Ouenoughi Larbi a été installé, hier à Alger, au poste de directeur général du quotidien arabophone El Massa, en remplacement de Abderahmane Tigane. La cérémonie d'installation a été présidée par le ministre de la Communication, Hamid Grine, qui a appelé à "plus d'engagement" vis-à-vis de l'Etat, soit à "plus d'implication et plus de militantisme" et "moins de neutralité", a-t-il expliqué. Ouenoughi Larbi a été installé, hier à Alger, au poste de directeur général du quotidien arabophone El Massa, en remplacement de Abderahmane Tigane. La cérémonie d'installation a été présidée par le ministre de la Communication, Hamid Grine, qui a appelé à "plus d'engagement" vis-à-vis de l'Etat, soit à "plus d'implication et plus de militantisme" et "moins de neutralité", a-t-il expliqué. "On doit être le militant d'une cause, celle de l'Etat algérien", a déclaré Grine à la presse en marge de cette installation, expliquant, par la même occasion, que militant veut dire faire "du vrai journalisme et non pas diffamation et insulte".Le ministre a appelé dans ce cadre, les journalistes du secteur public de ne développer "aucun complexe vis-à-vis des autres", précisant qu'ils "ont de la chance de travailler dans un cadre où il n'y a pas beaucoup de stress". "Il est demandé aussi aux journalistes de, surtout, s'engager pour la République algérienne en défendant ses valeurs et non pas d'être ce qu'on peut appeler +les muets du sérail+". "Il est temps pour la presse publique de jouer un rôle actif, d'être engagée activement, de ne pas compter les coups et regarder les trains passer, de se plonger dans la bataille du développement et de défendre les acquis et les institutions de l'Etat", a-t-il ajouté. Le ministre a également appelé les journalistes d'avoir une "conscience et être responsable". "Il faut écrire tout ce qui est vérifiable, ce qui est sourcé et croisé", a-t-il dit. Car, selon lui, si le journaliste devait écrire tout ce qu'il voulait, "nous allons avoir une presse d'état d'âme et d'opinion, qui ne fait qu'insulter, diffamer et attaquer". De son côté, M. Ouenoughi, qui occupait auparavant le poste de DG du quotidien arabophone Ennasr, a souligné l'existence de beaucoup de défis à relever. "On doit être le militant d'une cause, celle de l'Etat algérien", a déclaré Grine à la presse en marge de cette installation, expliquant, par la même occasion, que militant veut dire faire "du vrai journalisme et non pas diffamation et insulte".Le ministre a appelé dans ce cadre, les journalistes du secteur public de ne développer "aucun complexe vis-à-vis des autres", précisant qu'ils "ont de la chance de travailler dans un cadre où il n'y a pas beaucoup de stress". "Il est demandé aussi aux journalistes de, surtout, s'engager pour la République algérienne en défendant ses valeurs et non pas d'être ce qu'on peut appeler +les muets du sérail+". "Il est temps pour la presse publique de jouer un rôle actif, d'être engagée activement, de ne pas compter les coups et regarder les trains passer, de se plonger dans la bataille du développement et de défendre les acquis et les institutions de l'Etat", a-t-il ajouté. Le ministre a également appelé les journalistes d'avoir une "conscience et être responsable". "Il faut écrire tout ce qui est vérifiable, ce qui est sourcé et croisé", a-t-il dit. Car, selon lui, si le journaliste devait écrire tout ce qu'il voulait, "nous allons avoir une presse d'état d'âme et d'opinion, qui ne fait qu'insulter, diffamer et attaquer". De son côté, M. Ouenoughi, qui occupait auparavant le poste de DG du quotidien arabophone Ennasr, a souligné l'existence de beaucoup de défis à relever.