18 personnes ont trouvé la mort, dont 2 enfants, et 38 autres blessées dans un grave incendie qui s'est déclenché tôt dans la matinée d'hier dans un centre d'accueil de réfugiés sub-sahariens, dans la wilaya de Ouargla, selon la Protection civile, rapporte la Chaîne I de la Radio nationale. 18 personnes ont trouvé la mort, dont 2 enfants, et 38 autres blessées dans un grave incendie qui s'est déclenché tôt dans la matinée d'hier dans un centre d'accueil de réfugiés sub-sahariens, dans la wilaya de Ouargla, selon la Protection civile, rapporte la Chaîne I de la Radio nationale. L'incendie, qui a eu lieu à 3 h du matin, a été provoqué suite "à la déflagration de plusieurs bonbonnes de gaz butane, utilisées pour le chauffage", a précisé le lieutenant-colonel Karim Benzidane, de la Protection civile de Ouargla. Les réfugiés du camp d'Ouargla ont été évacués et pris en charge par le Croissant-Rouge algérien, selon la même source. Les victimes ont été transférées à l'établissement public hospitalier Mohamed Boudiaf à Ouargla et le centre en question a été totalement évacué, selon la Protection civile. Une enquête a été ouverte par les éléments de la police scientifique de la sûreté de wilaya d'Ouargla pour déterminer les circonstances exactes de ce malheureuxévénement. Une cellule de crise a été constituée au cours de la même journée pour suivre l'évolution de la situation née de l'incendie qui s'est déclaré, tôt ce matin, dans un centre d'accueil de ressortissants africains à Ouargla, faisant 18 morts et 37 blessés, ont annoncé des services de la wilaya. Présidée par le wali d'Ouargla, Saâd Agoudjil, cette cellule, qui regroupe plusieurs responsables de wilaya concernés, a entamé, dans la zone de Said- Otba, dans la périphérie d'Ouargla, les démarches de prospection pour abriter un centre de substitution destiné à l'accueil des ressortissants africains, a-t-on précisé. Des opérations de distribution de repas à ces ressortissants ont été organisées pour la prise en charge des pensionnaires du centre d'accueil, ouvert en 2014, et qui a été aujourd'hui la proie d'un incendie, a indiqué, sur le site, le chargé de la cellule de communication de la sureté de wilaya. Une cellule de crise au MAE "La cellule de crise du ministère des Affaires étrangères qui est à pied d'oeuvre depuis l'annonce de ce drame, coordonne son action avec l'ensemble des institutions nationales concernées pour suivre l'évolution de la situation et l'identification des victimes", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le MAE "salue la réactivité et le professionnalisme des services compétents du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, et notamment des agents de la Protection civile, dont l'intervention a pu circonscrire et venir rapidement à bout de cet incendie, épargnant ainsi de nombreuses vie humaines". Le MAE présente, par la même occasion, ses condoléances aux familles des victimes et exprime sa solidarité avec les gouvernements dont ils sont originaires, ajoute la même source. Les ministres de l'Intérieur et de la Santé sur place Le ministre de l'Intérieur, Noureddine Bedoui, et celui de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, se sont rendus hier matin à Ouargla pour "s'enquérir de la situation" suite à l'incendie qui s'est déclaré dans un centre hébergeant des ressortissants africains, indique un communiqué du ministère de l'Intérieur. "Sur instruction du président de la République, les ministres de l'Intérieur et des Collectivités locales, et de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, accompagnés du directeur général de la Protection civile, se sont rendus ce matin à la wilaya à l'effet de s'enquérir de la situation et de superviser cette opération", précise le communiqué. Un incendie s'est déclaré mardi à 3h45 du matin à l'intérieur du centre d'accueil de Ouargla, hébergeant 624 ressortissants africains, en situation irrégulière, rappelle la même source. Selon les premiers éléments d'information, "cet incendie serait dû à un chauffage à gaz", et aurait fait "18 morts et 38 blessés hospitalisés de diverses nationalités sub-africaines, dont 25 ont quitté l'hôpital après avoir reçu les premiers soins d'urgence". Les 13 blessés restant, au