L'ONG "Western Sahara Campaign" (WSC) a décidé de traduire le gouvernement britannique en justice pour mettre en cause le commerce illégal de produits en provenance du Sahara occidental, a indiqué l'Ong dans son magazine mensuel Sahara Analysis. L'ONG "Western Sahara Campaign" (WSC) a décidé de traduire le gouvernement britannique en justice pour mettre en cause le commerce illégal de produits en provenance du Sahara occidental, a indiqué l'Ong dans son magazine mensuel Sahara Analysis. WSC a prévu une date pour l'audience le 14 et 15 juillet dans laquelle "la Cour examinera les revenus et le traitement des Douanes de Sa Majesté réservé aux produits originaires du Sahara occidental importés dans le Royaume-Uni comme marocains en vertu de l'Accord d'Association entre l'UE et le Maroc ainsi que le ministère de l'Alimentation et des Affaires rurales qui accorde des licences pour pêcher dans les territoires du Sahara occidental dans le cadre de l'Accord de partenariat de pêche entre l'Union européenne et le Maroc ", a indiqué samedi l'ONG dans son magazine mensuel Sahara Analysis. "En tant qu'association petite et bénévole, la décision de WSC de traduire le gouvernement britannique en justice n'a pas été une décision prise à la légère. Mais près de 40 ans se sont écoulés depuis que le Maroc occupe le Sahara occidental", poursuit Sahara Analysis. Le magazine a en outre indiqué que la cause des Sahraouis "n'a jamais été bien connue au Royaume-Uni, mais depuis les années 70 WSC a effectué des précieuses recherches, partagé de l'information, médiatisé leur cause et coordonné l'action politique dans les couloirs du pouvoir". "Cela n'a pas été suffisant et plus l'occupation du Sahara occidental continue plus elle devient enracinée", a relevé la même source. "La communauté internationale et l'Onu ont systématiquement manqué à leur obligation légale de veiller à ce que les Sahraouis puissent exprimer leur droit inaliénable à l'autodétermination. Nous avons décidé de faire quelque chose d'extraordinaire pour aider les Sahraouis à récupérer leur pays", conclut WSC. Le Front Polisario avait auparavant souligné que le Maroc est considéré comme "occupant" au sens des Conventions de Genève, rappelant que la Cour internationale de justice insiste sur le fait que le Maroc "ne pouvait revendiquer aucune souveraineté" sur le Sahara occidental. WSC a prévu une date pour l'audience le 14 et 15 juillet dans laquelle "la Cour examinera les revenus et le traitement des Douanes de Sa Majesté réservé aux produits originaires du Sahara occidental importés dans le Royaume-Uni comme marocains en vertu de l'Accord d'Association entre l'UE et le Maroc ainsi que le ministère de l'Alimentation et des Affaires rurales qui accorde des licences pour pêcher dans les territoires du Sahara occidental dans le cadre de l'Accord de partenariat de pêche entre l'Union européenne et le Maroc ", a indiqué samedi l'ONG dans son magazine mensuel Sahara Analysis. "En tant qu'association petite et bénévole, la décision de WSC de traduire le gouvernement britannique en justice n'a pas été une décision prise à la légère. Mais près de 40 ans se sont écoulés depuis que le Maroc occupe le Sahara occidental", poursuit Sahara Analysis. Le magazine a en outre indiqué que la cause des Sahraouis "n'a jamais été bien connue au Royaume-Uni, mais depuis les années 70 WSC a effectué des précieuses recherches, partagé de l'information, médiatisé leur cause et coordonné l'action politique dans les couloirs du pouvoir". "Cela n'a pas été suffisant et plus l'occupation du Sahara occidental continue plus elle devient enracinée", a relevé la même source. "La communauté internationale et l'Onu ont systématiquement manqué à leur obligation légale de veiller à ce que les Sahraouis puissent exprimer leur droit inaliénable à l'autodétermination. Nous avons décidé de faire quelque chose d'extraordinaire pour aider les Sahraouis à récupérer leur pays", conclut WSC. Le Front Polisario avait auparavant souligné que le Maroc est considéré comme "occupant" au sens des Conventions de Genève, rappelant que la Cour internationale de justice insiste sur le fait que le Maroc "ne pouvait revendiquer aucune souveraineté" sur le Sahara occidental.