Les promoteurs inclus dans les dispositifs Ansej et Cnac seraient en difficulté. Les principales causes sont imputées au manque d'études de marchés, la garantie au remboursement et le financement bancaire qui tarde à venir. Les promoteurs inclus dans les dispositifs Ansej et Cnac seraient en difficulté. Les principales causes sont imputées au manque d'études de marchés, la garantie au remboursement et le financement bancaire qui tarde à venir. Le porte-parole de l'Association de soutien aux micro-entreprises, Yacine Kellal, a déploré que des milliers de ces petites entreprises soient actuellement en difficulté en citant le chiffre de 300.000 entités qui risquent la faillite. Cette association met en cause les contraintes des jeunes à obtenir des financements pour leurs projets dans des délais raisonnables, les pratiques qui sévissent dans les agences de wilayas et la difficulté à obtenir des garanties pour le remboursement. Tout cela accentue la tension qu'éprouvent ces jeunes à mettre en exergue leurs projets mais qui démarrent parfois dans d'inextricables blocages. L'autre raison invoquée est celle d'un manque de visibilité de certains projets du fait que les études de marché nécessaires pour le genre d'activité à promouvoir restent absentes sinon peu efficaces. Cette situation a obligé l'association de soutien à ces jeunes à adresser une requête au Premier ministre Sellal qui, à son tour, a instruit les organismes concernés pour régler ces contraintes au plus vite. Il s'agit ainsi de recadrer tous les projets qui sont en voie d'initiation mais qui n'arrivent pas à prendre pied suite aux contraintes citées. Le chef de l'Exécutif serait favorable à accorder un rééchelonnement des dettes pour les promoteurs de l'Ansej mais il n'est pas question de les effacer. D'autre part, le chiffre donné par l'association de soutien aux micro-entreprises est aléatoire ou du moins exagéré puisque le DG de l'Ansej, Mourad Zemali, a estimé que le taux d'échec de ces entreprises est de 35.000 seulement. Une nette différence est là. Pour ce qui est du remboursement des crédits, le même responsable n'a pas caché que certains porteurs de projets ne remboursent pas. Mais actuellement, ils sont très peu face à certaines sources qui ont considéré qu'ils sont des milliers à n'avoir pas remboursé. Les autorités qui prennent en charge ce dossier savent quel parcours du combattant il faut entre le moment d'un dépôt d'un dossier et le démarrage de l'activité en plus du manque d'expérience et de formation de ces jeunes quand ils se lancent dans de nouveaux créneaux. Le gouvernement compte à cet effet remédier à une situation qui risque de durer. L'exigence de formation dans l'activité à entreprendre dans des cycles courts est envisagée. Les directions de l'Ansej et la Cnac sont tenues d'assister les jeunes créateurs d'entreprises en fournissant conseils et astuces de gestion. Ces démarches qui devaient être opérationnelles dès le début de la création des dispositifs de soutien aux jeunes n'ont malheureusement pas été généralisées. Les jeunes chômeurs ou futurs diplômés se retrouvent sans horizons même s'ils ont des ambitions et les ressources nécessaires pour entreprendre une activité de choix. Les dispositifs de soutien à cette frange de la population doivent encore faire l'objet de remodelage et de flexibilité jusqu'à débarrasser les jeunes de l'inquiétude de renoncer à leurs projets ou de freiner leurs ambitions. Le porte-parole de l'Association de soutien aux micro-entreprises, Yacine Kellal, a déploré que des milliers de ces petites entreprises soient actuellement en difficulté en citant le chiffre de 300.000 entités qui risquent la faillite. Cette association met en cause les contraintes des jeunes à obtenir des financements pour leurs projets dans des délais raisonnables, les pratiques qui sévissent dans les agences de wilayas et la difficulté à obtenir des garanties pour le remboursement. Tout cela accentue la tension qu'éprouvent ces jeunes à mettre en exergue leurs projets mais qui démarrent parfois dans d'inextricables blocages. L'autre raison invoquée est celle d'un manque de visibilité de certains projets du fait que les études de marché nécessaires pour le genre d'activité à promouvoir restent absentes sinon peu efficaces. Cette situation a obligé l'association de soutien à ces jeunes à adresser une requête au Premier ministre Sellal qui, à son tour, a instruit les organismes concernés pour régler ces contraintes au plus vite. Il s'agit ainsi de recadrer tous les projets qui sont en voie d'initiation mais qui n'arrivent pas à prendre pied suite aux contraintes citées. Le chef de l'Exécutif serait favorable à accorder un rééchelonnement des dettes pour les promoteurs de l'Ansej mais il n'est pas question de les effacer. D'autre part, le chiffre donné par l'association de soutien aux micro-entreprises est aléatoire ou du moins exagéré puisque le DG de l'Ansej, Mourad Zemali, a estimé que le taux d'échec de ces entreprises est de 35.000 seulement. Une nette différence est là. Pour ce qui est du remboursement des crédits, le même responsable n'a pas caché que certains porteurs de projets ne remboursent pas. Mais actuellement, ils sont très peu face à certaines sources qui ont considéré qu'ils sont des milliers à n'avoir pas remboursé. Les autorités qui prennent en charge ce dossier savent quel parcours du combattant il faut entre le moment d'un dépôt d'un dossier et le démarrage de l'activité en plus du manque d'expérience et de formation de ces jeunes quand ils se lancent dans de nouveaux créneaux. Le gouvernement compte à cet effet remédier à une situation qui risque de durer. L'exigence de formation dans l'activité à entreprendre dans des cycles courts est envisagée. Les directions de l'Ansej et la Cnac sont tenues d'assister les jeunes créateurs d'entreprises en fournissant conseils et astuces de gestion. Ces démarches qui devaient être opérationnelles dès le début de la création des dispositifs de soutien aux jeunes n'ont malheureusement pas été généralisées. Les jeunes chômeurs ou futurs diplômés se retrouvent sans horizons même s'ils ont des ambitions et les ressources nécessaires pour entreprendre une activité de choix. Les dispositifs de soutien à cette frange de la population doivent encore faire l'objet de remodelage et de flexibilité jusqu'à débarrasser les jeunes de l'inquiétude de renoncer à leurs projets ou de freiner leurs ambitions.