En Algérie 400.000 personnes environ, souffrent de schizophrénie. La schizophrénie est définie comme une psychose qui se manifeste par la désintégration de la personnalité, et par la perte de contact avec la réalité. En Algérie 400.000 personnes environ, souffrent de schizophrénie. La schizophrénie est définie comme une psychose qui se manifeste par la désintégration de la personnalité, et par la perte de contact avec la réalité. C'est la maladie mentale chronique la plus fréquente. Plus de 400.000 personnes en effet souffrent de cette pathologie en Algérie. La schizophrénie figure d'ailleurs parmi les problèmes de santé publique ont souligné, vendredi à Alger, les spécialistes en psychiatrie lors d'une rencontre scientifique organisée par le laboratoire Abdi- Ibrahim Remede Pharma (AIRP) a l'occasion du lancement d'Abilify un traitement indiqué dans cette pathologie. De son côté, Farid Kacha, président de la Société algérienne de psychiatrie a estimé que la science a nettement progressé en matière de prise en charge. Lorsque la maladie se déclare, la prise en charge est généralement de longue durée. L'observance thérapeutique aide le patient a mener une vie sociale normale. Il faut aussi accompagner le malade d'un suivi psychologique. Pour sa part le professeur Charles Peretti, Psychiatre à l'hôpital Saint- Antoine à Paris a présenté une communication intitulée "Pour une meilleure prise en charge de la schizophrénie et des troubles bipolaires". Il s'agit, selon le conférencier, d'un pas de plus pour l'amélioration du pronostic de guérison et de la prise en charge. Abordant le volet de la rechute, le praticien français recommande d'intégrer les patients dans des groupes de paroles et des thérapies de groupe et aussi associer la famille du malade. L'arrêt du traitement classique, qui présente de nombreux effets secondaire (sédation, trouble cognitif, prise de poids, tremblementS, hausse de la prolactine et autres troubles hormonaux) sont aussi des causes de rechute, c'est ce qui explique la tendance actuelle de prescrire Abilify qui présente moins d'effets secondaires et apporte plus de confort au malade. Pour sa part le docteur Aït Saïd, directeur général de l'AIRP annoncera la fabrication locale, par son laboratoire, de ce médicament d'ici le mois de juillet 2016 dans leur usine située à Sidi-Abdallah, il sera le premier d'une série de médicaments qui seront produits localement. C'est la maladie mentale chronique la plus fréquente. Plus de 400.000 personnes en effet souffrent de cette pathologie en Algérie. La schizophrénie figure d'ailleurs parmi les problèmes de santé publique ont souligné, vendredi à Alger, les spécialistes en psychiatrie lors d'une rencontre scientifique organisée par le laboratoire Abdi- Ibrahim Remede Pharma (AIRP) a l'occasion du lancement d'Abilify un traitement indiqué dans cette pathologie. De son côté, Farid Kacha, président de la Société algérienne de psychiatrie a estimé que la science a nettement progressé en matière de prise en charge. Lorsque la maladie se déclare, la prise en charge est généralement de longue durée. L'observance thérapeutique aide le patient a mener une vie sociale normale. Il faut aussi accompagner le malade d'un suivi psychologique. Pour sa part le professeur Charles Peretti, Psychiatre à l'hôpital Saint- Antoine à Paris a présenté une communication intitulée "Pour une meilleure prise en charge de la schizophrénie et des troubles bipolaires". Il s'agit, selon le conférencier, d'un pas de plus pour l'amélioration du pronostic de guérison et de la prise en charge. Abordant le volet de la rechute, le praticien français recommande d'intégrer les patients dans des groupes de paroles et des thérapies de groupe et aussi associer la famille du malade. L'arrêt du traitement classique, qui présente de nombreux effets secondaire (sédation, trouble cognitif, prise de poids, tremblementS, hausse de la prolactine et autres troubles hormonaux) sont aussi des causes de rechute, c'est ce qui explique la tendance actuelle de prescrire Abilify qui présente moins d'effets secondaires et apporte plus de confort au malade. Pour sa part le docteur Aït Saïd, directeur général de l'AIRP annoncera la fabrication locale, par son laboratoire, de ce médicament d'ici le mois de juillet 2016 dans leur usine située à Sidi-Abdallah, il sera le premier d'une série de médicaments qui seront produits localement.