niveau de l'hôpital, sont sous surveillance médicale, et leur cas, selon les médecins traitants, "ne représente aucune gravité", ajoute-t-on. "Toutes les dispositions ont été prises par les autorités locales, afin d'assurer la prise en charge et le suivi de ces personnes", indique le ministère. L'incendie, qui a eu lieu à 3 h du matin, a été provoqué suite "à la déflagration de plusieurs bonbonnes de gaz butane, utilisées pour le chauffage", a précisé le lieutenant-colonel Karim Benzidane, de la Protection civile de Ouargla. Les réfugiés du camp d'Ouargla ont été évacués et pris en charge par le Croissant-Rouge algérien, selon la même source. Les victimes ont été transférées à l'établissement public hospitalier Mohamed Boudiaf à Ouargla et le centre en question a été totalement évacué, selon la Protection civile. Une enquête a été ouverte par les éléments de la police scientifique de la sûreté de wilaya d'Ouargla pour déterminer les circonstances exactes de ce malheureuxévénement. Une cellule de crise a été constituée au cours de la même journée pour suivre l'évolution de la situation née de l'incendie qui s'est déclaré, tôt ce matin, dans un centre d'accueil de ressortissants africains à Ouargla, faisant 18 morts et 37 blessés, ont annoncé des services de la wilaya. Présidée par le wali d'Ouargla, Saâd Agoudjil, cette cellule, qui regroupe plusieurs responsables de wilaya concernés, a entamé, dans la zone de Said- Otba, dans la périphérie d'Ouargla, les démarches de prospection pour abriter un centre de substitution destiné à l'accueil des ressortissants africains, a-t-on précisé. Des opérations de distribution de repas à ces ressortissants ont été organisées pour la prise en charge des pensionnaires du centre d'accueil, ouvert en 2014, et qui a été aujourd'hui la proie d'un incendie, a indiqué, sur le site, le chargé de la cellule de communication de la sureté de wilaya. Une cellule de crise au MAE "La cellule de crise du ministère des Affaires étrangères qui est à pied d'oeuvre depuis l'annonce de ce drame, coordonne son action avec l'ensemble des institutions nationales concernées pour suivre l'évolution de la situation et l'identification des victimes", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le MAE "salue la réactivité et le professionnalisme des services compétents du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, et notamment des agents de la Protection civile, dont l'intervention a pu circonscrire et venir rapidement à bout de cet incendie, épargnant ainsi de nombreuses vie humaines". Le MAE présente, par la même occasion, ses condoléances aux familles des victimes et exprime sa solidarité avec les gouvernements dont ils sont originaires, ajoute la même source. Les ministres de l'Intérieur et de la Santé sur place Le ministre de l'Intérieur, Noureddine Bedoui, et celui de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, se sont rendus hier matin à Ouargla pour "s'enquérir de la situation" suite à l'incendie qui s'est déclaré dans un centre hébergeant des ressortissants africains, indique un communiqué du ministère de l'Intérieur. "Sur instruction du président de la République, les ministres de l'Intérieur et des Collectivités locales, et de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, accompagnés du directeur général de la Protection civile, se sont rendus ce matin à la wilaya à l'effet de s'enquérir de la situation et de superviser cette opération", précise le communiqué. Un incendie s'est déclaré mardi à 3h45 du matin à l'intérieur du centre d'accueil de Ouargla, hébergeant 624 ressortissants africains, en situation irrégulière, rappelle la même source. Selon les premiers éléments d'information, "cet incendie serait dû à un chauffage à gaz", et aurait fait "18 morts et 38 blessés hospitalisés de diverses nationalités sub-africaines, dont 25 ont quitté l'hôpital après avoir reçu les premiers soins d'urgence". Les 13 blessés restant, au niveau de l'hôpital, sont sous surveillance médicale, et leur cas, selon les médecins traitants, "ne représente aucune gravité", ajoute-t-on. "Toutes les dispositions ont été prises par les autorités locales, afin d'assurer la prise en charge et le suivi de ces personnes", indique le ministère.