Les jeunes sont nombreux à choisir les filières d'avenir. Les sciences commerciales, avec l'option marketing, l'informatique, l'électronique et le droit des affaires restent les domaines de prédilection pour les milliers de jeunes. Les jeunes sont nombreux à choisir les filières d'avenir. Les sciences commerciales, avec l'option marketing, l'informatique, l'électronique et le droit des affaires restent les domaines de prédilection pour les milliers de jeunes. Malgré l'existence de pôles universitaires à travers le territoire national, les jeunes bacheliers ou ceux qui effectuent un premier pas dans le cursus universitaire, les filières citées restent celles qui sont les plus demandées. Les étudiants ont d'emblée un éventail de choix mais souvent ils optent vers des domaines où la formation est rentable pour l'avenir. Des études de spécialistes montrent que "les filières classiques qui constituaient la majorité des étudiants sont abandonnés au profit de nouvelles filières plus attrayantes". Ce qui explique ce choix, note un chercheur du centre national des études sur les populations (CENEAP), c'est le débouché du choix de la filière et son importance dans les offres de travail qui peuvent être déterminants pour les jeunes étudiants ou ceux qui sont en formation spécialisée. Il est significatif de relever que le département de commerce à l'université d'Alger et l'Ecole supérieure de commerce sont les instituts qui enregistrent un taux d'inscription de 80 % de bacheliers. A l'université de Bab-Ezzouar, une source confirme que les étudiants de première année technologie optent majoritairement pour l'informatique ou l'électronique qui sont considérées comme les filières de l'avenir. Les études qui prennent des années comme la médecine ou chirurgie dentaire ne sont pas attractives, de plus il faut une moyenne de 16 au Bac pour pouvoir s'inscrire dans les filières biomédicales. Avec un afflux consistant depuis les années 2000, les autorités pédagogiques de l'université ont été amenées à mettre un frein à ce rush d'étudiants qui préfèrent les études médicales en raison des représentations qu'ils font sur ces métiers. Pour le ministère de l'Enseignement supérieur, plus de 100.000 étudiants dans le premier cycle de technologie ou médical ont été enregistrés durant ces 5 dernières années. Mais l'effusion ne s'arrête pas à ce niveau puisque la filière du droit enregistre aussi un nombre impressionnant d'étudiants avec l'ouverture de nouvelles facultés et de nouvelles spécialités. La plus convoitée, assure-t-on, est le droit des affaires qui met à l'aise l'étudiant dans son choix délibéré. Avec le système LMD, l'avantage qu'ont les étudiants est dans le premier cycle d'études de 3 ans où la plupart choisissent l'option professionnelle alors que peu s'orientent vers l'option recherche. La tendance aujourd'hui est de rechercher des diplômes qui offrent des avantages de recrutement dans le marché du travail. La peur de se retrouver dans le chômage de longue durée et le regret d'avoir choisi une filière d'études "peu rentable" alimente le quotidien des jeunes qui sont pressés de concrétiser leurs ambitions de réussite dans les domaines qu'ils souhaitent exercer plus tard. Malgré l'existence de pôles universitaires à travers le territoire national, les jeunes bacheliers ou ceux qui effectuent un premier pas dans le cursus universitaire, les filières citées restent celles qui sont les plus demandées. Les étudiants ont d'emblée un éventail de choix mais souvent ils optent vers des domaines où la formation est rentable pour l'avenir. Des études de spécialistes montrent que "les filières classiques qui constituaient la majorité des étudiants sont abandonnés au profit de nouvelles filières plus attrayantes". Ce qui explique ce choix, note un chercheur du centre national des études sur les populations (CENEAP), c'est le débouché du choix de la filière et son importance dans les offres de travail qui peuvent être déterminants pour les jeunes étudiants ou ceux qui sont en formation spécialisée. Il est significatif de relever que le département de commerce à l'université d'Alger et l'Ecole supérieure de commerce sont les instituts qui enregistrent un taux d'inscription de 80 % de bacheliers. A l'université de Bab-Ezzouar, une source confirme que les étudiants de première année technologie optent majoritairement pour l'informatique ou l'électronique qui sont considérées comme les filières de l'avenir. Les études qui prennent des années comme la médecine ou chirurgie dentaire ne sont pas attractives, de plus il faut une moyenne de 16 au Bac pour pouvoir s'inscrire dans les filières biomédicales. Avec un afflux consistant depuis les années 2000, les autorités pédagogiques de l'université ont été amenées à mettre un frein à ce rush d'étudiants qui préfèrent les études médicales en raison des représentations qu'ils font sur ces métiers. Pour le ministère de l'Enseignement supérieur, plus de 100.000 étudiants dans le premier cycle de technologie ou médical ont été enregistrés durant ces 5 dernières années. Mais l'effusion ne s'arrête pas à ce niveau puisque la filière du droit enregistre aussi un nombre impressionnant d'étudiants avec l'ouverture de nouvelles facultés et de nouvelles spécialités. La plus convoitée, assure-t-on, est le droit des affaires qui met à l'aise l'étudiant dans son choix délibéré. Avec le système LMD, l'avantage qu'ont les étudiants est dans le premier cycle d'études de 3 ans où la plupart choisissent l'option professionnelle alors que peu s'orientent vers l'option recherche. La tendance aujourd'hui est de rechercher des diplômes qui offrent des avantages de recrutement dans le marché du travail. La peur de se retrouver dans le chômage de longue durée et le regret d'avoir choisi une filière d'études "peu rentable" alimente le quotidien des jeunes qui sont pressés de concrétiser leurs ambitions de réussite dans les domaines qu'ils souhaitent exercer plus tard.