L'amélioration du système sanitaire national a été le thème traité dimanche matin dans l'émission l'Invité de la rédaction de la Chaîne 3 de la Radio algérienne, avec le directeur des études au ministère de la santé, Saïd Mekkaoui. L'amélioration du système sanitaire national a été le thème traité dimanche matin dans l'émission l'Invité de la rédaction de la Chaîne 3 de la Radio algérienne, avec le directeur des études au ministère de la santé, Saïd Mekkaoui. Au cours de son intervention, celui-ci a tenu à assurer que la gratuité des soins « un acquis pour tous les citoyens, ne sera pas et ne peut être remis en cause ». Il rappelle, par ailleurs, que l'audit lancé par le ministre de la Santé après ses prises de fonction consiste à améliorer l'organisation et la gestion des structures hospitalières, un programme dont l'évaluation est régulièrement suivie et évaluée. Quand on lui fait remarquer que des malades continuent à être « toujours mal pris en charge », l'invité répond qu'il s'agit-là de situations d'exception ajoutant que les choses « continuent à être améliorées ou corrigées ». Tous les jours, indique-t-il, lors des déplacements du ministre sur le terrain, on découvre encore des situations déplorables, « que l'on fait en sorte de corriger », ajoutant que celles-ci sont leplus souvent observées au niveau des services des urgences. A propos de l'élaboration d'une nouvelle carte sanitaire pour le pays et à la question de savoir s'il existe assez de structures pour répondre aux besoins de soins des Algériens, M. Mekkaoui signale qu'à partir de 2007 « ont commencé à être développées des circonscriptions sanitaires ». Il s'agit, explique-t-il, « d'unités hospitalières régionales destinées à faire le lien entre les grands établissements de santé et les polycliniques et salles de soins de proximité, dont la simulation a commencé à être entreprise ». Au cours de son intervention, celui-ci a tenu à assurer que la gratuité des soins « un acquis pour tous les citoyens, ne sera pas et ne peut être remis en cause ». Il rappelle, par ailleurs, que l'audit lancé par le ministre de la Santé après ses prises de fonction consiste à améliorer l'organisation et la gestion des structures hospitalières, un programme dont l'évaluation est régulièrement suivie et évaluée. Quand on lui fait remarquer que des malades continuent à être « toujours mal pris en charge », l'invité répond qu'il s'agit-là de situations d'exception ajoutant que les choses « continuent à être améliorées ou corrigées ». Tous les jours, indique-t-il, lors des déplacements du ministre sur le terrain, on découvre encore des situations déplorables, « que l'on fait en sorte de corriger », ajoutant que celles-ci sont leplus souvent observées au niveau des services des urgences. A propos de l'élaboration d'une nouvelle carte sanitaire pour le pays et à la question de savoir s'il existe assez de structures pour répondre aux besoins de soins des Algériens, M. Mekkaoui signale qu'à partir de 2007 « ont commencé à être développées des circonscriptions sanitaires ». Il s'agit, explique-t-il, « d'unités hospitalières régionales destinées à faire le lien entre les grands établissements de santé et les polycliniques et salles de soins de proximité, dont la simulation a commencé à être entreprise ».