernemental présidé par les Premiers ministres des deux pays donne un cadre pour approfondir la coopération dans tous les domaines. Dans ce cadre, Hollande a cité le dialogue politique entre la France et l'Algérie, qui, a-t-il souligné, "contribuent à la stabilité et à la sécurité dans la région" . Concernant la relation bilatérale le présdient français dira : "Ces derniers mois nous avons beaucoup oeuvré, le président Bouteflika et moi-même, pour rapprocher encore nos deux pays et être fidèles aux engagements que nous avions pris ; ne rien oublier de l'histoire et en même temps nous tourner vers l'avenir". ll n'a pas manqué de saluer le combat commun contre la menace djihadiste tout en saluant l'action des autorités algériennes pour chercher une solution politique en Libye et a également relevé le "rôle déterminant" joué par l'Algérie pour aboutir à la signature, en mai dernier, de l'Accord d'Alger pour la paix et la réconciliation au Mali. Par ailleurs, François Hollande a avancé que sa visite serait l'occasion de renforcer le partenariat économique entre les deux pays en précisant qu'après les implantations de Renault à Oran et d'Alstom à Annaba, les initiatives se multiplient. Peugeot devrait aussi venir en Algérie "Il y a deux ans, j'avais appelé de mes voeux le renforcement de la coopération franco-algérienne. Elle est en marche", at- il observé, en notant que près de 7.000 entreprises françaises exportent vers l'Algérie, 450 y sont implantées et y emploient plus de 140.000 personnes. Hollande a aussi abordé la coopération bilatérale dans le domaine universitaire en évoquant l'accompagnement de la création de nombreuses écoles et centres de formation professionnelle pour permettre aux jeunes Algériens d'acquérir des compétences et de trouver un emploi. "Les obstacles qui entravaient de façon excessive la circulation des personnes ont été, pour l'essentiel, levés. 23.000 Algériens poursuivent aujourd'hui leurs études en France. Des millions d'Algériens et de binationaux vivent sur notre territoire et des dizaines de milliers de Français travaillent en Algérie", a ajouté Hollande. "J'ai toujours eu la conviction profonde que nous sommes capables de bâtir un partenariat d'exception. C'est ce que nous allons démontrer aujourd'hui", a-t-il poursuivi. Dans sa tribune, il a aussi évoqué sa première visite d'Etat en Algérie en 2012 et a rappelé avoir reconnu, devant les deux chambres réunies du Parlement, "les souffrances que le système colonial a infligées au peuple algérien".