Le ministre des travaux publics, Abdelkader Ouali, a indiqué qu'un plan de restructuration des entreprises publiques relevant de son secteur serait prochainement soumis au Conseil des participations de l'Etat. Le ministre des travaux publics, Abdelkader Ouali, a indiqué qu'un plan de restructuration des entreprises publiques relevant de son secteur serait prochainement soumis au Conseil des participations de l'Etat. Abdelkader Ouali, qui effectuait une visite d'inspection à des laboratoires et bureaux d'études nationaux à Alger, a indiqué que "le plan de restructuration concernait la réorganisation des entreprises relevant du secteur sous forme de trois nouveaux complexes". Le premier complexe englobera les entreprises actives dans le domaine de l'ingénierie et des études, le deuxième sera composé des entreprises portuaires et aéroportuaires alors que le troisième renfermera les maîtres d'oeuvre spécialisés dans la réalisation des routes et infrastructures de base. "La stabilité du secteur et l'atteinte des objectifs ne se mesure pas à l'aune du volume des dépenses, ni à la valeur des marchés, mais plutôt à sa capacité organisationnelle et à l'harmonisation des actions entre différentes parties concernées", a souligné le ministre. Dans ce contexte, Abdelkader Ouali a mis en avant l'importance du rôle des laboratoires et des bureaux d'études dans la concrétisation de cette vision, d'où l'importance de la formation. Dans ce cadre Abdelkader Ouali a appelé les laboratoires et les bureaux d'études à recourir aux partenariats "fructueux" avec les entreprises étrangères du domaine afin de garantir le transfert des expériences et des expertises et la formation des formateurs comme clause principale devant figurer dans les contrats. Les "laboratoires et bureaux d'études sont également appelés à consolider leurs relations avec les universités algériennes en définissant leurs besoins en matière de formation afin qu'elle soit plus adaptée à la nature des métiers", selon le ministre. Il a, par ailleurs, annoncé "l'organisation de sessions de formation, à partir d'octobre prochain, au profit des travailleurs du secteur et ceux des bureaux d'études, des laboratoires et des maisons cantonnières". Abdelkader Ouali a ainsi appelé les laboratoires à "élargir leur action à l'international en exportant leurs services", rappelant "l'expérience du laboratoire des études maritimes qui a réalisé plusieurs études à l'étranger, notamment en France, au Liban, au Bénin, en Nouvelle Calédonie, et la Société algérienne d'études d'infrastructures ayant effectué des études dans plusieurs pays africains" (Mauritanie, Niger, Tchad, Mali et autres). Abdelkader Ouali, qui effectuait une visite d'inspection à des laboratoires et bureaux d'études nationaux à Alger, a indiqué que "le plan de restructuration concernait la réorganisation des entreprises relevant du secteur sous forme de trois nouveaux complexes". Le premier complexe englobera les entreprises actives dans le domaine de l'ingénierie et des études, le deuxième sera composé des entreprises portuaires et aéroportuaires alors que le troisième renfermera les maîtres d'oeuvre spécialisés dans la réalisation des routes et infrastructures de base. "La stabilité du secteur et l'atteinte des objectifs ne se mesure pas à l'aune du volume des dépenses, ni à la valeur des marchés, mais plutôt à sa capacité organisationnelle et à l'harmonisation des actions entre différentes parties concernées", a souligné le ministre. Dans ce contexte, Abdelkader Ouali a mis en avant l'importance du rôle des laboratoires et des bureaux d'études dans la concrétisation de cette vision, d'où l'importance de la formation. Dans ce cadre Abdelkader Ouali a appelé les laboratoires et les bureaux d'études à recourir aux partenariats "fructueux" avec les entreprises étrangères du domaine afin de garantir le transfert des expériences et des expertises et la formation des formateurs comme clause principale devant figurer dans les contrats. Les "laboratoires et bureaux d'études sont également appelés à consolider leurs relations avec les universités algériennes en définissant leurs besoins en matière de formation afin qu'elle soit plus adaptée à la nature des métiers", selon le ministre. Il a, par ailleurs, annoncé "l'organisation de sessions de formation, à partir d'octobre prochain, au profit des travailleurs du secteur et ceux des bureaux d'études, des laboratoires et des maisons cantonnières". Abdelkader Ouali a ainsi appelé les laboratoires à "élargir leur action à l'international en exportant leurs services", rappelant "l'expérience du laboratoire des études maritimes qui a réalisé plusieurs études à l'étranger, notamment en France, au Liban, au Bénin, en Nouvelle Calédonie, et la Société algérienne d'études d'infrastructures ayant effectué des études dans plusieurs pays africains" (Mauritanie, Niger, Tchad, Mali et autres).